Publicitad D▼
doué
douer (v. trans.)
1.pourvoir qqn de qualités.
doué (adj.)
1.qui a un don (pour qqch).
2.qui a du talent.
Publicidad ▼
⇨ definición de doué (Littré)
⇨ definición de doué (Wikipedia)
douer (v. trans.)
avantager, donner, donner en partage, doter, favoriser, gratifier, partager, pourvoir
douer (v. trans.) (littéraire;vieux;Droit)
pourvoir d'un douaire (V+comp)
doué (adj.)
doué pour, éclatant, talentueux, brillant (figuré)
Publicidad ▼
Ver también
douer (v. trans.)
↘ doué, surdoué, talentueux ↗ douaire
doué (adj.)
↘ brillamment, brillance ↗ briller, douer, génie
⇨ Canton de Doué-la-Fontaine • Communauté de communes de la région de Doué-la-Fontaine • Doue (ruisseau) • Doué-la-Fontaine • Dénezé-sous-Doué • Mathias Doué • Parc zoologique de Doué-la-Fontaine • Saint-Germain-sous-Doue • Un animal doué de déraison • Un animal doué de raison • Un élève doué • Un élève doué (film) • Un élève doué (nouvelle)
doué (adj.)
génie[Qui a]
doué (adj.)
intelligent[Similaire]
doué (adj.)
qui montre de l'éloquence[ClasseParExt.]
prompt dans l'exercice de ses facultés[ClasseParExt.]
qui s'est acquis, a de la gloire[ClasseParExt.]
qui est en grande intensité (favorable)[Classe]
qui sort du commun[ClasseParExt.]
qui a beaucoup de talent[Classe]
qualificatif du jeu musical[DomainJugement]
brillant, prompt à suivre (regard)[DomainJugement]
riche (style)[DomainJugement]
briller[Qui~]
intelligent[Similaire]
Le Littré (1880)
1. Terme de droit. Assigner un douaire à celle qu'on épouse.
• Je dis que le futur peut, comme bon lui semble, Douer la future (MOL. Éc. des f. IV, 2)
2. Dans le langage général, gratifier, accorder, en parlant de Dieu, de la nature, des génies, des fées. La nature l'a doué d'heureuses facultés.
• On ne saurait dire si Ésope eut sujet de remercier la nature ou bien de se plaindre d'elle ; car, en le douant d'un très bel esprit, elle le fit naître difforme et laid de visage (LA FONT. Vie d'Ésope)
• Malheureuse, les dieux ont-ils doué tes pleurs De ces charmes puissants qui fléchissent les coeurs ? (DESFONTAINES)
HISTORIQUE
XIIe s.— Toute sa terre nequident [néanmoins] m'a donée ; De Ribemont iert [sera] ma feme doée (Raoul de C. 224)
XIIIe s.— Veullez que vostre mere m'ame de s'amour doe (Berte, XXXIII)— Li enfant de le [la] premiere feme emportent le [la] moitié dont lor mere fu douée (BEAUMANOIR XIII, 2)— Li prestres fet dire à l'omme quant il espouse [célèbre le mariage] : Du douaire qui est devisés entre mes amis et les tiens, te deu (BEAUMANOIR ib.)— Trop pou [peu] fu de tiex [tels] hommes, ne de si bien doez, Puis que Diex fu por nous en sainte croix cloez (J. DE MEUNG Test. 103)
XVe s.— Raporter la besongne en tel point que la pucelle soit tenue de vous regracier, et qu'elle puisse avoir occasion de vous aymer, et vous douer de son gent corps (Perceforest, t. II, f° 8)
XVIe s.— Icy chez luy, où par devote emprise Fonda, bastit, et doua ceste eglise (MAROT III, 246)
ÉTYMOLOGIE
Provenç. et espagn. dotar ; ital. dotare ; du latin dotare, de dos, dotis, dot (voy. DOT).
1. Qui a reçu un douaire.
2. Fig. Qui a en partage. Elle était douée de toutes les vertus.
Un homme heureusement doué, un homme pourvu de qualités heureuses.
Il se dit quelquefois absolument. C'est un homme doué, c'est un homme qui a reçu de la nature des qualités, des talents.
Wikipedia
Doue | |
---|---|
Le village vu de la Butte |
|
Administration | |
Pays | France |
Région | Île-de-France |
Département | Seine-et-Marne |
Arrondissement | Provins |
Canton | Rebais |
Code commune | 77162 |
Code postal | 77510 |
Maire Mandat en cours |
Jean-François Delesalle 2008-2014 |
Intercommunalité | la Brie des Morin |
Site web | Site officiel |
Démographie | |
Population | 1 005 hab. (2008) |
Densité | 50 hab./km2 |
Gentilé | Dovincien, Dovincienne |
Géographie | |
Coordonnées | |
Altitudes | mini. 110 m — maxi. 202 m |
Superficie | 20,05 km2 |
Doue est une commune française, située dans le département de Seine-et-Marne et la région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Dovinciens. La ville recense 1 019 habitants en 2007[1].
Sommaire |
Doue est située dans l'Est du bassin parisien, dans la partie de la Brie historiquement connue sous le nom de Brie Champenoise. La commune se situe environ à mi-distance entre Paris (61 km) et Reims (77 km)[2].
Le site de la commune est situé sur une plaine agricole, dominée par une butte, la « Butte de Doue ».
Cette butte est du point de vue géologique une butte témoin. Elle résulte d'un phénomène d'érosion inégale entre les zones entourant la butte et la butte elle-même. Cette butte est donc apparue peu à peu en raison de sa moindre exposition à l'érosion naturelle, grâce au plateau calcaire qui la surmonte. Ce petit plateau est d'une composition moins tendre que la strate calcaire qui jadis s'étendait sur la région, à la même altitude que l'actuel sommet de la butte. Cette dernière nous renseigne donc sur la composition des sols dans cette partie du bassin parisien, d'où son nom. La formation est donc faite roche calcaire (marne) au sommet, de sable en son milieu (où affleurent de nombreux fossiles marins : le plus souvent des planorbes ou des limnées, mais aussi des dents de requins), ainsi que d'autres types de roches sédimentaires. Le sable disponible a fait l'objet d'une petite exploitation.
Certaines zones de la commune sont plus humide, à l'image de la zone de l'étang de Croupet.
Quatre commune sont limitrophes de Doue : Jouarre au nord-ouest, Saint-Cyr-sur-Morin du nord à l'est, Saint-Denis-lès-Rebais au sud-est et Saint-Germain-sous-Doue du sud à l'ouest[2].
Jouarre | Saint-Cyr-sur-Morin | Saint-Cyr-sur-Morin |
Saint-Germain-sous-Doue | Saint-Cyr-sur-Morin | |
Saint-Germain-sous-Doue | Saint-Germain-sous-Doue | Saint-Denis-lès-Rebais |
La commune est mentionnée dès le XIe siècle[1]. L'église qui domine toujours actuellement le village a été construite au XIIIe siècle sur l'emplacement d'un ancien temple païen[1].
Au XIIe siècle, Manassès Ier, évêque de Meaux, donne l'autel à son chapitre. À la même époque, la paroisse est rattachée à la Seigneurie des Juvénal des Ursins.
Au XVIe siècle, l'église est remaniée. Au XVIIe siècle, la famille de Harville récupère la paroisse. Le dernier seigneur, le général d'Harville, militaire et homme politique, écuyer de l'Impératrice Joséphine, a été inhumé dans le cimetière en mai 1815. Sa tombe y est toujours visible.
La première mention de la commune au XIe siècle fait référence à Duensis[1]. Ce nom vient d'une dénomination du vieux français signifiant "mare". L'orthographe du nom de la commune a par la suite évolué : en 1793, son nom s'écrit Doüe[2]. En 1801, le nom devient Douès[2]. On retrouve cette idée de marécages dans les noms des hameaux Petit Saulsoy et Grand Saulsoy, écrits depuis la deuxième guerre mondiale Saussoy, qui, étymologiquement désignaient des saules pleureurs cultivés en sauleraies (ou oseraies) pour faire de l'osier. Une fois assouplis et coupés, ils étaient ensuite vendus le plus souvent à la vannerie de Rebais.
Doue est dirigée par un conseil municipal élu en 2008[2]. Depuis 1er janvier 2006, Doue est rattachée à l'arrondissement de Provins après avoir fait partie de l'arrondissement de Meaux[2].
La commune dispose de deux auberges, un bar-tabac-épicerie, une boulangerie, un maraicher,un paysagiste (au petit Saussoy), et un entrepôt de déstockage de meubles qui se situe à la place de l'ancienne fromagerie. Cette fromagerie produisait jusqu'au milieu des années 90 un fromage local, la « Butte de Doue », très similaire en goût au Chaource, bien que de forme parallélépipèdique. La principale activité reste l'agriculture.
Durant la première moitié du XXe siècle, on fit beaucoup venir dans la région des familles belges pour travailler dans les champs de betteraves. Des documents d'archives conservés à la mairie laissent penser que le grand-père de Jacques Brel aurait vécu un moment dans le village de Doue.
La ville dispose d'une école primaire construite à la fin du XIXe siècle.
La commune est équipée d'un terrain de football en plein air, aux abords de la Butte.
Contenido de sensagent
computado en 0,063s