Publicitad R▼
⇨ definición de Bardos (Wikipedia)
Publicidad ▼
Bardos (n. pr.)
Ville de : Bayonne (arrondissement)[Classe...]
Publicidad ▼
Wikipedia
|
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) ; pour plus d'indications, visitez le projet Communes de France.
|
Bardos | |
---|---|
Administration | |
Pays | France |
Région | Aquitaine |
Département | Pyrénées-Atlantiques |
Arrondissement | Bayonne |
Canton | Bidache |
Code commune | 64094 |
Code postal | 64520 |
Maire Mandat en cours |
Jean-Paul Diribarne 2008-2014 |
Intercommunalité | Communauté de communes du pays de Bidache |
Démographie | |
Population | 1 553 hab. (2007) |
Densité | 37 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | |
Altitudes | mini. 0 m — maxi. 183 m |
Superficie | 42,53 km2 |
Bardos est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques et la région Aquitaine.
Le gentilé, issu du basque[1], est Bardoztar[2].
Sommaire |
Bardos fait partie de la province basque du Labourd.
Les terres de la commune sont arrosées[3] par deux affluents de l'Adour, la Joyeuse et la Bidouze.
Plusieurs affluents de la Joyeuse traversent également la commune : Marmareko erreka, les ruisseaux de Lartasso, Eiheraxar, du Termi, ainsi que le tributaire de ce dernier, le ruisseau Ithurriaga.
Enfin, des affluents de la Bidouze, les ruisseaux d'Armont et le Lihoury, et les tributaires de celui-ci, les ruisseaux Arbéroue (ainsi que l'affluent de ce dernier, le ruisseau Joan de Pès) et le Jelós (ainsi que l'affluent de ce dernier, le ruisseau d' Aphate), sont aussi présent sur le territoire de Bardos.
Lieux-dits et hameaux de la commune selon le Géoportail[4]
|
|
|
Le toponyme Bardos est mentionné[5] au XIIIe siècle (cartulaire de Bayonne[6]), et apparaît sous la forme Bardos (1203, 1249, 1305) Sancta Maria de Bardos (1693, collations du diocèse de Bayonne[7]).
Il est composé d'une racine *bard- "ronces" et du suffixe basco-aquitain -os. Le toponyme Lichabe apparaît[5] sous la forme Lizabe (1194), Lissaber (1266), L'ostau de Lissabe (1502, titres de Navarre[8]),
Son nom basque est Bardoze[1]. Son nom gascon est Bardòs.
La relation de Bardos au Labourd présente quelques particularités (partagées avec les villages voisins de Guiche et Urt).
Pendant l'Ancien Régime, ces trois paroisses ne dépendaient pas judiciairement des institutions judiciaires labourdines, mais de la sénéchaussée de Came[11]. Alors qu'elles avaient cessé de participer aux travaux du Biltzar du Labourd, elles sont admises de nouveau dans cette assemblée en 1763, à charge de contribuer désormais aux travaux de celle-ci[12]. Ces péripéties semblent à Anne Zink de peu de signification : même avant ce rattachement, les trois paroisses étaient fiscalement labourdines, et c'était la coutume de la province du Labourd qui y régissait le droit civil[13].
En janvier 2010, Bardos adhère à la communauté de communes du pays de Bidache.
Blasonnement :
Écartelé aux 1 et 4 d'azur à trois pals d'or, aux 2 et 3 de gueules au chêne arraché d'argent et un ours d'or passant sur le fût de l'arbre [14].
|
Armes adoptées par la commune en 1982.
La commune appartient à douze structures intercommunales :
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
La Brasserie du Pays basque 'EKI' est installée à Bardos.
Jusqu'au XIXe siècle, Bardos était renommée pour son activité lapidaire[15].
D'après la Carte des Sept Provinces Basques du prince Louis-Lucien Bonaparte datant de 1863, le dialecte basque parlé à Bardos est le bas-navarrais oriental. Il faut aussi noter que bien que le basque était majoritaire, le gascon était jadis parlé par une partie non négligeable de la population, parfois en plus du basque.
Le comité des fêtes de Bardos assure deux événements majeurs : les fêtes patronales (autour du 15 août) et le festival musical Xarnegu Eguna (mi-avril) organisé jusqu'à présent conjointement avec le Foyer de Bardos.
Que bas entau Bidache ? Pot de grache.
Que bas entau Bardos ? Chuque aquét os.
A Bardos que minjà la carne e que dachen lous os.
Tu vas à Bidache ? Pot de graisse.
Tu vas à Bardos ? Suce l'os.
À Bardos, mange la viande et laisse les os.
Le château de Salha[16] date du XVIIe siècle (1655).
Bardos possède des fermes[17] datant des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles : Arotxetxe, Arribit et Leizarraga Behere.
L'ancienne mairie[18], en activité jusqu'en 1982, date du XVIIIe siècle.
On trouve également des maisons de maître[19] des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles : Casanava, Etxebeheiti, Lixabe, Lurberrieta et Sorhoeta.
Le manoir dit château de Miremont[20] date du XVe siècle. Le site Miremont, à 188 mètres d'altitude, offre une vue panoramique sur l'Adour, les Landes et les Pyrénées.
Le moulin d'Ermont ou du Bosc[21] date du XVe siècle.
L'église de l'Assomption de la Bienheureuse-Vierge-Marie[22] a été reconstruite à la fin du XIXe siècle mais elle a conservé le porche roman du XIIIe siècle.
Elle possède de nombreuses pièces répertoriées[23] par le ministère de la Culture telles que des autels, des chandeliers et des confessionnaux.
Elle est située à l'endroit le plus élevé du bourg, à 128 mètres d'altitude. Le cimetière, qui se trouvait autrefois autour de l'église comme dans de nombreux villages du Pays basque, a été déplacé le 21 mai 1861 à son actuelle place au bord de la route départementale 936.
Un certain nombre de croix, calvaires et monuments commémoratifs sont présents dans le village :
Les différents clubs et associations sportives du village ont la chance d'avoir à leur disposition plusieurs équipements : fronton, trinquet et mur à gauche pour la pelote basque, deux courts de tennis et un stade de rugby. En 2011 a été créé face au stade Erdizka, bâtiment d'évolution sportive doté d'un équipement de musculation et d'une salle de danse.
La commune dispose de deux écoles primaires, l'école publique et l'école privée Sainte-Marie.
Contenido de sensagent
computado en 0,047s