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Definición y significado de Forces_aériennes_stratégiques

Definición

definición de Forces_aériennes_stratégiques (Wikipedia)

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Wikipedia

Forces aériennes stratégiques

                   
Commandement des Forces aériennes stratégiques
Période 14 janvier 1964
Pays Drapeau de France France
Rôle Dissuasion nucléaire
Bombardement aérien
Fait partie de armée de l'air française
Garnison QG : Lyon-Mont Verdun

Les forces aériennes stratégiques françaises sont créées le 14 janvier 1964 et sont chargés de l'emploi des armes nucléaires au sein de l'armée de l'air française.

Sommaire

  Historique

  Un Mirage IVP de l'escadron de bombardement 1/91 Gascogne.
  Mirage 2000N

Elles sont historiquement les premières forces sur lesquelles repose la dissuasion nucléaire française. La première prise d'alerte d'un Mirage IV armé de la bombe AN-11 et d'un avion ravitailleur Boeing KC-135 le 8 octobre 1964 marque le début de la permanence de la Force de dissuasion nucléaire française[1]. On envisagea entre 1958 et 1961 la construction du porte-avions Verdun pour déployer des bombardiers en mer.

En avril 1965 est confirmée la volonté d'établir une base de lancement de missiles sol-sol balistiques stratégique (SSBS), sous le commandement de la Force aérienne stratégique. C'est au Plateau d'Albion qu'est placée la Base aérienne 200 Apt-Saint-Christol, qui est opérationnelle le 2 août 1971, jusqu'à son démantèlement le 16 septembre 1996[1].

Au printemps 1966, avec 9 escadrons de Mirage IV, l'ensemble de la 1ere composante de la force de dissuasion est réalisée. Elle comprendra 60 Mirage IV répartit sur neuf bases sur le territoire métropolitain français en 1973.

Ces avions interviennent depuis les années 1990 en OPEX pour des missions de combat conventionnelles.

  Organisation

Le Commandement des Forces aériennes stratégiques (FAS) est historiquement situé sur la base de Taverny qui accueille en 1963 le Commandement des Forces aériennes stratégiques (CFAS) puis le Centre d’opérations des forces aériennes stratégiques (COFAS) la même année. Le PC Gypse est alors construit à 50 mètres sous la terre, avec un abri antiatomique destiné au pouvoir exécutif en cas de guerre nucléaire opérationnel en 1967[2] mais suite aux restructurations annoncées l'état-major des Forces Aériennes Stratégiques s'implante à Lyon-Mont-Verdun en 2011[3].

En 2008, les 60 Mirage 2000N des FAS sont stationnés sur la base aérienne 116 Luxeuil-Saint Sauveur et la base aérienne 125 Istres-Le tubé.

  Rafale B de l'escadron "Gascogne" & ASMP-A

Fin 2010, il n'y a plus que deux escadrons nucléaires de 20 avions chacun au sein des FAS : l'escadron de chasse 1/91 Gascogne sur la base aérienne 113 Saint-Dizier-Robinson et l'escadron de chasse 3/4 Limousin à la base aérienne 125 Istres-Le tubé. Ce dernier, équipé de Mirage 2000N, est opérationnel avec l'ASMP-A depuis le 1er octobre 2009[4].

Les FAS comprennent en outre le Groupe de ravitaillement en vol 2/91 Bretagne opérant sur C 135 FR.

  Dépôts d'armes nucléaires

  Maquette à l'échelle de l'ASMP-A

Les Dépôts ateliers de munitions spéciales (DAMS) sont des lieux très protégés où sont stockées et assemblées les armes nucléaires destiné à la FAS et l'aviation navale. Depuis le retrait des bombes largués par avion, elles sont montées sur les missiles Air-Sol Moyenne Portée de l'armée de l'air et de la marine.

En 2008, cinq dépôts sont en activité dans les bases aériennes de Saint-Dizier, Istres, Avord, Luxeuil et Mont-de-Marsan; Les deux dernières sont susceptibles de fermer après la réduction du format de la FAS à 40 avions annoncé par le président Nicolas Sarkozy en mars 2008.

Ils sont en juillet 2010 réorganisées et perdent leur nom à l'occasion de l'arrivée du missile ASMP-A. Jusqu'à présent, le missile et la tête nucléaire étaient stockés au même endroit; Désormais le missile sera confié à l'escadron qui le met en œuvre alors que les têtes nucléaires seront dans ce qui s'appelle désormais un bâtiment K.

Sur les cinq DAMS alors existants, trois sont ainsi rénovés (Istres, Saint-Dizier, Avord) et un quatrième (Mont-de-Marsan) a été conservé. En revanche, celui de Luxeuil est fermé.

  Voir aussi

  Bibliographie

  • Serge Gadal, Forces Aériennes Stratégiques, préface de Nicolas Sarkozy, Président de la République, Economica, 2009, 400 p.  ISBN 2-7178-5758-3

  Notes et références

  1. a et b (fr) Historique - Chronologie Détaillée sur Forces aériennes stratégiques, 2006. Consulté le 1er mars 2008
  2. Armée de l'air, « Taverny : Interview du lieutenant-colonel Marc Longobardi », 26 juillet 2011. Consulté le 10 janvier 2012
  3. Jean-Dominique Merchet, « Le nouveau visage de l'armée de l'air », Libération, 25 juillet 2008. Mis en ligne le 25 juillet 2008, consulté le 3 août 2008
  4. Jean-Dominique Merchet, « Le Rafale prendra l'alerte nucléaire dès le 1er juillet », Libération, 11 juin 2010. Mis en ligne le 11 juin 2010, consulté le 15 juin 2010

  Lien externe

   
               

 

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