definición y significado de Bucarest | sensagent.com


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Definición y significado de Bucarest

Definición

Bucarest (n.prop.)

1.capitale de la Roumanie (1,9 million d'habitants; important centre industriel du pays; centre culturel). - Capitale de la Valachie depuis le XVe s.

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Definición (más)

definición de Bucarest (Wikipedia)

Sinónimos

Bucarest (n.prop.)

Bucuresti

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Frases

1 Decembrie 1918 (métro de Bucarest) • 1 Mai (métro de Bucarest) • 12 h 08 à l'est de Bucarest • AS Rocar Bucarest • Académie d'études économiques (Bucarest) • Académie nationale d'éducation physique et de sport (Bucarest) • Académie technique militaire (Bucarest) • Anghel Saligny (métro de Bucarest) • Apărătorii Patriei (métro de Bucarest) • Aurel Vlaicu (métro de Bucarest) • Aviatorilor (métro de Bucarest) • Basarab (métro de Bucarest) • Berceni (métro de Bucarest) • Bourse de Bucarest • Bucarest Rugby • CF Sportul Studenţesc Bucarest • CS Sportul Studentesc Bucarest • CSA Steaua Bucarest • CSA Steaua Bucarest (hockey sur glace) • Cathédrale patriarcale de Bucarest • Colentina Bucarest • Constantin Brâncoveanu (métro de Bucarest) • Costin Georgian (métro de Bucarest) • Crângaşi (métro de Bucarest) • Dimitrie Leonida (métro de Bucarest) • Dinamo Bucarest • Dinamo Bucarest (handball) • Dinamo Bucarest (hockey sur glace) • Dinamo Bucarest (rugby) • Dinamo Bucarest (volley-ball masculin) • Dristor (métro de Bucarest) • Eroii Revoluţiei (métro de Bucarest) • Eroilor (métro de Bucarest) • FC Dinamo Bucarest • FC Progresul Bucarest • FC Rapid Bucarest • FC Steaua Bucarest • Gara de Nord (métro de Bucarest) • Gorjului (métro de Bucarest) • Griviţa (métro de Bucarest) • Grozăveşti (métro de Bucarest) • Institut national de recherche et développement en micro-technologies (Bucarest) • Institut théologique romano-catholique Sf. Tereza (Bucarest) • Izvor (métro de Bucarest) • Laminorului (métro de Bucarest) • Ligne M1 du métro de Bucarest • Ligne M2 du métro de Bucarest • Ligne M3 du métro de Bucarest • Ligne M4 du métro de Bucarest • Liste des stations du métro de Bucarest • Lujerului (métro de Bucarest) • Mihai Bravu (métro de Bucarest) • Métro de Bucarest • Nicolae Grigorescu (métro de Bucarest) • Nicolae Teclu (métro de Bucarest) • Obor (métro de Bucarest) • Olimpia Bucarest • Pajura (métro de Bucarest) • Palais du Parlement (Bucarest) • Pantelimon (métro de Bucarest) • Parc Bazilescu (métro de Bucarest) • Petrache Poenaru (métro de Bucarest) • Piaţa Iancului (métro de Bucarest) • Piaţa Muncii (métro de Bucarest) • Piaţa Romană (métro de Bucarest) • Piaţa Sudului (métro de Bucarest) • Piaţa Unirii (métro de Bucarest) • Piaţa Victoriei (métro de Bucarest) • Pipera (métro de Bucarest) • Politehnica (métro de Bucarest) • Preciziei (métro de Bucarest) • Păcii (métro de Bucarest) • RC Steaua Bucarest • Rapid Bucarest • Rapid Bucarest (handball) • Rapid Bucarest (hockey sur glace) • Republica (métro de Bucarest) • Romana-Americana Bucarest • Stade Dinamo (Bucarest) • Steaua Bucarest (handball) • Théoctiste de Bucarest • Timpuri Noi (métro de Bucarest) • Tineretului (métro de Bucarest) • Titan (métro de Bucarest) • Traité de Bucarest • Traité de Bucarest (1812) • Traité de Bucarest (1886) • Traité de Bucarest (1913) • Traité de Bucarest (1916) • Traité de Bucarest (1918) • Tramway de Bucarest • Unirea Tricolor Bucarest • Universitate (métro de Bucarest) • Université Bioterra (Bucarest) • Université Politehnica (Bucarest) • Université de Bucarest • Université de sciences agronomiques et de médecine vétérinaire de Bucarest • Université nationale d'art (Bucarest) • Université nationale de musique (Bucarest) • Université roumano-américaine (Bucarest) • Université technique d'ingénieurs civils (Bucarest) • Venus FC Bucarest • Ştefan cel Mare (métro de Bucarest)

Diccionario analógico

Wikipedia

Bucarest

                   

44° 25′ 00″ N 26° 06′ 00″ E / 44.4166, 26.1

Bucarest
Blason de Bucarest
Héraldique
Drapeau de Bucarest
Drapeau
De haut en bas et de gauche à droite : place de la Révolution, palais Crețulescu, Piața Victoriei, palais du Parlement et Casa Presei Libere.
Administration
Pays Drapeau de Roumanie Roumanie
Région Munténie
Municipalité Bucarest
Maire Sorin Oprescu indépendant
depuis 2008
Code postal 0xxxxx
Indicatif téléphonique international +(40)
Géographie
Coordonnées 44° 25′ 00″ Nord
       26° 06′ 00″ Est
/ 44.4166, 26.1
Superficie 22 800 ha = 228 km2
Démographie
Population 1 943 981 hab. (2008)
Densité 8 526,2 hab./km2
Divers
Cours d'eau Dâmbovița
Localisation
Romania location map.svg
City locator 11.svg
Bucarest
Internet
Site de la ville http://www.pmb.ro

Bucarest (en roumain București Son? /bu.kuˈreʃtʲ/ [Fiche], ou Municipiul București en version longue) est la capitale de la Roumanie.

La ville est mentionnée pour la première fois en 1459 comme marché fortifié au carrefour des routes commerciales entre Târgoviște, alors capitale de la Valachie, Brașov en Transylvanie, et le port de San-Giorgio fondé par les génois sur le Danube. Ce marché s'est rapidement développé et, au XVIIe siècle, il devient la capitale de la principauté, puis, en 1859, de la Roumanie.

Alors qu'en 2003, la population de la ville s'élève à 2 082 000 habitants avec une aire urbaine de presque 2 500 000 habitants, au 1er janvier 2008, la municipalité compte 1 943 981 habitants[1].

Selon la légende, le nom de la ville vient de Bucur, un berger qui se serait établi le premier sur l'emplacement actuel. Comme, en roumain, bucur signifie joie, de nombreux écrivains roumains surnomment Bucarest la ville de la joie.

Sommaire

  Héraldique

De gueules au saint Démétrios de carnation habillé d'or et de gueules, couvert d'un manteau d'azur, tenant en pal à droite une pique d'argent emmanchée d'or et à gauche une croix latine d'or.

  Blason actuel de Bucarest
  Blason de Bucarest de 1970 à 1989
  Blason de Bucarest au début du XIXe siècle

.

  Histoire

  Bucarest vu par le satellite Spot
  Les ruines de Curtea Veche, la cour royale au Moyen Âge

L'histoire de Bucarest est plus ancienne que son statut de capitale de la Roumanie, qui date seulement du milieu du XIXe siècle. Selon la légende, elle fut fondée par un berger du nom de Bucur (qui signifie joie en roumain), même si historiquement la cité fut érigée au XIVe siècle par Mircea l'Ancien (Mircea cel Bătrân), après sa victoire sur les Turcs.

Bucarest s'appelle d'abord "la forteresse de Bucarest", en 1459, lorsque Vlad III l'Empaleur (Vlad Țepeș), prince de Valachie y réside. C'est alors que la vieille cour voévodale, Curtea Veche, est bâtie et, durant le règne de Radu II l'Élégant (Radu cel Frumos), Bucarest devient la résidence secondaire de la cour.

Incendiée par les Ottomans en 1595, durant les guerres de Michel le Brave, Bucarest est rebâtie et continue à grandir en taille et en prospérité. Son centre se situe autour de la "grand'rue" Ulița mare qui, à partir de 1589, est surnommée Lipscani d'après le nom des marchands qui importaient objets, étoffes et denrées de la foire de Leipzig (dans les langues slaves: Lipsca, "la ville des tilleuls"). Au XVIIe siècle, Bucarest devient le centre commercial le plus important de la Valachie et, en 1698, le prince régnant Constantin Brâncoveanu la choisit comme capitale de la principauté.

  Bucarest en 1837

Au XIXe siècle, alors que la Roumanie sert de théâtre d'opérations aux guerres des empires voisins et que les Roumains se soulèvent lors des révolutions de 1821 et de 1848, Bucarest est fréquemment occupée et pillée par les Ottomans, les Autrichiens et les Russes. Elle est longuement occupée deux fois par ces derniers, en 1828-1833 et en 1853-1854, puis par une garnison autrichienne en 1854-1857. En outre, le 23 mars 1847, 2 000 bâtiments de Bucarest sont la proie des flammes, qui détruisent un tiers de la cité. Ces ravages font disparaître une grande partie du patrimoine ancien.

En 1861, lors de l'union de la Valachie et de la Moldavie, Bucarest devient la capitale de la nouvelle principauté de Roumanie. Grâce au nouveau statut de Bucarest, la population de la ville augmente considérablement dans la seconde partie du XIXe siècle et une nouvelle ère de développement urbain commence. La richesse architecturale et la culture cosmopolite de cette période valent à Bucarest son surnom de Paris oriental, avec l'avenue de la Victoire (Calea Victoriei) comme Champs-Élysées. Mais la fracture sociale entre riches et pauvres, décrite en ce temps-là par Ferdinand Lassalle, en fait un nid de tensions à la fois sociales et nationales (les minorités, installées depuis longtemps et bien représentées en milieu urbain, sont plus instruites et aisées que les Roumains d'origine rurale qui y affluent).

Entre le 6 décembre 1916 et novembre 1918, la ville est occupée par les Allemands et la capitale est transférée à Iassy.

Après la Première Guerre mondiale, Bucarest devient la capitale du royaume de la Roumanie unifiée, qui inclut, entre autres, le retour de la Transylvanie. Entre les deux guerres, la ville eut le surnom de Petit Paris, tant les Français y sont nombreux (la Roumanie forme, avec la Tchécoslovaquie et la Yougoslavie, la "Petite Entente" alliée à la France). Quelques bâtiments monumentaux ont été construits par des architectes français (l'Athénée, le Palais CEC "Palatul Casei de Economii și Consemnațiuni"), mais la villa a surtout été le théâtre d'expression de styles architecturaux multiples tels l' Art nouveau, le Bauhaus, et les style purement locaux dits Néo-brancovan et Néo-vénitien dont il reste, malgré les destructions ultérieures, d'intéressants exemples.

Comme toute la Roumanie, Bucarest fut soumise aux régimes dictatoriaux carliste, fasciste et communiste de février 1938 à décembre 1989. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Bucarest souffre beaucoup des bombardements anglo-américains (la Roumanie du général Antonescu est alors l'alliée de l'Allemagne nazie). En 1977, un tremblement de terre de magnitude 7,4 sur l'échelle de Richter fait 1 500 victimes et donne un « coup d'accélérateur » au programme communiste de nettoyage des traces du passé bourgeois-aristocratique (selon la terminologie officielle omniprésente). Sous la présidence de Nicolae Ceaușescu (1965-1989), la plus grande partie du centre historique de la ville est ainsi détruit et remplacé par des immeubles de style soviétique, dont le meilleur exemple est le Centre civique, qui inclut le palais de la République, où un quartier historique entier a été rasé pour accueillir les constructions mégalomanes du dictateur roumain. Malgré tout, certains quartiers historiques restent encore debout aujourd'hui.

Bucarest est le témoin de la révolution de décembre 1989, initiée à Timișoara, puis en 1990, des manifestations étudiantes (Golaniades) et de leur répression sauvage (Minériades) par les mineurs de la vallée du Jiu, eux-mêmes manipulés par le pouvoir post-communiste.

Depuis 1990, avec le rétablissement de la démocratie et l'ouverture des frontières, la ville évolue rapidement. De très nombreux commerces s'ouvrent, et le nombre de véhicules individuels explose, posant des problèmes de circulation qui gênent aussi les transports urbains et grèvent la santé des Bucarestois.

Après l'année 2000, profitant du début du boom économique en Roumanie, la ville se modernise. Plusieurs développements résidentiels et commerciaux sont en cours, surtout dans les quartiers nord, alors que le centre historique de Bucarest subit une importante restauration. La ville renouvelle aussi son réseau d'adduction d'eau et de gaz, son réseau électrique et ses transports urbains, domaines dans lesquels l'offre était très inférieure aux besoins. Toutefois, cette offre reste insuffisante, notamment parce que des modifications apportées par le régime Ceaușescu ont été conservées à cause de la priorité absolue donnée à l'automobile (par exemple de nombreux passages piétonniers ont été remplacés par des tunnels pas toujours accessibles aux moins mobiles, et le réseau des trams qui, avant 1985, était interconnecté au centre de la ville, Piața Unirii, n'a pas été raccordé à nouveau : les terminus des différents réseaux se trouvent donc à plus d'un kilomètre les uns des autres, obligeant les voyageurs à de longues et périlleuses marches à pied et traversées). Ainsi le progrès n'empêche pas la capitale roumaine d'être de plus en plus dure pour les piétons, et quasiment impraticable aux cyclistes.

  Traités signés à Bucarest

  1. Traité du 28 mai 1812, à la fin de la guerre russo-turque de 1806-1812. La Moldavie perd la Bessarabie.
  2. Traité du 3 mars 1886, à la fin de la guerre serbo-bulgare.
  3. Traité du 10 août 1913, à la fin de la deuxième guerre balkanique.
  4. Traité du 14-27 août 1916, le traité d'alliance entre la Roumanie et l'Entente (France, Angleterre, Russie et Italie).
  5. Traité du 7 mai 1918, le traité entre la Roumanie et les puissances centrales, qui n'a jamais été ratifié.

  Climat

Le climat de la Valachie est continental, avec de forts écarts entre des hivers rigoureux et des étés moites. Les précipitations tombent majoritairement en été. Jadis ville-jardin, Bucarest atténuait alors ces contrastes, ses nombreux arbres coupant le vent d'hiver et maintenant la fraîcheur en été. Aujourd'hui livrée à la mode du béton et du verre, Bucarest où le nombre d'arbres a beaucoup diminué hors des parcs (pour faire toujours plus de place à la prolifération automobile, qui envahit même les trottoirs), est au contraire une cité qui accentue les contrastes climatiques, et il n'est pas rare que les mois d'été la température diurne dépasse les 40 °C et ne "redescende" la nuit qu'à 35 °C.

Relevé météorologique de Bucarest
Mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) -5,5 -3,3 0,3 5,6 10,5 14,0 15,6 15,0 11,1 5,7 1,6 -2,6 5,67
Température moyenne (°C) -2,4 -0,1 4,8 11,3 16,7 20,2 22,0 21,2 16,9 10,8 5,2 0,2 10,57
Température maximale moyenne (°C) 1,5 4,1 10,5 18,0 23,3 26,8 28,8 28,5 24,6 18,0 10,0 3,8 16,49
Précipitations (mm) 40 36 38 46 70 77 64 58 42 32 49 43 595


  Culture

  Églises principales

  Église Stavropoleos
  Église Crețulescu
  Palais CEC

  Autres lieux de culte

  Constructions historiques

Il y a certaines rues bordées de somptueux palais néobaroques protégés comme :

Bucarest a subi de nombreuses pertes patrimoniales, non seulement durant son histoire agitée, mais aussi depuis 2000. La faiblesse des lois protégeant le patrimoine, l'insuffisance des listes d'immeubles inscrits sur la liste du Patrimoine Historique, et la corruption ont créé un terreau fertile pour les promoteurs. De nombreuses constructions anonymes et purement fonctionnelles que l'on pourrait voir n'importe où ailleurs dans le monde, ont remplacé les maisons, jardins, villas et palais typiquement bucarestois qui constituaient une richesse architecturale et culturelle unique, à jamais perdue pour le pays[2]. Mais depuis quelques années, les anciens palais et les villas du centre commencent à être restaurés et plusieurs ont été classés au patrimoine mondial.

  Bâtiments modernes

  Athénée
  Théâtre national
  • Arcul de Triumf
  • Athénée roumain
  • Théâtre National
  • Les magasins sur le boulevard Magheru
  • Mémorial de la renaissance
  • Le palais de justice de Bucarest
  • Le palais du Parlement ou palais du Peuple : cette construction gigantesque a été édifiée entre 1984 et 1989. Le projet initial visait à regrouper tous les services de l'état ainsi que la résidence de Nicolae Ceaușescu.
  • Floreasca City Center
  • Dambovita center
  • Sema park
  • La tour de Dorobanti
  • Tower Center International
  • Asmita Gardens
  • City Gate Towers

  Musées

  Parcs et jardins publics

  Places

  Piața Unirii (place de l'Union)

  Cimetières notables

  Rues

  Boulevards

  Le boulevard Unirii
  • Boulevard Unirii : construit sous les ordres de Ceaușescu, il devait s'appeler « boulevard de la Victoire du Communisme » (« sur la Ville », ajoutait l'humour bucarestois) et selon les plans du dictateur, est de 30 centimètres plus large que les Champs-Élysées.

  Personnages célèbres

  Sports

  Football

Club Fondation Stade Informations
Sportul Studențesc Bucarest 1916 Stade Regie Équipe doyenne de Bucarest (Joue en 2006-2007 en championnat de 2e division roumaine)
Rapid Bucarest 1923 Stade Giulești Quart de Finaliste pendant la saison 2005-2006 de la Coupe UEFA (Meilleur performance de l'histoire du club)
National Bucarest 1944 Stade Cotroceni
Steaua Bucarest 1947 Stade Ghencea Vainqueur de la Coupe d'Europe des clubs champions et de la Supercoupe de l'UEFA en 1986; demi-finaliste de la Coupe UEFA en 2005-2006, après un match historique contre Rapid Bucarest en quart.
Dinamo Bucarest 1948 Stade Stefan Cel Mare 17 titres de champions de Roumanie
Rocar Bucarest 1953 Stade Rocar

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/30/Stadionul_National_-_National_Arena.jpg

  Économie

Argent : Leu/Lei

  Transports

Article détaillé : Centura Bucureşti.

  Transport en commun

Articles détaillés : Métro de Bucarest et Tramway de Bucarest.

Le réseau de Transport Public de Bucarest est le plus important au niveau national et est l'un des plus étendus d'Europe. Il comporte plusieurs lignes de métros, tramways, trolleybus et bus exploitées par la RATB (Regia Autonomă de Transport București). Le parc de véhicules, extrêmement vétuste en 1990, a été en grande partie renouvelé et mis aux normes de sécurité et de confort européennes. Un système privé de minibus est aussi présent à Bucarest. Le métro était exploité partie par la SNCFR (les chemins de fer) et partie par la RATB. Depuis 2007, l'ensemble du métro est exploité par l'Autorité métropolitaine de transport de Bucarest. Malgré ces progrès, le réseau ne suffit pas aux besoins, car les modifications apportées par la dictature Ceaușescu ont été conservées à cause de la priorité absolue donnée à l'automobile : de nombreux passages piétonniers ont été supprimés, or certains seulement ont remplacés par des tunnels pas toujours accessibles aux moins mobiles, et surtout le réseau des tramways qui, avant 1985, était interconnecté au centre de la ville, Piața Unirii, n'a pas été raccordé à nouveau : les terminus des différents réseaux se trouvent donc à plus d'un kilomètre les uns des autres, obligeant les voyageurs à de longues et périlleuses marches à pied et traversées. Enfin, l'intermodalité reste, elle aussi, insuffisante au niveau des gares et des aéroports : à titre d'exemple, aucune ligne de tramway ne dessert l'aéroport international "Henri Coandă" de Bucarest, et la ligne de train venant de la Gare du nord aboutit non à l'aérogare, mais à la gare du village d'Otopeni, d'où il faut prendre une navette. Heureusement, le trajet est très court.

  Transport aérien

La ville est desservie par deux aéroports :

– l'aéroport international Henri-Coandă (autrefois Otopeni) ;
– l'aéroport international Aurel-Vlaicu (autrefois Băneasa).

Henri Coandă est le plus grand aéroport roumain avec un trafic de 5 millions de passagers en 2007. Le principal opérateur en est la société nationale Tarom.

L'aéroport international Aurel Vlaicu, plus petit, est employé pour des vols d'affrètement et des vols low-cost.

  Décoration française

  Notes

  1. http://www.pmb.ro/orasul/date_geografice/populatia/populatia.php
  2. Sites du musée d'histoire sur la perte de patrimoine : [www.distrugeri.ro], [www.casamea.ro]

  Galerie

  Voir aussi

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  Article connexe

  Liens externes

   
               

 

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