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Definición y significado de Direction_générale_de_la_sécurité_extérieure

Definición

definición de Direction_générale_de_la_sécurité_extérieure (Wikipedia)

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Wikipedia

Direction générale de la sécurité extérieure

                   
Logo de la direction générale de la sécurité extérieure

Créée le 2 avril 1982
Agence précédente Service de documentation extérieure et de contre-espionnage
Juridiction Gouvernement de la République Française
Siège Drapeau de la France 141, boulevard Mortier, Paris (20e arrondissement), France
48.87445°′″N 2.407089°′″E / <span class="geo-dec geo" title="Cartes, vues aériennes et autres données pour Erreur d’expression : opérateur / inattendu. Erreur d’expression : opérateur / inattendu.">Erreur d’expression : opérateur / inattendu., Erreur d’expression : opérateur / inattendu.
Employés 4 750
Budget annuel 592.8 millions d’euros[1]
Ministre responsable Jean-Yves Le Drian, Ministre de la Défense
Direction Erard Corbin de Mangoux, Directeur général de la sécurité extérieure
Site web
www.defense.gouv.fr/dgse

La Direction générale de la sécurité extérieure, couramment connue sous le sigle DGSE, est le service de renseignement extérieur de la France.

La DGSE est placée sous l'autorité du ministre français de la Défense et est dirigée depuis le 10 octobre 2008 par Erard Corbin de Mangoux.

Sa devise serait « Partout où nécessité fait loi », qui exprime l'impératif de la raison d'État[2] ou, selon d'autres sources[3], « Ad augusta per angusta » (« À des résultats grandioses par des voies étroites »)[4].

Sommaire

  Organisation

Sous l’autorité du ministre français de la Défense, elle est chargée, selon les termes de l'article D. 3126-2 du Code de la défense, « de rechercher et d’exploiter les renseignements intéressant la sécurité de la France, ainsi que de détecter et d'entraver, hors du territoire national, les activités d’espionnage dirigées contre les intérêts français afin d’en prévenir les conséquences[5] ».

Avant le décret du 2 avril 1982[6] qui a procédé à sa refondation, les missions de ce service étaient remplies par le Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE).

La DGSE est membre de la communauté française de renseignement.

  Directeurs généraux de la sécurité extérieure (1981-aujourd'hui)

Le directeur général de la sécurité extérieure peut être un haut fonctionnaire civil ou militaire :

  Organigramme

La DGSE comprend les services suivants :

  • la direction de l’administration ;
  • la direction des opérations (dont le Service Action (SA) est une composante), chargée des opérations clandestines ;
  • la direction du renseignement ;
  • la direction de la stratégie ;
  • la direction technique, qui recherche et exploite les renseignements d’origine technique, propose et met en œuvre les orientations de la DGSE dans les domaines techniques (cf. notamment Frenchelon sur le réseau d'interception géré par cette direction) ;

Alliance Base, service de contre-terrorisme mis en place par Jacques Chirac, alors président de la République, au lendemain des attentats du 11 septembre 2001, qui s’occupait d’opérations conjointes avec la CIA et d’autres services étrangers, a été dissous à l'été 2009.

  Direction des opérations

La Direction des opérations est née de la volonté de Claude Silberzahn de placer le Service Action dans un ensemble plus vaste qui « outre l'action clandestine, est en charge de l'ensemble de la recherche du renseignement par voie opérationnelle[7] ».

En l'an 2000, la Direction des opérations comprenait les services suivants :

  • le service Action (SA), chargé de la planification et de la mise en œuvre des opérations clandestines.
  • le service Mission (DO SM), chargé de la recherche de renseignement par moyens humains dans les zones de crise
  • le service Assistance (DO ASS), spécialisé de la formation de services spéciaux étrangers[8]
  • le service Opérations (SO), anciennement appelé service 7[9] puis service KY[10], est spécialisé dans le vol d’informations étrangères mais sur le territoire français (cambriolage de chambres d'hôtels, surveillance de courrier, ouverture de valise diplomatique, etc.)[11]

Directeurs :

  Direction de la Stratégie

« La direction de la stratégie est chargée de la transmission et du suivi des orientations recueillies auprès des interlocuteurs officiels de la direction générale de la sécurité extérieure ainsi que de l'animation et de l'évaluation de la production de renseignements[13]. » Les directeurs de la stratégie proviennent toujours du ministère des affaires étrangères (ministres plénipotentiaires de 2e classe).

Directeurs :

  • Jean-Claude Cousseran (1989-1992)
  • Patrick Gautrat (1992-1993)
  • Guy Azaïs (3 novembre 1993 - 8 septembre 1997)
  • Bruno Joubert (1997 - 2001)
  • François-Xavier Deniau (2001 - 1er septembre 2005)
  • Pascal Teixeira da Silva (1er septembre 2005 - 31 août 2010)
  • Rémi Maréchaux (à compter du 1er septembre 2010)[14]

  Fonctionnement

  Installations

Le siège de la DGSE, officiellement désigné Centre administratif des Tourelles (CAT), se trouve en partie à Paris, au 141 boulevard Mortier, à proximité de la Porte des Lilas, dans le 20e arrondissement (48°52′28″N 2°24′25″E / 48.87444, 2.40694). Ses membres la désigneraient sous le nom de « centrale » ou de « Mortier » en raison de son adresse. Les médias l'ont surnommé la « piscine » en raison de sa proximité avec la piscine des Tourelles, tandis que le surnom donné à l'intérieur de la DGSE serait plutôt la « boîte »[15].

Le quartier général de la Division action est au fort de Noisy à Romainville.

Le projet « Fort 2000 », lancé en 1992, devait permettre de déménager le siège de la DGSE à Romainville, où se trouvait déjà le quartier général de la Division action.

  Site d'écoute électronique de Domme, dans le Périgord.

Ce projet a été perturbé par le manque de budget : les crédits d’études n’ont été débloqués dans le budget de la défense qu’en 1994, suivis des crédits des premiers travaux en 1995.

Le financement du projet a été revu à la baisse, passant de 2 milliards de francs à 1 milliard, et a subi l'opposition des riverains du fort qui craignaient les nuisances sonores dues à l’augmentation des survols d’hélicoptères, ainsi que de mouvements écologiques car la zone du fort abrite une espèce rare de crapauds.

Le projet a été abandonné en mai 1996. À la place, la DGSE a reçu des locaux supplémentaires, ceux occupés auparavant par une unité du train en face de la « Piscine ». Le boulevard Mortier où se situent les principaux locaux administratifs étant dangereux pour les piétons, un tunnel a été mis en place pour faciliter les mouvements du personnel d'un côté à l'autre du boulevard.

La DGSE partage en outre certaines de ses bases vouées au renseignement d'origine électromagnétique (ROEM) avec le Service fédéral de renseignement allemand (Bundesnachrichtendienst ou BND), comme à Kourou, en Guyane française, et gère certaines de ses installations avec la Direction du renseignement militaire (DRM).

  Effectifs

En 2011, la DGSE employait 4 747 agents à temps plein[16]. Ces effectifs se répartissaient ainsi :

Elle bénéficie également d’un réseau de correspondants bénévoles, basés en France ou à l’étranger, appelés "honorables correspondants". De 2009 à 2014, la loi de programmation militaire établie d'après le Livre blanc sur la Défense prévoit l'augmentation des effectifs de la DGSE de près de 690 personnes[17]. Cela porterait les effectifs de la DGSE à 4375 hommes et femmes, hors Direction des opérations.

La DGSE recrute son personnel civil titulaire selon des modalités semblables à celles du reste de la fonction publique française. Cependant, tout candidat est testé sur son habilitation à connaître des informations classifiées. Une série d'enquêtes est menée sur chaque candidat et son environnement pour identifier le potentiel de fuite d'information de chaque future recrue[18]. Outre les concours de la fonction publique, le recrutement de la DGSE soumet plusieurs autres tests aux candidats avant de peut-être les embaucher: épreuves théoriques, journée entière de tests et d'entretiens psychologiques, longue enquête de moralité. L'habilitation secret défense est délivrée aux candidats ayant passé ces tests avec succès[19].

  Corps de fonctionnaires de la DGSE

  • Catégorie A:
    • administrateurs de la direction générale de la sécurité extérieure[20], recrutés par l'ENA ou parmi les agents de catégorie A de la DGSE remplissant des conditions de grade et d'ancienneté
    • attachés de la direction générale de la sécurité extérieure (anciennement délégués de la direction générale de la sécurité extérieure)[21]
    • inspecteurs (chargés de missions techniques)
  • Catégorie C:
    • personnel de surveillance de la direction générale de la sécurité extérieure[22]

  Budget

Le budget est voté chaque année par le Parlement. Il est constitué d'une part du budget de la défense de l'État français et de crédits provenant des fonds spéciaux des services du Premier ministre. Ces fonds spéciaux servent à financer certaines activités opérationnelles.

Derniers budgets connus :

  • 1992 : 1 milliard de francs ;
  • 1997 : 1,36 milliard de francs ;
  • 1998 : 1,29 milliard de francs ;
  • 2007 : 445,4 millions d'euros, plus 36,2 millions d'euros de fonds spéciaux[23].
  • 2008 : 440,2 millions d'euros[24], plus 37 millions d'euros de fonds spéciaux[25].
  • 2009 : 480,4 millions d'euros, plus 42,6 millions d'euros de fonds spéciaux[26].
  • 2010 : 527,4 millions d'euros, plus environ 47 millions d'euros de fonds spéciaux[27].
  • 2011 : 559 millions d'euros, plus 53,9 millions d'euros de fonds spéciaux[16].
  • 2012 : 578,5 millions d'euros, plus 53,9 millions d'euros de fonds spéciaux[16].


Selon Claude Silberzahn, un des anciens directeurs, le budget se répartirait comme suit : 25 % renseignement militaire, 25 % renseignement économique et 50 % renseignement diplomatique.

Additionnellement, des officiers de la DGSE se voient chargés de la gestion d'un patrimoine clandestin constitué au lendemain de la Première Guerre mondiale par une partie des indemnités que l'Allemagne a versées à la France en application du Traité de Versailles de 1919. Ce patrimoine n'est en principe pas destiné à financer des opérations de la DGSE, mais à rester disponible pour pouvoir assurer la continuité de l'État en cas de crise, notamment financer un gouvernement en exil si le territoire national venait à être mis en danger, par exemple en cas d'invasion.

  Activités

Les missions générales de la DGSE sont formalisées aux articles D 3126-1 à D 3126-4 du Code de la défense, qui stipulent notamment que le Service « a pour mission, au profit du gouvernement et en collaboration étroite avec les autres organismes concernés, de rechercher et d'exploiter les renseignements intéressant la sécurité de la France, ainsi que de détecter et d'entraver, hors du territoire national, les activités d'espionnage dirigées contre les intérêts français afin d'en prévenir les conséquences »[1].

Les activités de la DGSE sont diverses :

Le contre-espionnage sur le territoire français n’est pas assuré par la DGSE mais par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), placée sous l’autorité du ministre de l’Intérieur.

  Opérations connues

  Agents connus ou supposés

Voir aussi la catégorie Personnalité de la DGSE

En raison des activités secrètes des agents de la DGSE (et avant du SDECE), l'appartenance de certaines personnes à ce service est nécessairement sujette à caution :

  • Alain Chouet, ancien chef du service de renseignement de sécurité de la DGSE ;
  • Philippe de Dieuleveult disparu en 1985 lors de l’expédition Africa-Raft au Zaïre. Les conditions de sa disparition n’ont toujours pas été élucidées. On évoque que le fait d'avoir été un correspondant (HC) de la DGSE aurait été le motif de son assassinat (Philippe de Dieuleveult était capitaine au 11e Choc[31]) ;
  • Pierre Galopin, négociateur dans l'affaire de la prise d'otage de l'ethnologue Françoise Claustre ;
  • Alain Juillet, ancien directeur du renseignement de la DGSE ;
  • Colonel Alain Mafart (alias Alain Turenge), ayant participé à l'opération Satanic (affaire du Rainbow Warrior) ;
  • Xavier Maniguet, médecin-colonel, ayant participé à l'opération Satanic (affaire du Rainbow Warrior) ;
  • Pierre Martinet dit Florent (alias Vincent Cassard et Vincent Seyriès) ;
  • Lieutenant-colonel Bernard Nut, chef de mission, mort en service à Rigaud, le 15 février 1983 ;
  • Lieutenant-colonel Dominique Prieur (alias Sophie Turenge), ayant participé à l'opération Satanic (affaire du Rainbow Warrior) ;
  • Alain Rodier, ancien officier de la DGSE ;
  • Thierry Lorho, mise en examen en 2009 dans l'affaire de l’espionnage EDF/Greenpeace[32]:
  • Général Philippe Rondot, un des témoins-clés de l'affaire Clearstream 2 ;
  • Gérard Royal, frère de Ségolène Royal, ayant participé à l'opération Satanic (affaire du Rainbow Warrior) ;
  • Pierre Siramy, pseudonyme de Maurice Dufresse (auteur de 25 ans dans les services secrets, coécrit avec le journaliste Laurent Léger, livre mémoire sur le fonctionnement de la DGSE paru chez Flammarion en mars 2010).
  • Hervé Jaubert, ex officier du Contre Espionnage de la DGSE, constructeur de mini sous-marins, auteur de "Escape from Dubai" (978-0929915944) livre mémoire écrit après qu'il s'est évadé de Dubaï.

  Dans la fiction

  Au cinéma

  À la télévision

  Dans les romans

  • Constantin Melnik, Des services « très » secrets, Paris, éd. de Fallois, 1989, 323 p. (ISBN 2-87706-032-2) 
  • Les romans de Vladimir Volkoff mettent très souvent en scène des agents de la DGSE ou du SDECE, notamment :
  • Dans la série de fantasy de Michael Scott, Les Secrets de l'immortel Nicolas Flamel, les agents de la DGSE apparaissent et sont souvent cités. Le directeur fictif de cette agence, Nicolas Machiavel, est un des personnages principaux du second tome Le Magicien.
  • La Théorie Gaïa de Maxime Chattam : Les héros de ce roman se retrouvent mêlés à un affrontement entre la DGSE et le BND, son homologue allemand
  • Citoyens clandestins de DOA : roman noir impliquant entre autres la DGSE.
  • L'action secrète de la DGSE, notamment dans le cadre des trafics d'armes vers différents continents, est au cœur de l'intrigue du roman Le Premier Principe - Le Second Principe de Serge Bramly.
  • Guerres secrètes sur la Côte de Jean-Marie Tarragoni met en scène, sur fond d'affaires locales, la mission d'un préfet appuyé par un dirigeant occulte des services secrets et d'un agent de la DGSE. Ils sont confrontés à divers ennemis, manipulés par les services secrets de pays de l'est dans les années 80. C'est également une évocation du réseau "Glaive" et des "affaires niçoises".
  • "Un espion très ordinaire" de Jean pierre Lenoir ou l'histoire vue du SDECE chez Albin Michel

  Notes et références

  Références

  1. a et b http://www.senat.fr/rap/a11-108-5/a11-108-55.html
  2. Cours 9 : Le renseignement et la sécurité nationale
  3. Michel Roussin, Le gendarme de Chirac, éd. Albin Michel, 2006, p.  112.
  4. Selon Michel Roussin (op. cit.), cette devise est à rapprocher d'une phrase de Hernani, acte IV : « On n'arrive au triomphe qu'en surmontant maintes difficultés ».
  5. Code de la défense, art. D.3126-2
  6. Décret no 82-306 du 2 avril 1982 (abrogé) portant création et fixant les attributions de la direction générale de la sécurité extérieure, sur Légifrance.
  7. Claude Silberzahn avec Jean Guisnel, Au cœur du secret, Fayard, Paris, 1995, 330 p., p. 42 (ISBN 2-213-59311-6)
  8. D'après l'organigramme donné en annexe à la fin du livre de Pierre Siramy et Laurent Léger, 25 ans dans les services secrets
  9. Philippe Bernert, SDECE Service 7
  10. Pascal Krop, Les secrets de l'espionnage français de 1870 à nos jours, p.  585
  11. « Le SO sur la touche à la DGSE », dans Intelligence Online, no 633, 20 janvier 2011 [texte intégral] 
  12. Décret du 20 juin 2008, JORF no 146 du 24 juin 2008
  13. Arrêté du 4 décembre 2002, Article 6.
  14. Décret du Président de la République du 3 août 2010, JORF no 178 du 4 août 2010.
  15. Tout le monde veut prendre sa place du 19 mars 2011
  16. a, b et c Avis présenté au Sénat par M. Didier Boulaud sur le projet de loi de finances pour 2012.
  17. Site internet de la DGSE
  18. Les conditions de recrutement, Site de la DGSE
  19. Guillemette Faure et David Servenay, Carrières d'espion (1/2) : entrer dans « la boîte », la DGSE, Rue 89, 18 mars 2009
  20. Décret n° 2010-1693 du 30 décembre 2010 relatif aux dispositions statutaires applicables aux corps et emplois de direction, de conception et d'encadrement supérieur de la direction générale de la sécurité extérieure
  21. Article 29 du décret n° 2010-1693 du 30 décembre 2010 relatif aux dispositions statutaires applicables aux corps et emplois de direction, de conception et d'encadrement supérieur de la direction générale de la sécurité extérieure
  22. Décret n° 2011-1089 du 9 septembre 2011 portant statut particulier du corps du personnel de surveillance de la direction générale de la sécurité extérieure et relatif à l'emploi de chef de service intérieur
  23. Avis présenté au Sénat par M. Didier Boulaud sur le projet de loi de finances pour 2007.
  24. Avis présenté au Sénat par M. Didier Boulaud sur le projet de loi de finances pour 2008.
  25. Avis présenté au Sénat par M. Didier Boulaud sur le projet de loi de finances pour 2009.
  26. Avis présenté au Sénat par M. Didier Boulaud sur le projet de loi de finances pour 2010.
  27. Ibid.
  28. Laurent Léger, « Halimi : le coup de main de la DGSE pour les e-mails de Fofana », Rue 89, 28 mai 2009.
  29. Jean Lesieur, « CIA-DGSE: la drôle de guerre », dans L'Express, 6 mai 1993 [texte intégral (page consultée le 25 juillet 2010)]  ; Guillaume Dasquié, Secrètes affaires : Les services secrets infiltrent les entreprises, Paris, Flammarion, 1999, 323 p. (ISBN 2-08-067608-3) [lire en ligne (page consultée le 25 juillet 2010)], chap. 4  ; (en) Center for Conterintelligence and Security Studies, Intelligence Threat Handbook, Interagency OPSEC Support Staff (IOSS), juin 2004, 102 p. [lire en ligne (page consultée le 25 juillet 2010)], « Economic Espionage: The Outsider Threat - From Foreign Intelligence Services », p. 37 
  30. France 2 : L'agent français, ex-otage en somalie, est à Paris - RFI Le récit de l’agent français qui a échappé aux islamistes
  31. http://www.monde-magouilles.com/dieuleveult2.php Le 11e Choc est appelé 89e bataillon des services dans ce document.
  32. //www.lerenseignement.com/00_koama/visu_espionnage/index.asp?sid=339&cid=13312&cvid=20400&lid=1

  Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

  Bibliographie

  • Claude Faure, Aux services de la République : du BCRA à la DGSE, Paris, Fayard, 29 septembre 2004, 792 p. (ISBN 2-213-61593-4) 
  • Dominique Fonvielle et Jérôme Marchand, Mémoires d’un agent secret, Paris, éd. Flammarion, 11 octobre 2002, 405 p. (ISBN 2-08-068348-9) 
  • Pascal Junghans, Les services de renseignements français, Paris, éd. Edmond Dantès, coll. « De l'ombre à la lumière », 2006 (ISBN 978-2-35372-003-3) 
  • Hervé Jaubert, Il n'y a plus de secrets dans les services : les révélations d'un officier de la DGSE, Paris, éd. Odilon-Media, 1er juillet 1995, 146 p. (ISBN 2-84213-003-0) 
  • Pascal Krop, Les secrets de l'espionnage français de 1870 à nos jours, Paris, JC Lattès, 1993 (ISBN 2-7096-1315-8) 
  • Pierre Lacoste, Alain-Gilles Minella (dir.) et Perrine Simon-Nahum, Un amiral au secret, Paris, éd. Flammarion, 26 septembre 1997, 220 p. (ISBN 2-08-067416-1) 
  • Pierre Marion, La Mission impossible : à la tête des services secrets, Paris, éd. Calmann-Lévy, 1991, 259 p. 
  • Pierre Marion, Mémoires de l’ombre : Un homme dans les secrets de l’État, Paris, éd. Flammarion, 7 mai 1999, 300 p. (ISBN 2-08-067692-X) 
  • Jean-Christophe Notin, La guerre de l'ombre des Français en Afghanistan (1979-2011), Paris, Fayard, 2011 (ISBN 978-2-213-65496-6) 
  • Claude Silberzahn et Jean Guisnel, Au cœur du secret : 1 500 jours aux commandes de la DGSE (1989-1993), Paris, éd. Fayard, coll. « Documents », 29 mars 1995, 336 p. (ISBN 2-213-59311-6) 
  • Pierre Siramy et Laurent Léger, 25 ans dans les services secrets, Paris, éd. Flammarion, 17 mars 2010, 341 p. (ISBN 978-2-08-123261-7) 
  • Sophie Merveilleux du Vignaux, Désinformation et services spéciaux, Paris, éd. du Rocher, 25 mai 2007, 241 p. (ISBN 978-2-268-06117-7) 

  Articles connexes

  Liens externes

   
               

 

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