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Definición y significado de Lons-le-Saunier

Definición

Lons-le-Saunier (n.prop.)

1.chef-lieu du département du Jura, sur la Vallière; 20150 habitants; vins, fromages; station thermale.

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Definición (más)

definición de Lons-le-Saunier (Wikipedia)

Ver también

Lons le Saunier (n.prop.)

lédonien

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Diccionario analógico

Lons le Saunier (n. pr.)


Lons-le-Saunier (n. pr.)


Wikipedia

Lons-le-Saunier

                   
Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Lons (homonymie).
Lons-le-Saunier
Statue de Claude Jacques Lecourbe, place de la Liberté.
Statue de Claude Jacques Lecourbe, place de la Liberté.
Armoiries
Administration
Pays France
Région Franche-Comté
Département Jura (préfecture)
Arrondissement Lons-le-Saunier
Canton Chef-lieu des cantons de Lons-le-Saunier-Nord et Lons-le-Saunier-Sud
Code commune 39300
Code postal 39000
Maire
Mandat en cours
Jacques Pélissard
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du bassin lédonien
Site web http://www.ville-lons-le-saunier.fr/
Démographie
Population 17 907 hab. (2009[1])
Densité 2 332 hab./km2
Gentilé Lédonienne, Lédonien
Géographie
Coordonnées 46° 40′ 31″ N 5° 33′ 16″ E / 46.6752777778, 5.5544444444446° 40′ 31″ Nord
       5° 33′ 16″ Est
/ 46.6752777778, 5.55444444444
Altitudes mini. 243 m — maxi. 415 m
Superficie 7,68 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Lons-le-Saunier est une commune française, située dans le département du Jura et la région Franche-Comté.

Sommaire

  Géographie

La ville est assise au cœur du Revermont au pied du premier plateau du massif jurassien à l'est et au sud, tandis que s'étend à l'ouest la plaine de la Bresse et au nord le vignoble.

La ville est traversée par la Vallière qui prend sa source dans une proche reculée typique du Jura. Autrefois à l'air libre, la rivière a été couverte dans les années 1960 pour des aspects de salubrité (les égouts s'y déversaient). Aujourd'hui, on ne trouve plus qu'un petit tronçon à ciel ouvert en amont de la ville et qui longe le parc des Bains et il ne subsiste qu'un seul pont : le pont de la Guiche.

La ville est située à des distances relativement similaires (60 à 80 kilomètres à vol d'oiseau) de Besançon, Dijon, Bourg-en-Bresse et Genève en traversant le massif. Lons-le-Saunier est desservie par l'autoroute A39, ce qui la met à une heure de Dijon et à une heure et demie de Lyon. Sa gare se trouve sur la ligne Strasbourg - Lyon.

La région viticole s'étendant au nord est particulièrement réputée, avec notamment les vignobles de l'Étoile, Château-Chalon et Arbois.

Le premier plateau au sud et à l'est offre un attrait touristique avec les lacs de Chalain, Clairvaux et Vouglans, et les stations de moyenne montagne assez proches comme Les Rousses.

À noter que Lons-le-Saunier est la deuxième plus petite préfecture de département de France par sa superficie après Bobigny.
On y trouve des eaux thermales froides (14 °C) et fortement salées (environ 11 g de NaCl/litre).
Un gisement de Houille a été découvert à Lons-le-Saunier. Mais il ne fut jamais exploité.

  Communes limitrophes

  Histoire

Connu dès la préhistoire, les fondations remontent au moins à l'horizon 100 av JC. Les sequanes dominaient alors la région jusqu'à la conquête romaine.

À l'époque gallo-romaine, la ville s'appelait Ledo salinarius (en latin : la ville du sel)[2]. Les ressources en sel étaient déjà exploitées. La ville tirant son nom de la source Lédonia, autour de laquelle s'est constituée la ville dès le Moyen-Age. Les curistes bénéficient de ses bienfaits depuis 1892 au centre thermal Ledonia, situé dans le parc des bains.

Lons-le-Saunier est la préfecture du département du Jura, d'après la loi du 2 pluviôse an VIII (29 mars 1800).

Le Docteur Jean Michel (Jean-Marie-Vital Michel), chirurgien de l'hôpital de Lons-le-Saunier, a été torturé et abattu par l'occupant allemand le 27 avril 1944 en représailles des soins apportés à des maquisards blessés.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Lons-le-Saunier est libérée le 2 septembre par les troupes débarquées en Provence[3].

  rue des arcades

  Héraldique

blason

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

Coupé : au premier parti de gueules à la bande d'or et d'or au huchet d'azur, embouché, virolé et enguiché de gueules, au second d'argent plain.

  Administration

  Jacques Pélissard


Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1965 Paul Seguin Radical Négociant
1965 1977 René Feït RI Député
1977 1989 Henri Auger PCF Conseiller général (1970-1982)
mars 1989 réélu en 2008[4] Jacques Pélissard UMP Député / Président de l'AMF

  Démographie

Évolution démographique
(Source : Cassini[5] et INSEE[6])

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6 740 6 041 7 314 7 796 7 918 7 684 8 565 8 781 9 410
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9 456 9 862 9 943 10 701 11 391 12 373 12 290 12 610 12 116
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
12 935 13 133 13 927 13 152 12 651 14 101 14 661 15 568 15 030
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007  
15 924 18 769 20 942 20 105 19 144 18 483 17 879 18 075[7]  

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


  Économie

Lons-le-Saunier est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie du Jura, qui gère, avec Kéolis (filiale de la SNCF), l’Aéroport de Dole - Tavaux.

Aujourd'hui, l'économie du Jura a considérablement progressé autour de deux principaux pôles : Dole et Lons-le-Saunier.

Lons-le-Saunier bénéficie de sa proximité avec la Suisse et se situe à l’entrée de zones touristiques fréquentées comme le Parc naturel régional du Haut-Jura. Par ailleurs, la position de carrefour de Lons-le-Saunier entre les ensembles géographiques de la plaine jurassienne et des premiers plateaux lui a conféré un rôle de place commerciale importante.

On trouve sur Lons et sa périphérie trois grandes zones d'activités :

  • la zone commerciale de Chantrans, la plus récente, sur la commune de Montmorot
  • la zone commerciale de la Vallière, dont la modernisation est à l'étude
  • la zone industrielle à cheval sur Lons et Perrigny.

À proximité du centre-ville, se trouve l'usine Bel qui fabrique les célèbres portions de fromage fondu de marque La Vache qui Rit et l'usine de fabrication fromagère pour la marque Président. À la sortie de la ville sur la route de Bourg-en-Bresse, se trouve la fromagerie de l'AOC comté Rivoire-et-Jacquemin.

L'aérodrome de Lons-le-Saunier - Courlaoux a une vocation orientée vers le loisir (ULM notamment) et n'a pas de réelle vocation commerciale (fret ou passager).

  Patrimoine et musées[8]

  L'Hôtel-Dieu
  • Le Théâtre
  • Les Thermes et le Parc
  • Le Puits-Salé
  • L’Hôtel de ville, largement restauré ces derniers mois
  • Préfecture – fontaine aux Daims
  • Conseil général
  • L'hôtel dieu - 1735
  • La place de la Liberté
  • La rue des Arcades ou rue du Commerce avec une petite centaine d arcades, bien pratiques pour faire ses courses à l'abri.
  • La place de la Comédie
  • La place Bichat
  • La gare du tacot (station des CFV du Jura) devant la gare PLM
  • La statue de Rouget de Lisle
  • La statue du général Lecourbe
  • La fontaine aux dauphins - rue Perrin
  • La fontaine du cygne - place du 11 novembre
  • La fontaine des Salines
  • La fontaine aux lions
  • La fontaine rue Lecourbe
  • La fontaine place Bichat
  • La fontaine de la rue du Commerce

  Philatélie

  • En 1936, un timbre de 20 centimes vert est émis. Il représente la statue de Rouget de Lisle à Lons-Le-Saunier. Il est le premier à avoir fait l'objet d'une vente anticipée le 27 juin 1936, à Lons-Le-Saunier. Il porte le n° YT 314.
  • En 2006, c'est un timbre de 0,53 euro multicolore qui est émis. Il représente "Rouget de Lisle chantant la Marseillaise" d'après le tableau d' Isidore Pils avec à gauche le village de Montaigu et à droite la ville de Lons-Le-Saunier. Il a bénéficié de deux cachets 1er jour, un à Paris le 13 juillet et un second à Lons-Le Saunier le 14 juillet. Il porte le n° YT 3939[10].

  Personnalités liées à la commune

(par ordre chronologique de naissance)

  Transport

  Routes

La ville est un nœud routier. Elle est traversée par la RD 1093 (ex-RN 83) reliant Bourg-en-Bresse au sud et Besançon au nord-est, la RD 678 (ex-RN 78) avec Louhans et Chalon-sur-Saône vers l'ouest et la Suisse vers l'est (via la RN 5) rejointe à Saint-Laurent-en-Grandvaux.

L'autoroute A39 passe à une dizaine de kilomètres à l'ouest (péage de Beaurepaire-en-Bresse sur la commune du même nom). D'autres routes départementales irriguent la campagne bressane et le premier plateau.

  Trains

La gare de Lons-le-Saunier est située sur la ligne Besançon - Bourg-en-Bresse. Le tronçon entre Saint-Amour et Mouchard a été électrifié en 1997 seulement, ce qui permet aujourd'hui de voir passer les rames TGV (un train quotidien de Strasbourg à Marseille à 12h et dans le sens inverse à 16h). Les liaisons TER desservent surtout la capitale régionale Besançon avec un début de cadencement. La gare est également desservie par 3 à 4 Intercités A/R Lyon - Belfort.

  Projet

La branche sud de la LGV Rhin-Rhône passera à proximité de l'autoroute A39 et une gare entre Lons et Louhans (Gare Bressane). La ville disposera alors d'une gare TGV permettant de rejoindre Strasbourg en 2h, Lyon en 40 minutes et Paris en moins de 2h[11].

  Bus et Cars

Une liaison routière en car (pelliculé en orange fluo) permet de rejoindre en 55 minutes la gare de Dole pour les liaisons TGV au départ ou à destination de Paris via Dijon.

La gare routière, sise sur le parking de la gare ferrée de Lons, est le point de départ des lignes de transport par cars du département.

La ville de Lons et quelques communes voisines sont reliées par le service de bus urbains Tallis[12].

  Contournement routier

L'idée d'un contournement ouest de Lons-le-Saunier, lancée en 1963, n’avait jamais pu aboutir (avis défavorable à l'issue d'une enquête publique en 1997 (le tracé était dommageable par ses impacts environnementaux et urbanistiques et il était en outre d’« une fonctionnalité incomplète[13] »). À cause de la décentralisation, le projet porté par l'État a été transmis au conseil général du Jura qui en reprend la maîtrise d'ouvrage depuis 2007.[réf. souhaitée]

Le contournement prévu est une route bidirectionnelle à une voie (2x1 voie) avec quelques créneaux de dépassement. La Vallière et la Sorne seront franchies chacune par un viaduc. Le projet démarrera au nord au niveau du carrefour actuel RD 1083-RD 38, qui sera aménagé en giratoire. Après avoir croisé la RD 678 au niveau du carrefour avec la RD 470 (giratoire futur), il se terminera au sud au niveau du carrefour RD 1083 (ex-RN83)-RD 30[réf. nécessaire].

Le tracé passera sur les communes de Plainoiseau, L'Étoile, Montmorot, Courlans, Messia-sur-Sorne, Chilly-le-Vignoble et Gevingey. Mais pas sur la commune de Lons-le-Saunier.

Le coût du projet est de 46 M€. Le financement est assuré à parts presque égales par l'État (27,5 %), le conseil régional de Franche-Comté (24 %), le conseil général du Jura (24 %) et la Communauté de communes du bassin lédonien (23,5 %)[14]. Les travaux ont aujourd'hui[Quand ?] débuté au niveau de la jonction entre les deux tronçons du contournement, c'est-à-dire à proximité du futur carrefour giratoire du Rocher sur la RD 678 à Montmorot.

Un autre projet bien moins avancé vise à détourner le parcours actuel des camions qui empruntent la RD 678 en provenance ou à destination du massif. Ces camions traversent actuellement avec de lourdes nuisances les communes de Revigny, Conliège et Perrigny avant de rejoindre la rocade lédonienne, la RD 52 leur étant interdite à cause de la trop forte pente (13 %). Plusieurs tracés ont fait l'objet d'études préliminaires mais vu les coûts et les enjeux des territoires traversés, il est probable que le projet ne voie pas le jour avant 15 à 20 ans.

  Vie militaire

Les unitéq militaires ayant tenu garnison à Lons-le-Saunier sont :

  Jumelages

  Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :


  Liens internes

  Liens externes

  Sources

  Notes

  1. Populations légales 2008 de la commune : Lons-le-Saunier sur le site de l'Insee
  2. D'après le site internet de la ville
  3. Stéphane Simonnet, Atlas de la Libération de la France, éd. Autrement, Paris, 1994, réimp. 2004 (ISBN 2-7467-0495-1) , p 35
  4. Préfecture du Jura, Liste des maires élus en 2008, consultée le 2 mai 2010
  5. http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
  6. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
  7. Recensement de 2006 des communes du Jura
  8. Sources : Le site officiel de la ville
  9. d'après délibération n°6564 du CG39
  10. Catalogue Yvert et Tellier, Tome 1
  11. Le site sud.lgvrhinrhone
  12. Le site de Tallis
  13. La Voix du Jura - 29/01/2004
  14. Décision n° 6475 du 7 décembre 2007 du CG39



Précédé par
Perrigny
Sentier GR59
Balise GR.png
Suivi par
Montaigu


   
               

 

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