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Definición y significado de Généalogie

Definición

généalogie (n.f.)

1.arborescence de la filiation d'une personne ou d'une famille ; ensemble des ancêtres d'un individu, d'une famille.

2.science qui étudie l'origine, la filiation des familles.

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Definición (más)

definición de Généalogie (Littré)

definición de Généalogie (Wikipedia)

Sinónimos

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Ver también

généalogie (n.f.)

généalogique, généalogiste

Frases

Abréviations en généalogie • Agnat (généalogie) • Comment résoudre les blocages en Généalogie ? • Dictionnaire-Guide de généalogie • Faire sa généalogie • Fédération française de généalogie • Généalogie actuelle de la maison de Mérode • Généalogie ascendante • Généalogie d'Adolf Hitler • Généalogie d'Honoré de Balzac • Généalogie dans l'Égypte antique • Généalogie dans la Genèse • Généalogie de Jésus • Généalogie de Shania Twain • Généalogie de la morale • Généalogie des Bagration en Géorgie • Généalogie des Bagration, branche d'Iméréthie • Généalogie des Bagration, branche de Kakhétie • Généalogie des Bagration, branche de Karthli • Généalogie des Bagratouni en Arménie • Généalogie des Bourbons • Généalogie des Capétiens • Généalogie des Capétiens directs • Généalogie des Carolingiens • Généalogie des Hérodiens • Généalogie des Mérovingiens • Généalogie des Scipiones-Gracchi-Aemilii • Généalogie des Séleucides • Généalogie des Tudors • Généalogie des Valois • Généalogie des Vintimille • Généalogie des comtes de Castille • Généalogie des principales familles de France • Généalogie des Árpád • Généalogie des écritures dérivées du protosinaïtique • Généalogie du Haut Moyen Âge • Généalogie générale des Capétiens • Généalogie épiscopale • Généalogie-magazine • Héraldique et généalogie • Insinuation (généalogie) • Jean Lemire (généalogie) • Le Mulet se vantant de sa généalogie • Liste de maisons (généalogie) • Logiciel de généalogie • Maison (généalogie) • Mes Aïeux (Généalogie) • Revue française de généalogie et d'histoire des familles

Diccionario analógico

Généalogie (n.) [Cismef]



généalogie (n. f.)

science sociologique[Classe]

généalogie[termes liés]


Le Littré (1880)

GÉNÉALOGIE (s. f.)[jé-né-a-lo-jie]

1. Suite d'ancêtres qui établit une filiation. Dresser une généalogie. Arbre de généalogie.

Ceux-ci cherchèrent l'écrit de leur généalogie dans le dénombrement (SACI Bible, Esdras, II, VII, 64)

Une naissance qui efface l'éclat de toutes les généalogies de l'univers (MASS. Or. fun. Dauph.)

Il avait eu la ridicule vanité d'acheter une généalogie (GENLIS Veillées du chât. t. I, p. 460, dans POUGENS)

Il se dit aussi des chevaux de pur sang.

Il n'est pas indigne de l'histoire de dire qu'un écuyer arabe qui avait soin de ses chevaux donna au roi leur généalogie ; c'est un usage établi depuis longtemps chez ces peuples [les Turcs], qui semblent faire beaucoup plus d'attention à la noblesse des chevaux qu'à celle des hommes (VOLT. Charles XII, 7)

Fig.

Ce serait bouleverser toute la généalogie des substances du règne animal (BUFF. Min. t. II, p. 113)

2. Etude et connaissance de l'origine et de la filiation des familles. Il est savant en généalogie.

Senantes fort en généalogie comme sont tous les sots qui ont de la mémoire (HAMILT. Gramm. 4)

HISTORIQUE

XIIIe s.Ainsi sunt leur genelogyes, Et sunt par trois fois trois foïes (St Graal, v. 2125)

ÉTYMOLOGIE

Provenç. genolosia, genologia ; espagn. et ital. genealogia ; du latin genealogia, qui vient du grec, génération, et, traité.

SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

GÉNÉALOGIE. Ajoutez :

3. Filiation des chevaux de course ; elle est inscrite au stud-book anglais ou au stud-book français.

Wikipedia

Généalogie

                   
Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Arbre (homonymie).
  L'arbre généalogique de la famille Bluntschli

La généalogie est la pratique qui a pour objet la recherche de l'origine et de la filiation des personnes et des familles. On peut distinguer :

  • la généalogie ascendante, qui s'intéresse aux ancêtres d'une personne ;
  • la généalogie descendante, qui s'intéresse aux descendants d'une personne ;
  • la généalogie de la lignée agnatique, qui s'intéresse uniquement à l'ascendance mâle d'une personne, celle qui transmet le patronyme à ses enfants ;
  • la généalogie de la lignée cognatique, généalogie d'une personne dont les ascendants ou descendants ne portent pas le même nom, en particulier parenté par les femmes ;
  • sans oublier la généalogie successorale, pratiquée par des professionnels (généalogistes) à la demande de notaires en charge d'une succession vacante, un pourcentage sur la succession révélée étant ensuite demandé par le généalogiste aux ayants droit retrouvés à la suite de ses recherches (jusqu'au sixième degré de parenté collatérale selon le calcul du Code civil français).

Sommaire

  En France

  Sources d'information

Les principales sources d'information sont :

  • les renseignements recueillis dans la famille et l'entourage ;
  • Pour démarrer en France, on peut s'appuyer sur les éléments familiaux, ce que tout un chacun possède:
  1. carte d'identité
  2. livret de famille
  3. faire-parts : naissance, mariage, décès.
  4. Pour les chrétiens: images de communion, faire-parts de baptême, de mariage, de noces d'argent et d'or etc.
  5. Les vieilles photos si les personnages y sont identifiés et datés.
  • En France seules les données de plus de 75 ans (depuis peu, avant c'était 100 ans mais beaucoup de mairies ne sont pas au courant, il faut le leur dire), sont accessibles à tous. Pour la période protégée (moins de 75 ans) seuls les descendants, ou ascendants directs peuvent en justifiant leur identité et leur degré de parenté, obtenir des copies intégrales des actes. La loi française rend obligatoire la délivrance de ces copies ;
  • les registres paroissiaux et les registres d'état civil (voir Histoire de l'état civil en France) ;
  • en France, les tables décennales qui, depuis 1793, récapitulent pour une période de dix ans et par commune tous les actes de l'état civil (naissances, mariages et décès) en les classant par ordre alphabétique par tranche de 10 ans ;
  • en France, les actes notariés, généralement abondants à partir du XVIIe siècle (archives départementales) ;
  • en France, les listes nominatives du dénombrement de la population (recensement), régulièrement établies depuis 1836 (sauf interruption en 1916 et 1941) (archives départementales et communales) ;
  • en France, les actes de basse et moyenne juridictions qui peuvent localement être fréquents dès le XVIIe siècle (archives départementales et communales).

Les informations conservées aux archives ne sont généralement pas indexées et leur lecture est souvent ardue. De nombreux acteurs bénévoles — associations ou individus — ont réalisé un travail de transcription et d'indexation qui est souvent mis à disposition du généalogiste :

  • les associations généalogiques et les simples groupes informels de généalogistes non professionnels sont souvent à envergure départementale en France. Ils réalisent des relevés systématiques de l’État civil et des Registres Paroissiaux (B.M.S.), ainsi que d'autres types d'actes, notariés, par exemple.

Le résultat est diffusé sur différents supports :

  • brochures "papier" consultables dans les locaux des associations ou en mairies dans certaines communes (en Ardèche, par exemple); selon les associations, cette consultation est payante ou non. En mairie, elle est toujours gratuite.
  • minitel payant (la plus coûteuse) et de moins en moins utilisée,
  • le système GeneaBank sur internet qui permet en tant que membre d'une association de consulter à hauteur d'un certain nombre de points les relevés de toutes les associations membres du système;
  • les nombreuses bases de données individuelles gratuites; une recherche sur Google permet généralement de les trouver facilement sur Internet;
  • le site GeneaNet référence plus de 200 millions de données généalogiques (avril 2008), arbres généalogiques ou index nom/lieu déposés par des particuliers; il faut cependant être prudent avec les données trouvées et vérifier par soi-même, chaque fois que cela est possible, l'authenticité de la donnée;
  • la base de données ExpoActes référence déjà 29.935.550 actes et ne cesse de s'enrichir du travail des bénévoles des différents groupes de généalogie; là encore, il est vivement recommandé de vérifier l'acte : soit directement en ligne sur le site des AD, lorsque cela est possible, soit auprès des généalogistes qui ont déposé les actes sur la base de données;
  • la base de données généalogiques Roglo[1] développée par Daniel de Rauglaudre à l'INRIA recense plus de 4 000 000 personnes (septembre 2011). Cette base est maintenant gérée par l'association Les Amis de Roglo[2];
  • la base Mémoire des hommes du Ministère de la défense[3] met à la disposition du public 5 bases de données réalisées à partir de la numérisation et de l'indexation de fiches biographiques conservées par le ministère de la défense (morts pour la France de 1914-1918, Aéronautique 1914-1918, Guerre d'Indochine 1946-1954, Fusillés du Mont-Valérien 1939-1945, Morts pour la France AFN 1952-1962) ;
  • les études généalogiques publiées.
  • Le site Généawiki est un outil recensant les données encyclopédiques relatives à la généalogie.
  • La Revue française de Généalogie est un magazine bimestriel qui donne des conseils aux généalogistes amateur pour leurs recherches.

  Règles d'accès aux archives en France

Les archives de l'État civil peuvent être consultées dans les mairies, et aux archives départementales (selon les cas). Les registres d'état civil et les minutes notariales de moins de 75 ans ne sont pas communicables au public, sauf :

  • dérogation (recherches à caractère historique, statistique ou dans un but successoral),
  • actes de décès, librement communicables par tous quelle que soit la date de décès (seuls les actes de plus de cent ans sont directement consultables, les autres sont fournis sous forme de copies intégrales).

Pour l'état civil et notamment pour les actes de naissance et de mariage, la justification de sa parenté directe (non collatérale) avec la personne citée dans l'acte, ou la nature de conjoint, permet l'obtention d'une copie intégrale de l'acte. Au-delà de 100 ans, la loi autorise l'accès direct aux documents (ou à leurs reproductions sur microfilm ou sur support numérique).

Les archives peuvent être disponibles sous plusieurs formes :

  • registres originaux sur papier ;
  • microfilms de ces registres ;
  • images numérisées des registres (encore peu répandu).

Les recherches généalogiques rencontrent un succès grandissant, malheureusement au détriment des sources. L'état des registres s'est plus dégradé durant ces vingt dernières années que pendant les trois siècles précédents. Il est donc urgent d'entreprendre une numérisation complète des fonds, les moyens existent (machine à numériser 2400 pages/heure). Il suffit de le vouloir.

La photocopie des registres originaux est en général interdite, afin d'éviter de les détériorer (risques de bris de la reliure sur un photocopieur ordinaire non équipé d'une « rampe » à cet effet, détérioration de l'encre par le flash lumineux de l'appareil). De même sont interdits les clichés avec un flash, auquel doit toujours être préférée la lumière naturelle (avec variation du temps d'exposition en conséquence).

L'ordonnance de Villers-Cotterêts rend obligatoire la tenue de registre par l'église en 1539, mais l'enregistrement des baptêmes sur des registres est plus ancien, à partir de 1400 dans quelques églises en France.

À partir de 1737, en France, il existe deux séries parallèles de registres paroissiaux (jusqu'en 1792) et d'État civil (depuis 1793). Le contenu des deux séries est censé être identique. Les registres paroissiaux et d'état civil de la série « communale » sont conservés en mairie ou aux archives municipales, ou déposés aux archives départementales. Les registres paroissiaux de la série dite « du greffe » sont toujours conservés aux archives départementales.

Les listes nominatives de la population (recensement), quant à elles, ne sont consultables que passé un délai de 30 ans.

En droit français, toutes les informations sur l'accès à l'État civil sont disponibles dans les documents suivants[4] :

  Les microfilms reproduisant les registres paroissiaux et d'état civil en France

L'État civil d'avant et après la Révolution a été généralement microfilmé. Ces microfilms sont consultables aux archives départementales sur des lecteurs qui permettent souvent une reproduction papier. Généralement, les microfilms d'une archive départementale peuvent être envoyés dans une autre archive départementale à la demande d'un utilisateur au prix d'un certain délai.

En France, le microfilmage a souvent été réalisé par les Mormons qui se donnent pour mission de reconstituer l'arbre généalogique de l'humanité.

  L'informatique au service de la généalogie

L'informatique a facilité certaines tâches du généalogiste. Un large éventail de logiciels (commerciaux, mais aussi gratuits et libres) permettent :

  • la gestion de bases de données importantes, et l'impression de listes d'ascendance, de descendance ou sélectives, au choix de l'utilisateur ;
  • la représentation graphique (outils de dessin) des arbres d'ascendance et de descendance, voire de « cousinage » ;
  • ces deux types de fonctions étant souvent couplés dans un même logiciel.

Une spécification d'échanges de données généalogiques entre les logiciels s'est peu à peu imposée : la norme GEDCOM, acronyme de GEnealogical Data COMmunication. Elle fut initialement développée par les chercheurs de la Société Généalogique de l'Utah, avec désormais la participation active de concepteurs du monde entier.

Les logiciels libres sont bien sûr présents dans le domaine de la généalogie. On citera GeneWeb[5], issu de l'INRIA, qui présente une base de données gérable et consultable par une interface web, et @rbre[6], issu du Laboratoire Culturel A+H en vue de proposer un système d'échange pair-à-pair (P2P) de données généalogiques représentées en 3D.

  Internet au service de la généalogie

  Numérisation des fonds d'archives publiques

De précieux conseils pour effectuer efficacement une recherche généalogique sont prodigués par une Conservatrice d'État sur le site des Archives de France. On y apprend la méthodologie, ce qu'est une table décennale, ... Internet facilite les échanges entre généalogistes, au niveau des méthodes et des données elles-mêmes. Une trentaine de départements permettent la consultation directe et gratuite sur le web d'archives départementales composées de séries entières de documents numérisés en France recensés par France Généalogi. Nomina, issu du portail du Ministère de la Culture, est la base nationale recensant plus de 13 millions de noms.

Certaines municipalités permettent de consulter sur internet une partie de leurs archives, comme par exemple la ville de Rennes[7]. Il existe un index national en ligne d'actes d'état civils fédérant 26,9 millions de fiches issues d'une quarantaine d'associations ; chaque envoi de fiche est payant.

  Les initiatives des associations généalogiques et des particuliers

Le service GeneaNet rassemble les bases de données de nombreux internautes particuliers ou professionnels, ainsi que des actes d'état-civil numérisés, on peut même rechercher un VIP dans notre famille. Plusieurs dizaines de milliers d'arbres en ligne sont consultables grâce au moteur GeneWeb.

D'autres formes sont également présentes telles que des groupes de généalogie sur Yahoo! qui regroupent, en fonction de critères géographiques ou thématiques, les internautes.

Différents systèmes d'entraide gratuits existent comme FranceGenWeb[8], Fil d'Ariane[9], LibrActes[10], Geneanum[11], qui sont destinés à l'entraide pour les demandes de copies d'actes généalogiques aux archives départementales, archives municipales et tout autre service d'archives. Les recherches sont effectuées par des bénévoles exclusivement.

Les informations disponibles dans les forums et sur les divers sites généalogiques grand public n'ont hélas pas le caractère fiable des grandes associations généalogiques. [réf. nécessaire]

Les qualités du wiki, utilisées notamment par Wikipédia, associées à ses potentialités en termes de généalogie permettent au projet Rodovid[12] de s'imposer comme généalogie participative unique et autocontrôlée.

  Arbre généalogique

Dans la civilisation gréco-latine existe un culte organisé de la généalogie : dans les grandes maisons, les ancêtres sont représentés en portraits hiérarchisés sur les murs (peintures, bas-reliefs) ou dans les cortèges funéraires et dans des arbres généalogiques conservés dans des écrits, les stemmata.

La représentation graphique des relations familiales au Moyen Âge se fait sur le modèle biblique de l'Arbre de Jessé (la féodalité valorisant le lignage, les bourgeois recherchant leur « ancêtre enracineur »[13]), la première représentation non biblique se trouve dans la Genealogia deorum gentilium (« Généalogie des dieux des païens ») de Boccace au milieu du XIVe siècle. Les ancêtres sont modélisés dans les racines qui sont dessinées soit dans le ciel, soit dans le sol, le modèle n'ayant toujours pas été tranché[14].

  Généalogie et génétique

C'est une nouvelle façon de rechercher ses ancêtres fondée non plus sur l'étude des registres d'état-civil, mais sur l'analyse de l'ADN. Des laboratoires, aux États-Unis et en Grande-Bretagne, proposent des tests permettant d'identifier ses ancêtres lointains, sa région d'origine ou son groupe ethnique.

  Voir aussi

  Articles connexes

  Œuvres

  • Le film L'Arbre généalogique (1978) d'Im Kwon-taek,
  • Réenchanter son histoire familiale de Emilie Pécheul, Éditions Arsis, 2008 (ouvrage sur les liens et les transmissions généalogiques).

  Liens externes

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  Références


   
               

 

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