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bit (n.m.)
1.Chacun des deux caractères d'un alphabet de deux caractères, destiné à représenter des informations.
Note :
1. Le terme « bit » résulte de la contraction debinary digit.
2. Le terme « bit » est employé comme nom d'unité, de symbole invariablebit,soit seul pour exprimer la taille d'une mémoire ou d'un fichier, soit en combinaison avec une unité de temps, généralement la seconde, pour exprimer un débit de transmission. On parle alors de bits par seconde, de symbolebit/s. Les noms des multiples sont formés avec les préfixes usuels.
3. L'unité binaire de quantité d'information est le « shannon » et non plus le « bit ».
Attention :Cette publication annule et remplace celle duJournal officieldu 22 septembre 2000.
(date de la publication : 14/12/2004 - éd. commission des télécommunications)
2.(Acronyme)unité élémentaire d'information ne pouvant prendre que deux valeurs distinctes.
B.I.T. (n.prop.)
1.sigle de : Bureau international du travail; organisme dont le siège est à Genève.
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⇨ definición de BIT (Littré)
⇨ definición de BIT (Wikipedia)
bit (n.m.)
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⇨ 16 Bit Lolitas • 8-bit (musique) • 8-bit Lagerfeuer • A Bit of Fry and Laurie • A Little Bit Longer • Atari 8-bit • Bit (homonymie) • Bit (langue) • Bit Machine • Bit Music • Bit de poids faible • Bit de poids fort • Bit lit • Bit par caractère • Bit time • Bit-tuner • Incredible Technologies 32-bit • Incredible Technologies 8-bit • Just A Little Bit • Liste de jeux Atari 8-bit • Manipulation de bit • NX Bit • Protocole orienté bit • Sonic the Hedgehog 2 (8 bit) • You Shouldn't-Nuf Bit Fish
BIT (n.)
Descripteurs EUROVOC[Thème]
bit (n. m.) [acronyme]
unité, unité de mesure[Hyper.]
bit (n. m.)
commission des télécommunications[Domaine]
Télécommunications[Domaine]
Informatique[Domaine]
chiffre binaire - shannon[Analogie]
B.I.T. (n. pr.)
Noms Propres (divers).[Classe...]
Le Littré (1880)
Terme de l'industrie diamantaire. Couronne à diamant pour inciser.
• Le bit peut être plein et user la roche sur toute la section du trou (Journ. offic. 7 déc. 1875, p. 10 093, 1re col.)
ÉTYMOLOGIE
Ce mot, appartenant à l'industrie de la taille des diamants, doit être cherché dans le hollandais : bit, mors, morsure, bijten, mordre.
Wikipedia - ver también
Wikipedia
ordre de grandeur |
Système international |
Préfixes binaires |
||
---|---|---|---|---|
Unité | Valeur | Unité | Valeur | |
103 | kilobit (kb) | 103 bits | kibibit (Kibit) | 210 bits |
106 | mégabit (Mb) | 106 bits | mébibit (Mibit) | 220 bits |
109 | gigabit (Gb) | 109 bits | gibibit (Gibit) | 230 bits |
1012 | térabit (Tb) | 1012 bits | tébibit (Tibit) | 240 bits |
1015 | pétabit (Pb) | 1015 bits | pébibit (Pibit) | 250 bits |
1018 | exabit (Eb) | 1018 bits | exbibit (Eibit) | 260 bits |
1021 | zettabit (Zb) | 1021 bits | zébibit (Zibit) | 270 bits |
1024 | yottabit (Yb) | 1024 bits | yobibit (Yibit) | 280 bits |
Le bit est un chiffre binaire, c'est-à-dire 0 ou 1. Il est donc aussi une unité de mesure en informatique, celle désignant la quantité élémentaire d'information représentée par un chiffre du système binaire. On en doit l'invention à John Tukey et la popularisation à Claude Shannon[1].
Sommaire |
Le mot « bit » est la contraction des mots anglais binary digit, qui signifient « chiffre binaire », avec un jeu de mot sur bit, « morceau ».
Il ne faut pas confondre un bit avec un byte, mot anglais qui se prononce /bait/ et se traduit par multiplet[2], association d'objets semblables. En informatique, le byte est un groupe élémentaire de 6 à 9 bits, généralement 8, ce qui dans ce cas fait un octet.
Un bit ne peut prendre que deux valeurs. Selon le contexte, numérique, logique (voir algèbre de Boole), électronique numérique, ou magnétique, on les appelle « zéro » et « un » ce qui équivaut respectivement à « faux » et « vrai », « ouvert » et « fermé », ou « nord » et « sud » :
Contexte | Valeurs | |
---|---|---|
numérique | 0 | 1 |
logique | non/faux | oui/vrai |
espace | ici | là |
interrupteur | ouvert | fermé |
magnétique | nord | sud |
optique | noir | blanc |
Technologiquement parlant, il existe une grande variété de moyen d'encodage binaire de l'information, selon le support de stockage ou de transmission utilisé : les propriétés physiques telle que la polarisation magnétique, la charge, le courant ou la tension électrique, l'intensité lumineuse, sont couramment utilisées. L'essentiel est d'autoriser avec une très bonne fiabilité la distinction entre les deux états 0 et 1 de manière à limiter les erreurs.
Il n'y a pas de standard universellement accepté au sujet des abréviations de bit et byte. Un standard fréquemment cité est celui du Commission électrotechnique internationale IEC 60027 (en) qui définit bit comme étant le symbole de l'unité binaire (par exemple, kbit pour kilobit). Le même standard définit o et B pour le byte.
Aujourd'hui, le standard harmonisé ISO/IEC IEC 80000-13:2008 (en) remplace et annule les articles 3.8 et 3.9 de la norme IEC 60027-2:2005 (ceux relatifs à la théorie de l'information et aux préfixes binaires).
Un autre standard souvent cité est IEEE 1541 (en) qui donne b comme symbole d'unité pour bit et B pour byte. Cette convention est fréquemment utilisée en informatique, mais ne jouit pas d'une reconnaissance internationale pour plusieurs raisons :
Le bel est rarement utilisé tel quel, on emploie plutôt le décibel (dB), qu'il est peu probable de confondre avec un décibyte, l'éventualité d'une confusion est faible, même si les deux unités sont utilisées en télécommunications.
Des années 1970 jusqu'à vers 1986, les fondeurs ont cherché à faire traiter les plus grands nombres entiers possibles par cycle d'horloge par leurs processeurs les plus puissants. En effet il est beaucoup plus efficace en termes de rapidité de faire par une instruction un calcul sur un chiffre codé sur grand nombre d'octets plutôt que de décomposer l'opération en plusieurs opérations qui manipulent des chiffres plus petits. Autrement dit, une multiplication sur 2 octets est beaucoup plus efficace que deux multiplications, un décalage et une addition à retenue sur 1 octet. Par exemple, en Hexadécimal 0x41 * 0x5 (soit 0x145) est plus rapide que 0x4*0x5 (soit 0x14), décalé d'un octet, plus 0x1*0x5. Le résultat est similaire pour les additions.
L'Intel 4004 est le premier microprocesseur. Il manipulait des mots de 4 bits. Les processeurs 8 bits les ont remplacés, ont suivi les 16 bits, les 16-32, les 32 bits, les 64 bits qui équipent les ordinateurs personnels depuis 2002, et ce jusqu'au processeur Very Long Instruction Word.
Les circuits électroniques sont souvent conçus pour traiter plusieurs bits en parallèle. Ceci permet d'accélérer ou d'augmenter les capacités de traitement de l'information.
Exemple d'accélération de traitement : Il faut une seconde pour transférer un mégaoctet de données à travers un bus informatique de 8 bits cadencé à 1 mégahertz. Si la largeur du bus est doublée à 16 bits, alors une demi-seconde suffit.
Exemple d'augmentation des capacités : Un processeur 32 bits peut adresser directement 4 gibioctets de mémoire informatique. Un processeur 64 bits peut adresser 16 exabits.
Le sous-dimensionnement des capacités des processeurs est un problème historique posé par l'augmentation des capacités de mémorisation. Ainsi, les compatibles PC ont été initialement basé sur une architecture 16 bits (architecture x86, 1978) qui ne pouvait pas adresser plus de 64 kibioctets de mémoire sans passer par des complications (segmentation, mémoire étendue, mémoire paginée). Les capacités de traitement 32 bits furent introduites dans la famille x86 avec l'Intel 80386 (1986), mais ce n'est qu'avec un système d'exploitation conçu pour tirer parti des capacités 32 bits (Linux, Windows NT, Windows 95) que les 4 gibioctets d'adressage peuvent être pleinement exploités.
Les difficultés rencontrées pour augmenter les capacités en élargissant le nombre de bits traités simultanément constituent un défi technique. En effet, la plupart des opérations courantes utilisées dans un programme informatique ne nécessitent pas des nombres dépassant 16 ou 32 bits. Les jeux d'instructions ont ainsi été étendus de manière à réaliser par exemple deux opérations 32 bits en une fois sur un processeur 64 bits. Malheureusement, il est souvent difficile d'exploiter toujours au mieux les capacités d'un processeur 64 bits. Les gains réels d'un élargissement des capacités d'un processeur sont donc souvent atténués par la difficulté à optimiser la compilation des programmes de manière à tirer parti de ces architectures.
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