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copier (v. trans.)
1.reproduire un écrit.
2.reproduire, imiter une œuvre d'art.
3.reproduire frauduleusement (un texte, une œuvre).
4.faire un double d'un document.
5.faire une réplique de "copier un dessin" "recréer un tableau de Rembrandt"
6.copier tel quel "Les élèves ont été obligés de copier l'alphabet encore et encore"
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⇨ definición de copier (Littré)
⇨ definición de copier (Wikipedia)
copier (v. trans.)
calquer, compiler, conformer, contrefaire, démarquer, dérober, écrire, emprunter, essayer d'égaler, expédier, faire une copie, frauder, grossoyer, imiter, inscrire, jouer, marcher sur les brisées de, marquer, mimer, noter, pasticher, piller, plagier, pomper, recopier, recréer, récrire, relever, répéter, reproduire, ressembler, se moquer, simuler, singer, suivre, transcrire, tricher, voler, dupliquer (V+comp), faire un double (V), représenter (vieux)
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Ver también
copier (v. trans.)
↘ copiable, copiage, copieur, copiste, double, duplication, photocopieur, réplique, reproduction ↗ copie, copie exacte, duplicata
copier (v. tr.) [V+comp]
copier (v. tr.) [V+comp]
copier (v. tr.) [V+comp]
imiter[Classe]
copier une action (PCourante)[Classe...]
copier (v. tr.)
écrire[Classe]
copier (v. tr.)
copier (v. tr.)
écrire[Hyper.]
copiage - copie exacte, duplicata - scribe[Dérivé]
Le Littré (1880)
1. Faire une copie. Copier fidèlement un texte.
• Je ne fais que copier leurs paroles (PASC. Prov. 7)
• On peut juger des efforts qu'il [Démosthène] fit pour se perfectionner en tout genre par la peine qu'il prit de copier de sa propre main jusqu'à huit fois l'histoire de Thucydide pour se rendre plus familier le style de ce grand homme (ROLLIN Hist. anc. Oeuvres, t. V, p. 536, dans POUGENS)
• Je vous ai dit que je l'avais trouvé copiant de la musique à dix sous la page (J. J. ROUSS. Dialogue, II)
2. Par extension, reproduire une oeuvre d'art. Copier un tableau, une statue.
• Vous copiez un vase étrusque, et vous lui donnez l'élégance grecque ; ce n'est point là ce qu'on vous demande et ce qu'on attend de vous (MARMONT. Élém. de litt. Oeuvres, t. X, p. 267, dans POUGENS)
• Dans l'asile honteux des amours mercenaires Il cherche une Vénus qu'il copie au hasard, L'opprobre de son sexe et la honte de l'art (DELILLE Imagin. V)
3. Copier un auteur, un artiste, imiter son style, sa manière.
• Comme les vices des Grecs avaient passé chez les Romains, Térence, pour les imiter, ne fit que copier Ménandre (MARMONT. Élém. de litt. t. VI, p. 156, dans POUGENS)
On dit qu'un écrivain, qu'un artiste copie la nature, quand ses productions ont un cachet de naturel et de vérité.
Absolument.
• Qui, c'est être inventeur que si bien copier (LA MOTTE Fables, I, 2)
4. Imiter les manières d'une autre personne.
• Il n'est rien tel que les jésuites ; j'ai bien vu des jacobins, des docteurs.... mais une pareille visite manquait à mon instruction ; les autres ne font que les copier (PASC. Prov. 4)
• C'était l'original que toutes les femmes copiaient pour le goût des habits et l'air de la coiffure (HAMILT. Gramm. 7)
• Il imite M. d'Agen sans le copier (SÉV. 34)
• On croit, en copiant leurs moeurs [des grands], entrer en part de leur grandeur (MASS. Panég. saint Louis.)
• La ville croirait dégénérer en ne copiant pas les moeurs de la cour (MASS. Pet. car. Exemp.)
Au collége, copier, c'est, au lieu de faire son devoir, copier celui d'un camarade. C'est un paresseux, il copie tous ses devoirs. Comme il avait copié, il fut mis hors de composition.
5. Contrefaire. Il n'est pas bien de copier les gens.
6. Se copier, v. réfl. S'imiter soi-même, c'est-à-dire en parlant d'un écrivain ou d'un artiste, produire des oeuvres qui ont entre elles beaucoup de ressemblance. Cet artiste n'a point d'invention, il se copie sans cesse.
Se copier, s'imiter les uns les autres. Ces jeunes gens ne font que se copier.
HISTORIQUE
XVIe s.— Une fois un grand seigneur entreprint d'y passer sans estre copié [contrefait par moquerie] (DESPER. Contes, XXVIII)— Il copia diligemment la poesie d'Homere, et l'assembla en un corps pour la porter en la Grece (AMYOT Lyc. 5)
ÉTYMOLOGIE
Copie.
Wikipedia - ver también
Wikipedia
La Famille Copier, Coppier, de Coppier, Coupier ou du Coupier est une famille de la très ancienne aristocratie dauphinoise.
Elle est la descendance directe de la Famille de Coppier d'ancienne noblesse chevaleresque savoyarde. Elle devient française en 1563 et le patronyme « de Coppier » se transforme en « Copier » à la Révolution Française de 1789.
Sommaire |
Héraldique de la famille de Coppier.
d'azur à trois coupes d'or
de gueules, au chef d'hermine
QUI VULT NO HABET COUPIER
N'A QUI VEUT COUPIER
Elle paraît être originaire du Genevois où l'on trouve dès le XIIe siècle des sujets de ce nom.
Cette famille est présente principalement en France (régions Rhône-Alpes et Bourgogne principalement), Pays-Bas, Belgique, Allemagne, Italie, Royaume-Uni, États-Unis d'Amérique, Canada et au Chili.
La noblesse de cette famille est aujourd'hui tombée en désuétude. Au cours du temps, cette très ancienne famille de noblesse d'épée vit sa noblesse contestée plusieurs fois. Probablement, cela serait dû par son manque de fortune.
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