definición y significado de coin | sensagent.com


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Definición y significado de coin

Definición

coin (n.m.)

1.angle intérieur, formé par deux pans qui se joignent.

2.point où trois zones ou surfaces se rencontrent ou se croisent "les coins d'un cube"

3.angle rentrant ou saillant.

4.petit espace.

5.instrument anguleux pour fendre, serrer des choses.

6.endroit sur le côté d'une zone " le coin sud-est de la Méditerranée "

7.côté pointu formé par l'intersection de deux surfaces d'un objet " il a arrondi les coins de la boîte "

8.(figuré)région éloignée " dans de nombreux coins du monde, ils pratiquent encore l'esclavage "

coin (n.)

1.objet placé sous un autre pour le mettre d'aplomb.

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Definición (más)

definición de coin (Littré)

definición de coin (Wikipedia)

Sinónimos

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Ver también

coin (n.)

caler

Frases

Arabe du coin • Au coin de ma rue • Blague dans le coin • Café du bon coin • Christophe Coin • Coin (Espagne) • Coin (machine simple) • Coin (numismatique) • Coin Nord de Mitsamihouli • Coin de Mire • Coin de glace • Coin de table • Coin des poètes • Coin salarial et fiscal • Coin-lès-Cuvry • Coin-sur-Seille • Dissipation dans un coin liquide • Fleur de coin • Grimpar bec-en-coin • Histoires à lire au coin du feu • Julie Coin • L'Oreille en coin • La Fiancée du bon coin • Le Bon Coin • Le Coin du voile • Loi 17 du football : coup de pied de coin • Mont Coin • Méthode du coin Nord-Ouest • Paradoxe du coin • Robert Coin • Saint-Régis-du-Coin • Stratégie du coin • Tour du coin • Un coin de ciel bleu • Un coin tranquille à la campagne • Un petit coin aux cieux • Un petit coin aux cieux (comédie musicale) • Un petit coin aux cieux (film, 1943) • Un petit coin de paradis • Un rêve au coin du feu • Vingtaine du Coin • Vingtaine du Coin Hatain • Vingtaine du Coin Motier • Vingtaine du Coin Tourgis Nord • Vingtaine du Coin Tourgis Sud • Vingtaine du Coin Varin • Zizi Coin Coin

Diccionario analógico


coin (n.)

point[Hyper.]


coin (n.)

morceau[Hyper.]



coin (n. m.)


coin (n. m.)

reliure d'un livre[DomainDescrip.]


coin (n. m.)

bloc[Hyper.]

chock (en) - chock (en)[Dérivé]


coin (n. m.)


coin (n. m.) [figuré]




coin (n. m.)


coin (n. m.)




coin (n. m.)


coin (n. m.)

côté[Hyper.]

border - border[Dérivé]


Le Littré (1880)

COIN (s. m.)[koin]

1. Instrument de fer, taillé en angle solide, et dont on se sert pour fendre du bois.

Coins de mire, morceaux de bois qui servent à hausser ou à baisser un canon, un mortier, suivant la distance du but à atteindre.

Faire coin de même bois, se servir, pour mettre une chose en oeuvre, d'une partie de cette même chose, et aussi user de ce qu'on tire d'une personne pour agir contre elle.

En mécanique, angle solide représentant deux plans inclinés adaptés par leur base, et servant à divers usages ; c'est une des machines simples étudiées en statique.

Un coin de beurre, pièce de beurre à peu près en forme de coin qu'on vend à la halle.

Petit ornement autour des bouquets qui sont sur le dos des livres reliés. Petit fer qui sert à faire ces ornements.

La partie d'un bas dessinée en forme de coin, et dont la base correspond à la cheville du pied.

Autrefois, pièce de bas de chausse qui est en pointe et qui, prenant depuis la cheville du pied, s'étend jusque sous la plante.

Morceau de drap qui couvre l'espace compris entre les barrures d'une balle de paume.

Terme de cordonnier. Petit morceau de bois pour hausser le cou-de-pied des souliers, lorsqu'ils sont sur la forme.

Terme d'antiquité. Formation d'une troupe en un bataillon triangulaire dont une pointe était tournée vers l'ennemi.

2. Terme de monnaie. Morceau de fer trempé et gravé, qui sert à marquer les monnaies et les médailles.

Monnaie, médaille à fleur de coin, celle que le frottement n'a pas encore usée et telle qu'elle est sortie de dessous le coin.

Anciennement, avoir coin, avoir droit de battre monnaie.

Fig. Cela est frappé, marqué à tel coin, on y reconnaît tel caractère, tel cachet.

Des vers marqués au coin de l'immortalité (BOILEAU Ép. X.)

Toi qui sais à quel coin se marquent les bons vers (BOILEAU Sat. II)

Il ne s'y voit rien qui ne soit marqué au coin de l'ouvrier (LA BRUY. XVI)

Les riches étant, pour ainsi dire, marqués au coin du monde (BOSSUET Serm. Sept.)

C'est presque le seul ouvrage marqué au bon coin, depuis trente ans (VOLT. Lettr. Cideville, 4 février 1765)

Poinçon pour marquer la vaisselle plate, les bijoux.

Marque, empreinte.

Ce petit Feuquières a un coin d'Arnaud dans la tête qui le fait mieux écrire que les autres (SÉV. 204)

J'ai un coin de folie qui n'est pas encore bien mort (SÉV. 423)

Je ne saurais croire que, quelque coin d'anachorète que vous ayez, ces honneurs et ces respects sincères puissent vous déplaire (SÉV. 558)

3. Angle rentrant ou saillant formé par la rencontre de deux ou de trois lignes, de deux ou de trois surfaces, ainsi dit par comparaison avec le coin de fer ou de bois. Le coin d'une maison.

Dieu doit faire de cette pierre le chef du coin (PASC. Proph. 21)

Les quatre coins d'une chambre, les quatre angles que forment les quatre parois d'une pièce faite en carré ou en carré long. Les quatre coins d'une étoffe, les points où les bords se joignent. Des officiers portaient les quatre coins du poêle en cette pompe funèbre.

Les quatre coins et le milieu d'un bois, d'une ville, etc. tout l'espace embrassé par un bois, par une ville. Je l'ai cherché dans les quatre coins et le milieu du quartier.

Les quatre coins du monde, l'espace entier du monde. Les quatre coins de Paris. Il a parcouru les quatre coins de la ville, sans pouvoir découvrir son logement.

Ne dirait-on pas que le feu est aux quatre coins de l'univers ? (DIDER. Nouv. pensées philosophiques, 57)

Les orages sont venus des quatre coins du monde, et ont fondu sur ma petite barque que j'ai bien de la peine à sauver (VOLTAIRE Lett. Damilaville, 31 déc. 1764)

M. Cromelin est un peu ardent ; on aurait dit que le feu était aux quatre coins de Genève (VOLTAIRE Lett. d'Argental, 4 février 1766)

Jeu des quatre coins, jeu dans lequel quatre personnes occupent les quatre angles d'un carré ; et une cinquième personne placée au centre du carré tâche de saisir une de ces places à la course, aussitôt que le tenant l'abandonne pour en changer avec un autre.

L'amour, l'hymen, l'intérêt, la folie, Aux quatre coins se disputent nos jours (BÉRANG. Coin de l'am.)

Où l'ambition règne, La gaieté perd son coin (BÉRANG. Ménétrier de Meudon.)

Le coin de la rue, l'endroit où deux rues se coupent.

Envoyez des soldats à chaque coin des rues (CORN. Héracl. III, 4)

Le marchand du coin, le marchand logé au coin d'une rue voisine ; et, figurément, le coin, le voisinage.

Le géomètre dit qu'il en fallait parler au théologien du coin (VOLT. l'Homme aux 40 écus, Mariage.)

Il y a dans tous les coins des gens qui ont des remèdes infaillibles contre toutes les maladies imaginables (MONTESQ. Lett. pers. 58)

Le coin d'un bois, l'endroit où une route coupe un bois. Il a été assassiné au coin d'un bois.

La naïve bergère, assise au coin d'un bois, Chante et roule un fuseau qui tourne sous ses doigts (ST-LAMBERT. Saisons, printemps.)

Mourir au coin d'un bois, d'une haie, mourir loin de toute assistance.

Cet homme a la mine de demander l'aumône au coin d'un bois, se dit d'un homme de mauvaise mine, de mine menaçante, qui demande l'aumône.

Fig.

Il n'est coin et recoin que je n'aie tenté (RÉGNIER Sat. XIV)

La sagesse vous éclairera par quelque coin inespéré (BOSSUET Lettr. Corn. 92)

Petit meuble en forme d'armoire que l'on place dans les coins d'une chambre.

En termes de manége, coin se dit des quatre angles de la volte, lorsque le cheval travaille en carré. Entrer dans les coins, pénétrer, autant qu'il est possible, dans les angles du manége. Travailler sur les coins ou faire les quatre coins, diviser la volte en quatre quarts.

Terme du jeu de trictrac, grand coin, coin de repos, ou, simplement, coin, la dernière case de chaque pan, de chaque partie de la boîte. Coin bourgeois, la dernière case du petit jan, et la première du grand.

Au jeu de paume, on dit qu'un homme tient bien son coin quand il sait bien soutenir et renvoyer les coups qui viennent de son côté.

Fig. Tenir son coin, tenir une place honorable dans un cercle ; prendre part avec avantage à une discussion, etc.

Mme de Coulanges tenait son coin (SÉV. 489)

Il peut tenir son coin parmi les beaux esprits (MOL. Femmes sav. III, 5)

Le baron de Beauvais avait tenu son coin, mêlé avec l'élite de la cour (SAINT-SIMON 14, 159)

Le chevalier de Lorraine, du temps des Guises, eût tenu un grand coin parmi eux (SAINT-SIMON 96, 14)

4. Le coin du feu, les côtés de la cheminée où l'on s'assied pour se chauffer.

Je me suis livré dans cette lettre au plaisir de causer avec vous, comme si j'étais au coin de votre feu (VOLT. Lett. Mme du Deffant, 20 nov. 1765)

Ne bouger du coin du feu, être très sédentaire, mener une vie retirée.

C'était un temps à garder le coin du feu (SÉV. 610)

N'aimer que le coin de son feu, aimer la vie retirée.

Cela ne se dit, ne se fait qu'au coin du feu, en famille, entre amis, chez soi.

Au théâtre, il faut parler au coeur plus qu'à l'esprit ; Tacite est fort bon au coin du feu, mais ne serait guère à sa place sur la scène (VOLT. Lettr. Chauvelin, 9 oct. 1764)

Fig. Allez lui dire cela au coin de son feu, ou allez lui dire cela et vous chauffer au coin de son feu, c'est-à-dire vous ne seriez pas bienvenu à lui parler ainsi dans un endroit où il serait le maître.

5. Le coin de la bouche, l'angle formé, de chaque côté, par la rencontre des lèvres.

Le coin de l'oeil, l'angle formé, de chaque côté, par la rencontre des paupières. Regarder du coin de l'oeil, regarder à la dérobée, sans faire semblant de rien.

Elle regarde les rochers du coin de l'oeil, mourant d'envie d'aller s'y reposer (SÉV. 550)

Messire Jean.... La regardait toujours du coin de l'oeil (LA FONT. Jum.)

Les coins, faux cheveux que l'on ajoute sur les côtés de la tête.

Terme de vétérinaire. Dents incisives du cheval, les plus voisines des crochets et les plus courtes ; elles sont au nombre de quatre, deux à chaque mâchoire.

En termes de fauconnerie, les coins, les plumes qui forment les deux côtés de la queue de l'animal.

6. Endroit retiré, peu fréquenté. Il vit tranquille dans un coin de sa province.

Va, furie exécrable ; en quelque coin de terre Que t'emporte ton char, j'y porterai la guerre (CORN. Médée, V, 8)

Ah ! ne languissons plus dans un coin du Bosphore (RAC. Mithr. I, 3)

Qu'heureux est le mortel qui, du monde ignoré, Vit content de soi-même en un coin retiré ! (BOILEAU Ép. VI)

Je voudrais être caché dans un coin de Toulouse, le jour que l'innocence de Sirven sera reconnue (VOLT. Lettr. Audra, 5 mai 1769)

Petit espace de terrain. Ce coin de terre suffit à ses besoins.

Supplier le roi de daigner mettre la paix une seconde fois dans ce petit coin de terre [Genève] dont il a déjà été le bienfaiteur (VOLTAIRE Lett. Richelieu, 13 mars 1765)

Je ne suis qu'un laboureur malade qui défriche des champs incultes et qui marie des filles dans un coin de terre ignoré (VOLTAIRE ib. 23 août 1765)

Endroit peu exposé à la vue. Jetez cela dans un coin.

Dans un coin du jardin, sous un épais nuage, Je l'enveloppe encor d'un sommeil assez doux (CORN. Toison d'or, V, 6)

.... Cachée en un coin de ce vaste édifice (RACINE Ath. V, 1)

Tandis que dans un coin en grondant je m'essuie, Souvent, pour m'achever, il survient une pluie (BOILEAU Sat. VI)

HISTORIQUE

XIIIe s.Ne coingnet [petit coin] nul à reverchier [fouiller], Que li gorpiz [renard] n'i fust cachiez (Ren. 22056)Deus coins de chiesne toz entiers Y avoit mis li forestiers (ib. 10283)Il lor donne formes veroies En coinz de diverses monoies (la Rose, 16218)Et il et les autres seignors et roys dou roiaume, qui après lui furent, donnerent à aucuns haus homes el dit roiaume, baronies, seignories, cours et coins et justise (Ass. de Jér. I, 24)

XIVe s.Si come qui disposeroit quatre choses en une figure quarrée là où il aroit quatre cuignes ou angles (ORESME Eth. 150)Si trouva un grant arbre abatu que l'en avoit voulu fendre à coings (ORESME ib. 44)

XVe s.Pipeur ou hezardeur de dés, Tailleur de faulx coings, tu te brusles Comme ceux qui sont eschaudez (VILLON Ball. de bonne doctrine.)

XVIe s.Les monnoies forgées de coins bien differents (CALV. Instit. 109)Nous commencerons par la partie qui fait le coin devers la mer athlantique d'un costé, de l'autre vers le destroit (D'AUB. Hist. I, 34)Faisans un coin de leur bataillon de lansquenets (D'AUB. ib. I, 323)Les coins ou angles de l'oeil (PARÉ)Enter en coin (O. DE SERRES)Par le feu et violence de coings, nous ramenons un bois tortu à sa droicture (MONT. IV, 204)Le tyran asservit les subjects les uns par le moyen des aultres, et est gardé par ceulx des quels, s'ils valoient rien, il se debvroit garder ; mais, comme on dict, pour fendre le bois, il se fait des coings du bois mesme (LA BOÉTIE Servit. volont. dans MONT. Essais, t. IV, p. 379)À dur neud, mauvais coing (COTGRAVE)Fol est qui de son poing fait coing (ID.)Meschante [pauvre] vie quiert le coing (ID.)

ÉTYMOLOGIE

Wallon, coine ; provenç. cunh, conh, cong ; espagn. cuño ; portug. cunho ; ital. conio ; du latin cuneus.

SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

COIN. Ajoutez :

7. Coin de feu, sorte de vêtement.

1500 vestons dits coins de feu, molleton couleur, bordures de toutes nuances, à 5 fr. 50 (Prospectus, 23 déc. 1875)

8. Coin du feu, petit siége pour s'asseoir auprès du feu.

Wikipedia - ver también

Wikipedia

Coin

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Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom.
 Pour l’article homophone, voir Coing.

Voir « coin » sur le Wiktionnaire.

Coin est un nom commun qui peut désigner :

  • un lieu où se trouve un angle saillant ou rentrant,
  • le coin, morceau de métal sur lequel est gravée en creux l'empreinte d'une monnaie (voir aussi Fleur de coin),
  • le coin, une machine simple utilisée pour séparer un objet en deux,
  • le coin salarial et le coin socialo-fiscal, deux mesures voisines utilisées pour calculer le degré de taxation total des revenus du travail.

Patronyme

Géographie

Voir aussi

 

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