Publicitad E▼
audiovisuel (adj.)
1.qui se rapporte à l'ensemble des moyens de communication utilisant l'image et le son.
audiovisuel (n.m.)
1.ensemble des moyens pédagogiques utilisant l'image et le son.
Publicidad ▼
⇨ definición de Audiovisuel (Wikipedia)
audiovisuel (n.m.)
Publicidad ▼
Ver también
audiovisuel (adj.)
⇨ Conseil supérieur de l'audiovisuel • Document audiovisuel pédagogique • document audiovisuel • espace audiovisuel européen • industrie de l'audiovisuel • l'audiovisuel • matériel audiovisuel • piratage audiovisuel • politique de l'audiovisuel • programme audiovisuel
⇨ document audiovisuel • espace audiovisuel européen • matériel audiovisuel • piratage audiovisuel • programme audiovisuel
⇨ Animation Art graphique Audiovisuel • Art audiovisuel • Association des scénaristes de l'audiovisuel • Audiovisuel au Maroc • Brevet de technicien supérieur - Métiers de l'audiovisuel • Centre audiovisuel • Centre audiovisuel d'études juridiques • Cinéma et audiovisuel du Nord-Pas-de-Calais • Conseil national de régulation de l'audiovisuel • Conseil supérieur de l'audiovisuel • Conseil supérieur de l'audiovisuel (Belgique) • Conseil supérieur de l'audiovisuel (France) • Dérapage (audiovisuel) • Fédération des industries du cinéma, de l'audiovisuel et du multimédia • Fédération nationale des syndicats du spectacle de l'audiovisuel et de l'action culturelle CGT • Institut de l'audiovisuel et des télécommunications en Europe • Institut de la Communication Audiovisuel de Polynésie française - ICA • Institut européen du cinéma et de l'audiovisuel • Institut national de l'audiovisuel • Institut supérieur de la communication, de la presse et de l'audiovisuel • Liste de créatures de l'audiovisuel • Musée national suisse de l'audiovisuel • Observatoire européen de l'audiovisuel • Patch (audiovisuel) • Paysage audiovisuel • Paysage audiovisuel français • Paysage audiovisuel ivoirien • SNG (audiovisuel) • Société de l'audiovisuel extérieur de la France • Tournage (audiovisuel) • Union des créateurs et entrepreneurs du cinéma et de l'audiovisuel de l'Afrique de l'Ouest • À la rencontre de divers aspects du monde contemporain ayant en commun leur illustration sur support audiovisuel • École supérieure d'audiovisuel
audiovisuel (adj.)
relatif à[Classe...]
radio et télévision : mode de télécommunication[termes liés]
outil de communication[termes liés]
industrie[DomaineDescription]
audiovisuel[Dérivé]
audiovisuel (n. m.)
outil de communication[termes liés]
radio et télévision : mode de télécommunication[termes liés]
audiovisuel (n. m.)
Wikipedia
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
|
Cet article doit être recyclé.
Une réorganisation et une clarification du contenu sont nécessaires. Discutez des points à améliorer en page de discussion.
|
L'audiovisuel désigne à la fois le matériel, les techniques, méthodes d'information, de communication ou d'enseignement associant le son et l'image.
Sommaire |
L'histoire de l'audiovisuel se confond avec l'histoire du cinéma, de la prise de son et de la télévision. Il semble que la première définition du terme s'appliquait à «tout ce qui n'était pas livre ou, de façon encore plus pragmatique, tout document qui nécessite un appareil de lecture »[1].
Aujourd'hui, une œuvre audiovisuelle est définie par son contenu (programme télévisé, documentaire, vidéoclip, etc.) ou par la réglementation en vigueur dans un pays. En France, c'est le Conseil supérieur de l'audiovisuel qui est chargé de contrôler les activités liées à ce secteur.
L'audiovisuel peut constituer une source pour les historiens. Des spécialistes de l'époque contemporaine comme Marc Ferro ou Pierre Sorlin ont exploité des œuvres cinématographiques pour une partie de leurs travaux.
La possibilité d'enregistrer des images et du son a naturellement attiré l'attention des autorités militaires. À partir de la fin du XIXe siècle, l'audiovisuel sert à la fois pour les opérations de renseignement militaire et pour la propagande. La Section cinématographique de l'armée (SCA) est créée en 1915.
En France, les techniques audiovisuelles ont été utilisées très tôt dans les établissement scolaires comme soutien pédagogique. Dans les années 1950, le ministère de l'éducation nationale lance des expériences pilotes de « collèges audiovisuels », notamment à Saint-Cloud et à Marly-le-Roi. À partir des années 1960, la télévision scolaire commence à faire son apparition dans les salles de classe avec des programmes pédagogiques spécialement réalisés par le Centre national de documentation pédagogique (CNDP) pour l'occasion : émissions à thèmes historiques, documentaires de sciences naturelles, etc. Des enseignants et des professionnels du cinéma et de la télévision participent à ces initiatives, comme les philosophes Alain Badiou et Raymond Aron en 1965 ou les sociologues Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron en 1967, ainsi qu'Éric Rohmer, Nestor Almendros et d'autres[2]. Un dispositif national est actif pour les scolaires: école et cinéma, collège et cinéma et lycée et cinéma.
Dans les années 1960-1970, des groupes de plasticiens collaborant avec des musiciens produisaient des light-show. Il s'agissait de projections de diapositives (slides) sur lesquelles les artistes, en temps réel et en musique, produisaient des effets de couleurs et de formes. Ces groupes se sont manifestés notamment à Paris au Musée d'art moderne de la Ville de Paris. L'artiste Fred Forest, pionnier de l'art vidéo, propose dès 1965 le "Tableau-écran" qui est une peinture de grande dimension destinée à recevoir des projections de slides et de films[3].
Il généralisera le procédé après avoir déposé un brevet, et le présentera plus tard au 2e Salon de l'audiovisuel à la porte de Versailles avec Luc Ferrari musicien de musique contemporaine[4], Fred Forest perfectionnera le procédé lors d'une exposition à la Galerie Paul Facchetti en utilisant un ordinateur et en substituant au nom de « Tableau-écran » celui de « Cybervision ». Le choix de ce nom constitue manifestement à cette époque une anticipation visionnaire pour ce que nous vivons aujourd'hui. C'était, par ailleurs, la première fois qu'un ordinateur était introduit dans une galerie parisienne pour produire de l'art.
Toujours avec Luc Ferrari et Pierre Lafleur, Fred Forest avait réalisé une œuvre en Cybervision pour la Foire Universelle d'Osaka en 1970[5].
Contenido de sensagent
computado en 0,031s