Cette page concerne l'année 1921 du calendrier grégorien.
Événements
- Crise économique internationale (1920-1921).
Afrique
- 7 juin[3] : Création au Kenya de la Young Kikuyu Association, future East African Association par Harry Thuku.
- Grève des chemins de fer au Congo belge.
- Grève des ouvriers du Katanga (1921-1923).
- Manifestations au Kenya.
- Kenya : Le Labour Bureau Commission estime le nombre de travailleurs potentiels (1920-1921). Mise en place du travail obligatoire pour les hommes de 16 à 30 ans puis de 16 à 40 ans (1927).
- Création de l’Église luso-africaine au Mozambique.
Amérique
- 1er janvier : Diego Manuel Chamorro (conservateur), élu président du Nicaragua (fin en 1923).
- 28 janvier : Bautista Saavedra Mallea est élu président de Bolivie sur un programme progressiste (fin en 1926)
- 4 mars : Début de la présidence républicaine de Warren G. Harding aux États-Unis (fin en 1923).
- 19 mai : Première loi sur l’immigration aux États-Unis : établissement de quotas par pays, qui favorisent l’immigration anglo-saxonne. Elle sera durcie en 1924.
- 12 juillet, Affaire Sacco et Vanzetti : Les anarchistes américains Nicola Sacco et Bartolomeo Vanzetti, déclarés coupables du meurtre du caissier et du gardien d’une usine de Braintree sont condamnés à mort.
- En septembre éclate l'affaire Roscoe Arbuckle premier des grands scandale hollywoodiens qui conduira à la création du Code Hays.
- 11 décembre[5], Brésil : Première grande usine sidérurgique autonome installée à Sabará, dans le Minas Gerais, la belgo-Mineira, formée de capitaux français, belges et luxembourgeois.
- Organisation du « Farm Bloc » au Congrès des États-Unis par les sénateurs William S. Keyon (Iowa) et Arthur Capper (Kansas). Ils obtiennent le vote d’un tarif d’urgence.
- Intervention américaine à Cuba (1921-1923).
- Création au Brésil de la revue L’Ordre (A Ordem) par le catholique de droite Jackson de Figueiredo. Elle attribue la cause de tous les maux aux protestants, aux Juifs et aux francs-maçons.
- Crise de reconversion aux États-Unis (1921-1922). 4 270 000 chômeurs.
- Tarif protecteur pour l’agriculture aux États-Unis.
- Les États-Unis possèdent la moitié du stock d'or mondial.
Asie
30 juillet, Inde : boycott des vêtements étrangers, annonce parue dans
The Bombay Chronicle
- 3-4 février : Le général Russe blanc baron Ungern-Sternberg expulse la garnison chinoise d’Ourga en Mongolie et s’installe comme dictateur. Il est chassé en juillet par les Soviets.
- 13 mars : Fondation du Parti populaire révolutionnaire mongol par Damdin Sükhbaatar. Un gouvernement provisoire est proclamé. Une armée de volontaires aidée par une division de l’Armée rouge chasse en quelques mois les dernières troupes chinoises puis la garde blanche d’Ourga le 7 juillet. Quelques jours plus tard, Damdin Sükhbaatar proclame le transfert de la souveraineté nationale au peuple.
- 11 avril : Le parlement Kuomintang de Canton élit Sun Yat-sen chef du gouvernement de la République de Chine, en concurrence avec le « gouvernement de Beiyang » en place à Pékin.
- Printemps : Voyage en Europe du prince Hirohito, héritier du trône de l'Empire du Japon.
- 1er juillet : Fondation du Parti communiste chinois au congrès de Shanghai.
- 11 juillet : En Mongolie, un gouvernement provisoire est nommé le 11 juillet 1921, suite à une révolte populaire. La fête nationale (11-13 juillet) commémore cet évènement.
- Août, Indes britanniques : Révolte des Mapillais (Moplahs), population musulmane du sud, contre le pouvoir colonial. La répression provoque plus de 2 000 morts parmi les rebelles.
- 4 novembre : Le Premier ministre japonais Hara Takashi, accusé par les militaires de défendre plus les intérêts des civils que ceux de l’armée, est assassiné par un étudiant. Il sera suivi d’une longue suite d’assassinats politiques jusqu’en 1940.
- 12 novembre : Début de la conférence de Washington sur le désarmement naval et la défense de l’intégrité de la République de Chine (fin en février 1922). L'Empire du Japon doit évacuer le Shandong et ne garder que les droits qui lui sont reconnus, sur le chemin de fer de Jinan.
- 17 novembre : Début de la visite du prince de Galles en Inde britannique.
- Un vaste mouvement comportant le boycott des produits anglais et la non-coopération est lancé par Gandhi et le Parti du Congrès avec l’appui des musulmans contre le régime colonial et pour le redressement du Califat (1921-1922). Le mouvement culmine en novembre dans un gigantesque hartal (« arrêt de travail ») pour protester contre la visite du prince de Galles.
- 22 novembre : Traité de Kaboul[6]. La Grande-Bretagne reconnait l'indépendance de l’Afghanistan proclamée par le roi Amanullah.
- 29 novembre : Le prince impérial du Japon Hirohito devient régent, suite à la maladie de son père l'empereur Taishō.
- 13 décembre, conférence de Washington : Le secrétaire d'État américain Charles E. Hughes obtient l’adhésion des grandes puissances à la politique de Porte Ouverte en République de Chine, un traité de garantie mutuelle des possessions insulaires dans le Pacifique et une limitation sur les flottes de guerres (les États-Unis obtiennent la parité avec le Royaume-Uni et une supériorité sur l'Empire du Japon).
- 21 décembre : Inauguration à Calcutta (Inde) du Victoria Memorial, grand bâtiment de marbre, combinant architecture britannique et architecture moghole, construit à l'instigation du vice-roi, Lord Curzon, en mémoire de la reine Victoria, qui est aujourd'hui l'un des plus impressionnants vestiges de la présence britannique à Calcutta.
- Crue du Huang He, le Fleuve jaune de Chine.
- Tibet : Les représentants britanniques en poste au Sikkim, David MacDonald et sir Charles Bell, sont alors les seuls étrangers admis à Lhassa.
- Indes orientales néerlandaises (actuelle Indonésie) : Le Sarekat Islam décide la rupture avec les communistes, ce qui accentue le caractère religieux du mouvement et collabore avec la Mouhammadyah (musulmans réformistes) et organise le premier congrès panislamiste d’Indonésie. Grèves dans les tramways et les chemins de fer, les imprimeries, l’industrie sucrière et parmi les employés des Monts de Piété. Le gouvernement réagit en procédant à l’arrestation des communistes au moment des grèves (1921-1922).
Proche-Orient
- Mars : A la conférence du Caire, Churchill décide de confier l’autorité politique sur le Mandat britannique de Mésopotamie à Fayçal, qui vient d’être chassé de Damas par les Français. Le pays doit accéder rapidement à l’indépendance, une fois les intérêts britanniques garantis. Le Royaume-Uni procède à un allégement de sa présence militaire au profit d’une force armée locale étroitement contrôlée. Elle conserve essentiellement une force aérienne chargée du maintien de l’ordre par d’éventuel bombardements et du contrôle des voies aériennes vers l’Inde. Les bases militaires britanniques sont protégées par des forces auxiliaires locales composées de chrétiens assyriens. La candidature de Fayçal est accueillie favorablement par les notables chiites du sud et suite à un simulacre de consultation populaire, Fayçal est élu roi et couronné le 23 août.
- 2 avril : L’Armée rouge entre de nouveau à Erevan et rétablit le régime communiste sous la direction d’Alexandre Miasnikian. Les Dachnaks se replient sur le Zanzékour, puis à Ghapan, mais doivent se retirer en Perse après quelques mois de résistance. La répression est freinée par Lénine.
- 11 avril : Abdallah Ier de Jordanie, émir hachémite de Transjordanie, principauté sous mandat britannique (roi en 1946).
- 1er-3 mai : Troubles à Jaffa. La violence se déplace vers le centre de la Palestine. Les émeutes font au total 90 morts côté juif et 62 du côté arabe.
- 10 juin : Déclaration de Paris : les représentants des trois États de Transcaucasie et du Caucase du Nord proclament leur indépendance (Azerbaïdjan, Arménie, Géorgie). Ils établissent entre eux une union douanière et une alliance militaire. Cette déclaration reste sans effets auprès des puissances étrangères.
- L’évacuation des Britanniques et des Allemands permet aux Soviétiques de s’emparer, en 1920-1921, de l’Azerbaïdjan, de l’Arménie, de la Géorgie et du Turkestan. Les troupes soviétiques envahissent la Géorgie qui est incorporée à l’URSS, pour former, avec l’Arménie et l’Azerbaïdjan, la république fédérative socialiste soviétique (RFSS) de Transcaucasie. Le pays des Tadjik est rattaché à la République socialiste soviétique autonome du Turkestan (RSSA).
- Juin-août : Le IVe Congrès islamo-chrétien décide d’envoyer à Londres une délégation conduite par Musa Kazim al-Husseini. Elle est reçue par Churchill le 15 août et lui expose ses craintes de voir se constituer un État Juif en Palestine. Le Premier ministre britannique conseille une rencontre avec Weizmann, qui refuse de reconnaître que le projet sioniste n’est pas la formation d’un État. Les délégués n’obtiennent que l’assurance que l’immigration juive en Palestine n’excédera pas les capacités de développement économique du pays.
- Juin : L’Italie évacue la région d’Adalia.
- 10 juillet : Troisième attaque grecque contre la Turquie : Afyon (13 juillet), Kütahya et Eskişehir sont prises.
- 14 août-13 septembre : Victoire turque à la bataille de la Sakarya.
- 22 août : Après l’effondrement de l’Empire ottoman, Abdelaziz Ibn Sa'ud érige son émirat du Nedjd au rang de sultanat. Il laisse l’Ikhwan lancer ses raids vers le Sud de l’Irak et la Transjordanie. Arrivées près d’Amman, les forces saoudiennes sont détruites par l’armée britannique. Londres menace de couper ses subventions à Sa’ud et impose un compromis. Afin de calmer les volontés expansionnistes saoudiennes, elle octroie au Sultan des territoires koweïtiens censés contenir du pétrole.
- 23 août : Début du règne de Fayçal, roi hachémite d’Irak sous mandat britannique.
- Fayçal s’appuie sur les grands notables urbains sunnites et sur les anciens officiers irakiens de la révolte arabe, comme Nuri Sa'id et Jafar al-Askari. Ces derniers ont l’ambition de créer un État fort, sur le modèle du régime jeune-turc. Les querelles de pouvoir sont très fortes et l’instabilité ministérielle est de mise. Les anciens officiers s’enrichissent et deviennent des notables et des grands propriétaires. Fayçal favorise la formation d’une armée moderne nationale.
- 25 août-21 septembre[7] : Premier congrès du comité syro-palestinien à Genève sous la direction de l’émir Michel Lutfallah (avec Rashid Rida, l’émir druze Shakib Arslan, etc.). Il met sur pied un bureau permanent à Genève chargé de mener une action d’information auprès de la SDN en faveur de la nation arabe de Syrie. Face au danger sioniste, les Palestiniens refusent de se reconnaître comme Syriens.
- 28 août : Mustafa Kemal, nommé généralissime, parvient à faire lâcher prise aux Grecs.
- 13 octobre : Traité de Kars entre la Turquie et les républiques soviétiques de Transcaucasie.
- 20 octobre : En Cilicie, la France conclue l’accord Franklin-Bouillon (ou accords d’Ankara) avec les kémalistes qui peuvent ainsi récupérer pour le front occidental les troupes immobilisées dans le Taurus. Plus de 100 000 Arméniens de Cilicie se réfugient en Syrie, en Égypte, en Grèce et à Chypre. Seul le Sandjak d'Alexandrette reste sous mandat français jusqu’en 1939.
- 22 décembre, Égypte[8] : Saad Zaghlul est à nouveau exilé suite à son opposition de la politique britannique.
- Sous l’impulsion du théoricien du nationalisme arabe Sati al-Husri, l’Irak alors sous mandat britannique, se dote d’un réseau scolaire primaire et secondaire, en dépit des pressions britanniques destinées à réduire les crédits à l’éducation. Cet enseignement de masse concerne les enfants des classes moyennes, et dispense un programme voué à éveiller la conscience nationale arabe et à inculquer l’unité arabe. La présence britannique est fustigée, ainsi que toute forme d’impérialisme. Les chiites refusent d’envoyer leurs enfants dans les écoles de l’État.
Europe
L'empire britannique en 1921.
- Le Royaume-Uni compte 42,7 millions d’habitants. 22% de la population active travaille dans les services. Le chômage passe la barre du million.
14 mai : La République et l'État de Genève commémorent l'application du Règlement du 19 juin 1920. Un événement fait pour rassembler la population et pour la création de l'image de la Genève Internationale.
Europe orientale
- 19 février : Alliance défensive entre la Pologne et la France[9].
- 28 février, Russie : Mutinerie des marins de Kronstadt. Répression brutale.
- 3 mars : Alliance défensive de Bucarest entre la Pologne et la Roumanie contre la RSFSR[10].
- 12 mars, Russie : Début de la NEP (Nouvelle politique économique). Les réquisitions de récoltes sont remplacées par un impôt en nature et les paysans sont autorisés à vendre le surplus de leur production sur le marché libre. Les entreprises privées sont affranchies de la tutelle de l’état. Une économie de marché est rétablie.
- 16 mars : Traité commercial entre la Russie et la Grande-Bretagne[11].
- 17 mars : Constitution en Pologne, établissant un régime démocratique et parlementaire. Józef Piłsudski, en opposition avec la droite (nationaux-démocrates), refuse la présidence. Période d’instabilité gouvernementale.
- 18 mars : Traité de Rīga mettant fin à la guerre russo-polonaise et fixant les frontières entre la Pologne et la Russie plus à l’est. La Pologne acquiert une importante partie de la Biélorussie et de l’Ukraine (Galicie orientale et Volhynie). Ces acquisitions seront complétées par la restitution de la haute Silésie avec Katowice et de toute la Galicie.
- 21 mars : Écrasement par les bolcheviks de la mutinerie de marins de Kronstadt.
- Mars-avril : Échec d'une première tentative de putsch de l'ancien roi Charles IV en Hongrie.
- 15 avril : Le comte István Bethlen, premier ministre de Hongrie (fin en 1931).
- 16 avril : Naissance du Parti communiste tchécoslovaque.
- 23 avril ; 7 juin ; 31 août : Petite entente entre la Tchécoslovaquie, la Royaume de RoumanieRoumanie et la Yougoslavie.
- 8-12 mai : Congrès du parti socialiste de Roumanie à Bucarest. 428 délégués se prononcent pour l’adhésion à la IIIe Internationale, 111 expriment des réserves. Le 11 mai est fondé le Parti communiste roumain. Le lendemain, la police arrête pour « haute trahison » ceux qui ont voté en faveur de l’adhésion.
- 28 juin : En Yougoslavie une coalition serbe vote et proclame une Constitution prévoyant un gouvernement fortement centralisé en l’absence des représentants croates, défenseurs des principes constitutionnels fédéralistes.
- 16 août : Début du règne d'Alexandre Ier, roi des Serbes, Croates et Slovènes. À la mort de Pierre Ier de Serbie, le régime sombre dans une semi-dictature gouvernée par les Serbes du parti national radical de Nikola Pasic. Sous la direction de Stjepan Radic, les Croates et leurs alliés luttent systématiquement contre le pouvoir en place.
- 20 août : La Russie soviétique accepte l’aide alimentaire proposée par les États-Unis.
- Octobre : Échec d'une seconde tentative de putsch du roi Charles IV en Hongrie. Le Parlement proclame alors la déchéance de la dynastie des Habsbourg.
- Décembre, Hongrie : István Bethlen forme son second cabinet et met en œuvre une politique de consolidation à l’intérieur du pays et dans ses relations internationales. Révisionniste, il est partisan de la rectification des frontières. Sa politique est un mélange d’ultra-conservatisme et de libéralisme : interdiction du communisme et de la franc-maçonnerie, mais signature du pacte Bethlen-Peyer permettant la poursuite de l’action du parti social-démocrate. Il atténue le numerus clausus dans les universités, qui perdent leur caractère antisémite, instaure un « délit de presse », mais supprime la censure.
- Famine en Russie (5 millions de morts) aggravée par la sécheresse de 1921. Vague de grèves et de désordres.
- Second projet de réforme agraire en Roumanie préparé par le ministre de l’Agriculture conservateur Constantin Garoflid : la propriété est limité à 100 ha avec des exceptions, les surplus seront redistribués en lots de 5 à 7 ha en priorité aux victimes de la guerre. Dans le vieux royaume, 2,8 millions d’ha changent de main, soit plus d’un tiers du sol. Des lois spécifiques sont votées dans les nouvelles provinces. Six millions d’hectares seront expropriés au total, mais quatre seulement redistribués à 1 400 000 paysans, le reste étant réservé à l’État ou aux communes.
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Arts et culture
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- 1er mars : Terence James Cooke, cardinal américain, archevêque de New York († 6 octobre 1983).
- 12 mars : Gianni Agnelli, industriel italien († 24 janvier 2003).
- 15 mars : Pepe Dominguín, matador espagnol († 6 juillet 2003).
- 19 mars : Joseph-Marie Trinh van-Can, cardinal vietnamien, archevêque de Hanoi († 18 mai 1990).
- 20 mars : Henri Labussière, acteur français († 16 juin 2008).
- 21 mars : Arthur Grumiaux, violoniste belge († 16 octobre 1986).
- 24 mars : Vassily Smyslov, joueur d'échecs russe.
- 28 mars : Dirk Bogarde, acteur britannique († 8 mai 1999).
- 4 août : Maurice « Rocket » Richard, joueur de hockey sur glace québécois († 27 mai 2000).
- 5 août, Yves Vincent, comédien français.
- 12 août : Federico Zeri, historien d'art italien († 5 octobre 1998).
- 18 août : Frédéric Jacques Temple, écrivain français.
- 25 août : Paulos Tzadua, cardinal éthiopien, archevêque d'Addis-Abeba († 11 décembre 2003).
- 27 août : Paul Rousset, évêque catholique français, pradosien et évêque émérite de Saint-Étienne.
- 28 août : Lidia Gueiler Tejada femme politique, présidente de la Bolivie.
- 7 septembre : Lucien Jerphagnon, philosophe et historien français († 16 septembre 2011).
- 8 septembre : Victor Razafimahatratra, cardinal malgache, jésuite et archevêque de Tananarive († 6 octobre 1993).
- 12 septembre :
- 14 septembre : Paulo Evaristo Arns, cardinal brésilien, archevêque émérite de Sao Paulo.
- 17 septembre : Virgilio Barco Vargas, président de la République de Colombie de 1986 à 1990.
- 18 septembre :
- 21 septembre : Chico Hamilton, batteur de jazz américain.
- 27 septembre : Miklós Jancsó, réalisateur hongrois.
- 30 septembre : Stanislas Nagy, cardinal polonais, archevêque émérite d'Holar.
Notes et références