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assertion (n.f.)
1.proposition que l'on considère vraie.
2.action d'affirmer ou d'énoncer (qqch)
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⇨ definición de assertion (Littré)
⇨ definición de assertion (Wikipedia)
assertion (n.f.)
affirmation, allégation, attestation, dire, proposition, thèse
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Ver también
assertion (n.f.)
assertion (n. f.)
acte de discours[Hyper.]
assert, insist, press (en) - déclarer - dire - jurer - affirmer[Dérivé]
Le Littré (1880)
Proposition qu'on affirme. Assertion vraie, fausse. Il détruisit par des faits les assertions de son adversaire.
HISTORIQUE
XIVe s.— Nulz ne sera doresenavant receu à faire monstre [revue] par cedule ou par assersion de sa parole, mais sera chascuns tenus desoresmais de faire monstre armée (Ordonn. t. III, p. 35)
XVIe s.— Ce point n'a esté touché que pour une simple assertion, sans aucune demonstration, raison ou authorité ancienne (PARÉ Licorne, réplique.)— Si de ce vous deffiez et en demandez assertion et signe usual (RAB. Pant. III, 49)
ÉTYMOLOGIE
Provenç, assertio ; de assertionem, de asserere, prendre, saisir, de ad (voy. à) et serere, entrelacer (voy. SÉRIE).
Wikipedia
En linguistique et en philosophie, une assertion représente un énoncé considéré ou présenté comme vrai.
En logique et en mathématiques, une assertion est une proposition mathématique vraie. Cette proposition vraie s'inscrit dans le cadre d'une théorie précisée. Cette même proposition peut d'ailleurs être fausse au sein d'une autre théorie (voir exemples ci-dessous).
En programmation informatique, une assertion est une expression qui doit être évaluée à vrai. Si cette évaluation échoue elle peut mettre fin à l'exécution du programme, ou bien lancer une exception. Par exemple, la fonction assert
de la bibliothèque standard du langage C termine l'exécution du programme si l'assertion est fausse. La programmation par contrat et les tests unitaires sont basés sur les assertions.
Nous entendons souvent dire que 2 + 2 = 5 est une affirmation fausse ; en fait cela sous-entend que 2 et 5 sont des entiers et en utilisant la propriété additive sur l'ensemble des entiers , nous aboutissons à une contradiction évidente 1 = 0, par exemple. Mais nous pouvons faire devenir vraie cette égalité en considérant 2 et 5 comme égaux à 0 et en définissant l'addition par 0 + 0 = 0. Nous construisons dans ce cas une autre théorie ; tout le problème est de savoir si ensuite cette théorie sera d'une quelconque utilité. Et pourra-t-on trouver beaucoup d'adeptes de cette théorie ? Après tout des savants italiens du XVIe siècle comme Cardan s'enhardissaient à travailler avec des racines carrées de nombres négatifs et notaient abusivement un certain nombre complexe imaginaire ; cela donna plus tard naissance à la théorie des nombres complexes.
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