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domination (n.f.)
1.action de dominer. Fait d'exercer son autorité.
2.domination ou pouvoir depuis une autorité légale (ex. la France a eu une domination sans partage sur de vastes régions d'Afrique ; la domination de César).
3.influence dominante
domination (n.)
1.pouvoir de dominer ou de vaincre "la maîtrise des mers"
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⇨ definición de domination (Littré)
⇨ definición de domination (Wikipedia)
domination (n.)
domination (n.f.)
ange, ascendant, asservissement, assujettissement, autorité, conquête, contrôle, dépendance, despotisme, dictature, domestication, dominance, empire, emprise, envoûtement, esclavage, férule, griffe, hégémonie, influence, joug, loi, maîtrise, obédience, obéissance, omnipotence, oppression, possession, pouvoir, prépondérance, prépotence, puissance, self-control, souveraineté, sujétion, suprématie, tyrannie
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Ver también
domination (n.f.)
⇨ Bondage et discipline, domination et soumission et sado-masochisme • Doll Domination • Domination (album) • Domination masculine • Domination nakite • Domination sexuelle • Europe sous domination nazie • Female domination : an exploration of the male desire for loving female authority • Histoire de la Suisse sous domination française • La Domination masculine • La Domination masculine (film)
domination (n.)
ascendant, prédominance, suprématie[Hyper.]
dominer, maîtriser - dominer - hégémoniste, suprématiste[Dérivé]
domination (n. f.)
influence[Classe]
dépendance[Classe]
caractère d'une personne autoritaire[Classe]
autorité[Classe]
chef[termes liés]
territoire[termes liés]
tyranniser[Nominalisation]
domination (n. f.)
ascendant, prédominance, suprématie[Hyper.]
être au pouvoir, gouverner, régner - dominer[Dérivé]
domination (n. f.)
contrôle social[Hyper.]
dominer[Dérivé]
domination (n. f.)
Le Littré (1880)
1. Autorité qui, acceptée ou non des subordonnés, s'exerce pleinement. Esprit de domination. Secouer une domination tyrannique. La domination de l'âme sur le corps.
• La flatterie bénit les dominations injustes et fait des voeux pour la prospérité des méchants (BALZ. le Prince, V)
• Il étendit sa domination sur la Syrie (BOSSUET Hist. I, 7)
• Que sur toute tribu, sur toute nation, L'un d'eux [fils de David] établirait sa domination (RAC. Athal. I, 1)
• Des hommes impies qui méprisent toute domination (MASS. Carême, Vérité de la rel.)
• Généralement parlant, de toutes les dominations étrangères, aucune ne fut jamais moins à charge que celle des Romains, à peine leur joug se faisait-il sentir (ROLLIN Hist. anc. Oeuvres, t. IX, p. 432, dans POUGENS)
• Voilà ce qui reste d'une vaste domination, un souvenir obscur et vain ! (VOLNEY Ruines, 2)
• Quelque dure que fût pour moi la domination de ma belle-mère, je n'aurais peut-être jamais eu la force de changer de situation (STAËL Corinne, XIV, 3)
2. Terme de théologie. Les dominations, un des ordres de la hiérarchie céleste, qui est le quatrième en commençant par les séraphins.
• Parmi tant de trônes, d'ardeurs, de dominations, nul ne se sentit assez de force pour s'offrir en sacrifice (CHATEAUB. Génie, I, V, 4)
HISTORIQUE
XIIe s.— Le tuen regne, regne de tuz secles, e la tue dominaciun en tute generaciun e generaciun (Liber psalm. p. 225)
XIVe s.— Concupiscence aura dominacion et seigneurie par dessus raison. - La mutation des dominations et majestez du monde (ORESME Thèse de MEUNIER.)— Leurs dominations et seigneuries en eussent plus duré et en meilleur estat (ORESME ib. Prol.)— Jà jour vous n'en arez la domination, Se par force n'avez conquis la mansion (Guesclin. 5060)— Car encor revenrez en dominacion, Et de vos anemis vous prendrez vengison (ib. 8972)— Sire, che dist Madoines, bien croire vous doit-on ; Car quant un chetis vient en domination, Plus d'orgeul a en lui qu'en un prinche de non (Baud. de Seb. XIII, 630)
XVIe s.— Or estoit la domination de ces trois personnages qu'ilz appelerent le triumvirat, pour beaucoup de causes odieuse et haïe des Romains (AMYOT Anton. 24)
ÉTYMOLOGIE
Provenç. domination ; espagn. dominacion ; ital. dominazione ; du latin dominationem, de dominari, dominer.
Wikipedia
Domination vient du verbe « dominer » (étymologiquement de la juxtaposition latine des mots « règle » et « maître »). Ce mot décrit une situation dans laquelle un être et ou un groupe est en position d'imposer (voir autorité), par n'importe quel moyen (y compris la force) ses idées, sa loi, vérité ou croyance. La domination peut ainsi être associée à la survie, à la quête de pouvoir mais aussi à un acte délibéré de méchanceté.
Le verbe « dominer » a d'autres sens plus particuliers :
L'abus de position dominante est le comportement d'une entreprise en position de domination qui influence la structure d'un marché.
La domination est également une pratique sexuelle composant les jeux de domination/soumission (voir BDSM).
Sommaire |
Max Weber évoque le concept de domination dans son livre Économie et société. Pour cet auteur la domination est
« toute chance qu'a un individu de trouver des personnes déterminables prêtes à obéir à un ordre de contenu déterminé. »
Dans le troisième chapitre de son ouvrage, Weber distingue trois types de dominations. Ces trois formes de domination sont les suivantes :
Ces dominations découlent des quatre types d'action possibles : action rationnelle en finalité, action rationnelle en valeur, action affective et comportement habituel. Pour Max Weber, ces trois types de domination n'ont pas vocation à se succéder historiquement. Il faut ajouter également que ces trois types de domination peuvent coexister et il ne faut pas non plus les opposer.
Cette forme de domination repose sur la croyance coutumière et quotidienne en la sainteté des traditions valables de tous temps et sur la croyance en la légitimité de ceux qui sont appelés à exercer la domination par ces moyens.
Trois caractéristiques en découlent :
Pour Max Weber, ces concepts sont des idéaltypes et ne peuvent se rencontrer de manière pure dans la réalité. Il existe cependant des cas où cette forme de domination est plus présente que les dominations charismatique et rationnelle légale, sans pour autant que celles-ci soient absentes : la royauté pré-révolutionnaire en France, les monarchies, etc.
Cette forme de domination repose sur la soumission au caractère exceptionnel, sacré, à la vertu héroïque ou à la valeur exemplaire de la personne qui exerce le pouvoir.
Quatre caractéristiques y sont associées :
Quelques exemples de domination charismatique : Hitler, César...
Ce type de domination repose sur la croyance en la légitimité des règles légales adoptées et du droit de donner des directives qu'ont ceux qui exercent la domination par ces moyens.
Quatre caractéristiques sont à rattacher à cette forme de domination :
Quelques exemples : La bureaucratie moderne, la cinquième république en France après Charles de Gaulle...
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