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idéologie (n.f.)
1.doctrine structurée particulière à un groupe social, à une école philosophique.
2.théorie utopique, non scientifique, ne s'intéressant pas aux faits.
3.discipline de la philosophie qui étudie l'histoire des idées et les principes qui s'y rattachent.
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⇨ definición de Idéologie (Littré)
⇨ definición de Idéologie (Wikipedia)
idéologie (n.f.)
doctrine, dogme, opinion, orientation politique, pensée, philosophie, rêve, système, utopie
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Ver también
idéologie (n.f.)
⇨ Idéologie coloniale française • Idéologie fédéraliste au Québec • Idéologie punk • Idéologie scientifique • L'Idéologie allemande • L'Idéologie des stars • L'occidentisme - Essai sur le triomphe d'une idéologie • Valeur travail (idéologie)
idéologie (n. f.)
orientation[Hyper.]
idéologue - conservateur - libéral - idéologique[Dérivé]
idéologie (n. f.)
théorisation[Hyper.]
idéologue - idéologique[Dérivé]
idéologie (n. f.)
science philosophique[Classe]
Le Littré (1880)
1. Science des idées considérées en elles-mêmes, c'est-à-dire comme phénomènes de l'esprit humain.
• Leibnitz, qui trouvait Locke si faible en idéologie (CHATEAUB. Génie, III, II, 2)
2. En un sens plus restreint, science qui traite de la formation des idées, puis système philosophique d'après lequel la sensation est la source unique de nos connaissances et le principe unique de nos facultés.
3. Théorie des idées, suivant Platon.
ÉTYMOLOGIE
Idée, et du grec, traité.
Wikipedia
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Une idéologie est, au sens large, la science d'un système d'idées imaginées. L'idéologie s'accompagne de croyances, de notions, d'opinions, de convictions et est parfois constituée en doctrine.
Le terme véhicule couramment une connotation péjorative et désigne alors un ensemble de spéculations, d'idées vagues et mystérieuses qui prône un idéal irréaliste et justifie des actions radicales.
Sommaire |
Du grec ancien ἰδέα (idea), « idée », et de λόγος (logos), « science, discours ». L'idéologie est donc, étymologiquement, un discours sur les idées. En grec ancien, le nom ἰδέα apparenté au verbe ἰδεῖν, « voir », suggèrerait plutôt le sens d'« image ». L'idéologie est communément interprétée comme :
Le terme Idéologie, apparaît à la fin du XVIIIe siècle : il fut forgé en 1796 par Destutt de Tracy (Mémoire sur la faculté de penser), pour désigner l'étude des idées, de leur caractère, de leur origine et de leurs lois, ainsi que leurs rapports avec les signes qui les expriment.
On employait, dès la deuxième moitié du XVIIIe siècle l'expression de sciences positives, pour désigner l'apport des sciences au progrès de l'esprit humain (Condorcet), afin de stigmatiser l'obscurantisme de l'époque. Friedrich Hayek pense que Turgot et d'Alembert, étaient déjà dans ce type de recherche[citation nécessaire].
Dans la continuation des Lumières, les Idéologues, groupe animé par Destutt de Tracy, (Cabanis, Volney, Garat, Daunou), voulaient instaurer une science des idées, dissiper les mythes et l'obscurantisme. Dans la lignée du sensualisme de Condillac, qui cherchait déjà l'origine des idées, ils voulaient faire une analyse scientifique de la pensée.
L'idéologie est alors considérée comme un système de pensée cohérent, indépendant des conditions historiques. Cette conception accompagne tout le XIXe siècle, en parallèle au déploiement de la pensée scientifique et à la Révolution industrielle. Ce qui guide les penseurs, c'est la recherche d'un système global et cohérent, qui s'articule autour de l'application des lois scientifiques aux phénomènes sociaux. Dans certains cas, la polarisation se fait entre idéologie scientifique et croyances religieuses.
Au XIXe siècle, Marx propose de cesser de considérer l'idéologie comme un système neutre et donne un éclairage critique au concept originel de l'idéologie de l'époque : il voit l'utilisation de l'idéologie comme un système d'opinions servant les intérêts de classes sociales. (voir idéologie#Analyse marxiste)
Une idéologie est l'ensemble d'idées sur la structure de la société, sur les forces qui agissent dans la société, sur les sources de conflit qui y sont présentes, et aussi sur les modalités qui permettent de résoudre ces conflits, ensemble d'idées partagées par un groupe, communément appelé parti politique. Une définition dérivée de l'idéologie est celle d'une doctrine politique qui fournit un principe unique à l'explication du réel. Celle-ci est susceptible d'inspirer rapidement un programme d'action et constitue un ensemble cohérent d'idées imposées et parfois acceptées sans réflexion critique et sans discernement. L'idéologie offre des notions beaucoup plus large que celle des doctrines qui sont la dimension intellectualisé d'une idée imaginée. Les doctrines font appel à la dimension culturelle des « comportements psychologiques » et s`inscrivent dans un processus collectif important : la notion d'idéal remplace alors l'idéologie en encadrant une « société de masses ».
L'idéologie peut être vue sous l'angle sociologique : l'idéologie a été définie par Guy Rocher comme un « un système d'idées et de jugements, explicite et généralement organisé, qui sert à décrire, expliquer, interpréter ou justifier la situation d'un groupe ou d'une collectivité et qui, s'inspirant largement de valeurs, propose une orientation précise à l'action historique de ce groupe ou de cette collectivité »[2]
Un autre auteur, Jean Baechler, donne cependant une définition plus fine et plus complète de l'idéologie.
Les analyses épistémologiques amènent une reformulation un peu plus nuancée de l'idéologie : celle-ci, ayant permis la conceptualisation des sciences, est également analysée quant à sa neutralité, sa construction et ses fondements. Et la critique marxiste n'est qu'un angle possible d'étude de ceux-ci.
Le philosophe allemand Christian Duncker invoque la nécessité d'« une réflexion critique du concept d'idéologie » (2006). Dans son travail, il tâche d'introduire le concept de l'idéologie dans le premier plan, comme les soucis étroitement reliés de l'épistémologie et de l'histoire. le terme idéologie est défini en termes de système de représentation qui explicitement ou implicitement clame la vérité absolue.
Dans Le système totalitaire, Hannah Arendt écrit que l'idéologie est consubstantielle au phénomène totalitaire et qu'elle présente plusieurs caractéristiques indissociables. D’une part, elle forme un système d’interprétation définitive du monde, elle affiche une prétention omnisciente et « omni-explicative » de celui-ci, qu’il s’agisse des événements passés ou futurs. D’autre part, elle affirme son caractère irrécusable, infalsifiable. Elle n’est jamais prise en défaut et s’émancipe de la réalité. Une autre caractéristique de l’idéologie est son « logicisme », son aptitude à se doter d’une cohérence interne, à intégrer en permanence la contradiction dans un processus logique. L’idéologie, de ce point de vue, est exactement ce qu’elle prétend être : la logique d’une idée.
Voir article détaillé Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon
Le comte de Saint-Simon (1760-1825)[4], fut l'un des premiers à récupérer le concept d'idéologie afin d'en faire un système philosophique complet, entièrement fondé sur les sciences, en excluant tout apport des religions, puisqu'il était athée. Il joua un rôle tout particulier dans la diffusion de l'idéologie.
Saint-Simon, très influencé par les Idéologues, notamment le docteur Jean Burdin, bâtit entre 1801 et 1825 un système global que Pierre Musso qualifie de philosophie des réseaux[5]. Pour Saint-Simon, les relations des individus en société sont, par métaphore avec la physiologie, qui était en plein développement à ce moment, assimilables aux réseaux organiques des êtres humains (réseaux sanguins, système nerveux, ..). Il introduit aussi la notion de capacité du réseau.
L'appellation de "nouveau christianisme" fut en réalité trompeuse pour un système qui, prenant Isaac Newton comme référence suprême, prétendait remplacer Dieu par la gravitation universelle. Sur le plan spirituel, les sciences se substituent à la religion. Sur le plan temporel, les économistes remplacent les politiques.
Le système de gouvernement doit comprendre trois chambres, (chambre des inventeurs, chambre d'exécution…)[6]. Saint-Simon introduit la croyance exclusive dans le progrès industriel. Son système était très empreint de religiosité, surtout dans les dernières années.
La préoccupation de la recherche d'un système cohérent que l'on trouvait déjà dans l'école des idéologues, un moment oubliée par les guerres de l'Empire et par la Restauration, ressurgit vers 1825 [7], dans le contexte du début du règne de Charles X.
La fin de l'année 1825 et l'année 1826 furent ainsi, en France, un moment de réflexion sur un système philosophique global. On peut considérer que c'est une période charnière dans l'histoire des idées. Les penseurs qui participèrent à cette réflexion furent principalement Auguste Comte, Barthélemy Prosper Enfantin, Fourier… et probablement Lamennais, qui fut engagé dans la réflexion des catholiques.
Cette période initia un grand nombre de mouvements de différentes natures : idéologies, utopies, qui donneront naissance par la suite aux grandes théories sur le libéralisme, ainsi qu' aux différentes formes de socialisme.
À la mort de Saint-Simon (1825), un polytechnicien, Barthélemy Prosper Enfantin reprend sa doctrine. Très intéressé par le système de Saint-Simon, il publie avec Saint-Amand Bazard, l'Exposition de la doctrine de Saint-Simon (1829). Ces idées sont ainsi diffusées par le mouvement dit saint-simonien, sous des formes transformées au cours du temps :
Les idées saint-simoniennes ont ainsi une forte influence en France dans la phase de développement industriel du Second Empire, puis de la IIIe République (révolution industrielle).
Elles se répandent aussi hors des frontières à travers la colonisation en Afrique et au Moyen-Orient dont Enfantin fut l'initiateur[8]. C'est ainsi que l'on parle d'une idéologie coloniale française[9].
Elles trouvent des applications pratiques dans la construction des chemins de fer (étoile de Belgrand), de routes, de canaux, et encore aujourd'hui dans les réseaux de télécommunications [10].
Auguste Comte fut secrétaire de Saint-Simon de 1817 à 1824. Il quitta Saint-Simon pour fonder son propre mouvement philosophique.
L'idéologie de Comte se subdivise en deux parties :
Article détaillé : Auguste Comte#Le positivisme scientifique
Les causes premières sont oubliées. Dans le cours de philosophie positive (1830-1842), Comte expose la loi des trois états : l'humanité passe par trois états : l'état théologique (les dieux gouvernent le monde), l'état métaphysique (des entités abstraites déterminent le monde), et l'état positif (les sciences parviennent à l'état positif).
Dans cette phase, Auguste Comte définit les relations en société à partir de trois fondements : l'altruisme, l'ordre et le progrès. La sociologie (il reprend le terme de Sieyès) couronne les sciences dites positives : mathématiques, physique, chimie, astronomie, biologie (système de politique positive, 1851-1854)).
Le monde est gouverné par les morts. L'humanité est un Grand-Être, sorte de continuation du culte de l'Être Suprême, dont il est le "grand-prêtre".
Le positivisme aura une influence déterminante à partir du milieu du XIXe siècle sur de nombreuses personnalités et dans de nombreux domaines :
Les idées de Saint-Simon et d'Auguste Comte ont en commun une certaine religiosité et une "foi" absolue dans le progrès des sociétés humaines par les sciences, la technique, et l'industrie.
Tous deux excluent la métaphysique, et remplacent la finalité par l'explication scientifique des phénomènes.
Ils ignorent les auteurs classiques de l'antiquité grecque et romaine, qui avaient été redécouverts dès le Moyen Âge et à la Renaissance. Ils ne s'appuient ni sur les présocratiques, ni sur la philosophie antique.
En particulier, la philosophie grecque dont avaient hérité les grands savants musulmans (Avicenne, Averroès…), transmise aux européens par les contacts avec la civilisation islamique dès le XIIe siècle, n'est pas prise en compte.
Cette partie est une traduction du passage sur l'idéologie dans wikipedia (en).
Certaines recherches en psychologie [11] suggèrent que les idéologies reflètent les procédés des besoins et désirs, contrairement à la pensée que les convictions politiques dérivent toujours d’une réflexion indépendante et objective. En 2008[11], une recherche a suggéré que les idéologies pourraient fonctionner comme des éléments d’interprétation qui se répandent pour répondre aux besoins de comprendre le monde, d’éviter l’angoisse existentielle et de maintenir des relations d’estime entre les personnes. Les auteurs ont conclu que de tels besoins pourraient conduire de façon disproportionnée à l’adoption de systèmes de justification des visions du monde ( (en) system justification). ( voir l'étymologie d'idéologie )
Les psychologues ont découvert que des traits de personnalité ( (en) Personnality traits), diverses particularités individuelles, besoins et croyances idéologiques pourraient être liés. Par exemple, une méta-analyse de Jost, Glaser, Kruglanski et Sulloway en 2003 a confronté 88 études originaires de 12 pays différents, comportant plus de 22 000 sujets et a trouvé que l’angoisse de la mort (présente dans le terrorisme dans les médias, le marketing de la peur) ( (en) Terror management theory), les intransigeances/intolérance face à l’ambiguïté ( (en) Ambiguity tolerance), le manque d’ouverture aux nouvelles expériences(lack of openness to experience), le fait d’éviter l’incertitude(Aversion à l'incertitude), le besoin de se réduire à l’aspect cognitif (en) cognitive closure), le besoin d’une structure identitaire personnelle, et la crainte de perdre sa position ou son de soi estime personnelle, tous contribuent au degré de conservatisme politique [12] chez l’individu.
Selon les chercheurs, ces résultats montreraient que les conservateurs en politique mettent l’accent sur la résistance au changement et qu’ils sont mus par des besoins qui visent à réduire la peur et l’incertitude. Selon Robert Altemeyer((en)) ainsi que d’autres chercheurs, les individus conservateurs en politique ont tendance à se placer très haut sur l’échelle d'autoritarisme de droite.
La psychologue Felicia Pratto et ses collègues ont obtenu des données soutenant l'idée qu’une grande Orientation vers la domination sociale est fortement liée à des visées politiques conservatrices.
Il est donc avéré que le conservatisme de droite ou de gauche, défini par une politique et une idéologie rigide et fermée, risque de conduire à choisir --souvent inconsciemment-- une idéologie caractérisée par l’autoritarisme (pouvant aller jusqu'au fascisme ou au totalitarisme), et favorisant donc ses représentants.
En rapport dans le domaine psychologique et sociologique :
Pour Karl Marx, l'idéologie est l'ensemble des idées, des valeurs et des normes servant à légitimer la division en classes de la société.
L’idéologie au sens marxiste décrit donc l'idéologie dominante en tant que vision du monde imposée par la classe dominante. C'est la construction intellectuelle qui expliquerait et justifierait un ordre social existant à partir de raisons naturelles ou religieuses. Cette vision ne serait en réalité qu'un voile destiné à cacher la poursuite d'intérêts matériels égoïstes que la classe dominante utiliserait pour renforcer ou étendre sa domination : ainsi pour renforcer le pouvoir en place, l'idéologie de la classe dominante se présenterait de manière à ce que les intérêts de la classe dominante paraissent être les intérêts de tous. L'idéologie devient une superstructure de la société dont elle émane et qu'elle soutient.
Selon Friedrich Engels « L’idéologie est un processus que le soi-disant penseur accomplit sans doute consciemment, mais avec une conscience fausse. Les forces motrices véritables qui le mettent en mouvement lui restent inconnues, sinon ce ne serait point un processus idéologique. »
La critique de Karl Marx de l'idéologie est d'abord une critique de la misère que cette idéologie cache, misère qui réside dans les rapports sociaux à la fois résultat et moteur de cette misère. La première misère est l' obligation au travail impliquée dans l'organisation de la société par le Capital dans laquelle toute personne dépourvue d'une part de ce capital se voit dans l'obligation de vendre sa force de travail. Des auteurs comme Habermas, Althusser, Thompson, vont développer cette conception critique de l'idéologie.
Althusser utilise le concept d'"appareils idéologiques" d'État (scolaire, famille, religion, information, syndical, culturel, juridique, culturel et politique) par distinction avec les "appareils répressifs d'État" (armée, gouvernement, administration...)
Les études de Thompson concernant l'idéologie dans notre culture moderne abordent les dimensions culturelles et politiques de l'idéologie en regard de la communication de masse, caractéristique de notre monde contemporain. L'idéologie concerne le "comment le « sens » établit et maintient systématiquement des relations asymétriques de pouvoir".
L'idéologie a aussi trouvé ses critiques dans l'Internationale situationniste, qui fait de la critique de l'idéologie la condition sine qua non des relations de ses membres entre eux[14] : la représentation du monde répondant à celle de soi (« le monde du rêve est le rêve du monde » Raoul Vaneigem) chacun est responsable de l'ensemble d'un projet dans lequel il se retrouve ; en l'occurrence, en finir avec le spectacle, organisation sociale où « tout ce qui était directement vécu s'est éloigné dans une représentation » (La Société du spectacle, Guy Debord), spectacle qui est ici considéré comme la forme achevée du Capital.
Plus clairement, pour l'Internationale situationniste, toute organisation révolutionnaire se doit de critiquer « radicalement toute idéologie en tant que pouvoir séparé des idées et idées du pouvoir séparé ».
Charles Maurras, co-fondateur avec Léon Daudet de l'Action française, mouvement nationaliste, élabora en France une doctrine nationaliste, qui fut très en vogue entre 1890 et les débuts de la Seconde Guerre mondiale.
Selon Jacques Prévotat[15], la doctrine de Maurras s'appuya sur plusieurs éléments :
Ces idées ont souvent influencé en France des mouvements politiques très à droite de l'échiquer politique.
Il est intéressant de se poser la question de la recherche scientifique, de l'évolution des connaissances scientifiques sous l'angle de l'idéologie.
Au XIXe siècle est d'ailleurs apparu le scientisme, idéologie selon laquelle la connaissance scientifique doit permettre d'échapper à l'ignorance dans tous les domaines et donc d'organiser scientifiquement l'humanité.
Décréter également que la science, la technologie est neutre fait partie intégrante d'une idéologie. Et aux critiques qui voient "la science" comme une idéologie en elle-même, des scientifiques répondent que puisque la méthode scientifique est elle-même une idéologie, donc une collection d'idées, ce n'est que la continuation logique, il n'y a pas de pertinence à y mettre un jugement de valeurs.
Dans l'épistémologie des sciences même, chez Kuhn, le concept de paradigme dominant explique la stagnation et la discontinuité de l'évolution des théories scientifiques. // à développer
Aujourd'hui, la notion d'idéologie prend souvent une acception négative, comme le montrent les formules suivantes :
Mais de nombreux auteurs considèrent plutôt l'idéologie comme une fatalité :
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