definición y significado de fêtes | sensagent.com


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Definición y significado de fêtes

fêtes

  • féminin pluriel de fête
  • 2e personne du singulier (tu) du présent de l'indicatif du verbe fêter
  • 2e personne du singulier (tu) du présent du subjonctif du verbe fêter

fêtés

  • masculin pluriel de fêté
  • participe passé masculin pluriel du verbe fêter

Definición

fête (n.f.)

1.groupe de personnes réunies pour le plaisir, pour la fête.

2.jour ou période de temps réservé pour les festins et les célébrations

3.jour de la fête du saint dont qqn porte le nom.

4.événement durant lequel des personnes se regroupent pour interagir.

5.réjouissance collective.

6.solennité religieuse, civile.

7.jour assigné à un but ou à une célébration particulière " Fête des Mères "

fête (n.)

1.grande fête à vocation médiatique ou caritative.

fêter (v. trans.)

1.se comporter comme prévu pour des fêtes rituelles " célébrer Noël ou les commandements " " observer Yom Kippour "

2.célébrer (une fête).

3.accueillir (qqn) chaleureusement.

4.pratiquer une célébration

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Definición (más)

definición de fêtes (Littré)

definición de fêtes (Wikipedia)

Sinónimos

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Ver también

fête (n.)

de fête

fêtes (n.)

de fête

fêter (v. trans.)

fête, partie

Frases

Fête Nationale • Fête de la Sainte Trinité • Fête du Travail; Fête des Travailleurs • Fête-Dieu • air de fête • ambiance de fête • de fête • donner une fête • faire fête • faire fête à • faire la fête • fête annuelle (marquant le début de l'année universitaire) • fête bachique • fête carillonnée • fête chez l'habitant • fête commémorative • fête d'anniversaire • fête de Noël • fête de Pâques • fête de St Joseph • fête de famille • fête de l'Annonciation • fête de l'Ascension • fête de l'Eternel • fête de la Nativité • fête de la Saint-Patrick • fête des anges • fête des apôtres • fête des mères • fête des pères • fête des rois • fête des saints • fête du Têt • fête du travail • fête du vingt-cinquième anniversaire • fête décadaire • fête familiale • fête fixe • fête foraine • fête liturgique • fête locale • fête légale • fête mobile • fête mondaine • fête nationale • fête nationale française • fête nationale irlandaise • fête paroissiale • fête patronale • fête privée • fête scolaire • fête solsticiale • fête votive • fête à domicile • grande fête • héros de la fête • illumination de fête • jour de fête • la fête à la maison • organiser une fête • participant à la fête • personne qui fête son anniversaire • petite fête • prendre part à la fête • trouble-fête • être invité à une fête • être à la fête

Ascension (fête) • Bonne fête, maman ! • Bordeaux fête le fleuve • Bordeaux fête le vin • Boum (fête) • Chaque jour est une fête • Corso (fête) • Fantômes en fête • Fatty à la fête foraine • Fête (homonymie) • Fête (liturgie catholique) • Fête annuelle de la constitution • Fête chinoise • Fête costumée • Fête d'Opet • Fête d'Unspunnen • Fête de Gadhimai • Fête de Hambach • Fête de Lutte Ouvrière • Fête de Wallonie • Fête de famille • Fête de famille (feuilleton télévisé) • Fête de l'Alpage de Gresse-en-Vercors • Fête de l'Animation • Fête de l'Humanité • Fête de l'Internet • Fête de l'amour • Fête de l'école • Fête de la BD et du livre pour enfants • Fête de la Brière • Fête de la Communauté française de Belgique • Fête de la Communauté germanophone de Belgique • Fête de la Fédération • Fête de la Gani • Fête de la Jeunesse • Fête de la Lune des chasseurs • Fête de la Musique • Fête de la Nature • Fête de la Présentation de Jésus au Temple • Fête de la Reine • Fête de la Reine (Canada) • Fête de la Réconciliation • Fête de la Réformation • Fête de la Saint-Jean • Fête de la Saint-Patrick • Fête de la Saint-Vincent tournante • Fête de la Sainte Trinité • Fête de la Salute • Fête de la Science • Fête de la Wartbourg • Fête de la châtaigne • Fête de la châtaigne en Catalogne • Fête de la libération • Fête de la mi-automne • Fête de la moisson de Bonne-Espérance • Fête de la quenouille • Fête de la récolte • Fête de quartier • Fête de rue • Fête des 15 ans • Fête des Bleu-blanc-rouge • Fête des Fous • Fête des Jonquilles de Gérardmer • Fête des Loges • Fête des Mères • Fête des Pères • Fête des Remparts • Fête des Rouaisouns • Fête des bateaux-dragons • Fête des classes • Fête des fantômes • Fête des grands-mères • Fête des lanternes • Fête des lumières • Fête des lumières (Lyon) • Fête des morts • Fête des professeurs • Fête des roses • Fête des secrétaires • Fête des sigillaires • Fête des vendanges • Fête des vendanges de Montmartre • Fête des vignerons • Fête des voisins • Fête du Canada • Fête du Christ Roi • Fête du Citron • Fête du Queensland • Fête du Roi • Fête du Roi de l'Oiseau • Fête du Rédempteur • Fête du Sacré-Cœur • Fête du Saint Nom de Marie • Fête du Tirage • Fête du Travail • Fête du cinéma • Fête du double neuf • Fête du déménagement • Fête du letchi • Fête du livre du Var • Fête du livre jeunesse de Villeurbanne • Fête du nom du calendrier slovaque • Fête du retour du soleil • Fête du « Week-end du sport en famille » • Fête foraine • Fête fédérale des musiques (Suisse) • Fête fédérale des yodleurs • Fête mobile • Fête médiévale • Fête nationale • Fête nationale belge • Fête nationale de l'Acadie • Fête nationale du Japon • Fête nationale du Luxembourg • Fête nationale du Québec • Fête nationale française • Fête nationale suisse • Fête païenne • Fête religieuse • Fête religieuse celtique • Fête réunionnaise de la liberté • Fête révolutionnaire • Fête ses 10 ans... • Fête-Dieu • Fête-Sed • Fête-Sed de l'an trente de Ramsès II • Halloween, une fête d'enfer • Initiative populaire « Pour un jour de la fête nationale férié » • Joko fête son anniversaire • Jour de fête • Jour de fête (film) • Jours de fête à Mussonville • Jours de fête à Sainte-Sévère • Jul (fête) • Karaga (fête) • Kermesse (fête) • La Dernière fête de Jedermann • La Fête • La Fête Pas-Si-Trouille de Mickey • La Fête chantée • La Fête coloniale • La Fête de Pluto • La Fête des pères • La Fête des pères (film, 1990) • La Fête des pères (film, 1997) • La Fête du potiron • La Fête espagnole (film, 1920) • La Fête espagnole (homonymie) • La Fête espagnole (roman) • La Fête féroce • La Fête à Gigi • La Fête à Henriette • La Fête à la maison • La Grande Fête sportive de Konoha • La Vierge de la fête du rosaire • Le Fête • Le Prévôt et les Échevins de la ville de Paris délibérant d’une fête en l’honneur du dîner de Louis XIV à l’hôtel de ville après sa guérison en 1689 • Lire en fête • Liste des épisodes de La Fête à la maison • Législation de la fête parisienne • Ouverture pour une fête académique • Paris est une fête • Pot (fête) • Que la fête commence • Radio trouble fête • Saint Pierre (classement par fête) • Saint-Martin (fête suisse) • Saint-Nicolas (fête) • Sainte-Lucie (fête) • Serpentin (fête) • Sixun fête ses 20 ans - Live à La Cigale (album) • Solstice d'hiver (fête chinoise) • Trouble fête • Vive la Fête • Vogue (fête) • Vue de Marseille : Joute et fête sur l'eau • Winnie l'ourson : Lumpy fête Halloween • Éditions Trouble Fête

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Diccionario analógico





fête (n. f.)




fête (n. f.)


fêté (adj.)

privilégié[Classe]


Le Littré (1880)

FÊTE (s. f.)[fê-t']

1. Jour consacré à des actes de religion ; cérémonies par lesquelles on célèbre ce jour.

Les trois grandes fêtes de l'année, savoir celle des Azymes, celle des Semaines et celle des Tabernacles (SACI Bible, Paralip. II, VIII, 13)

Sion, repaire affreux de reptiles impurs, Voit de son temple saint les pierres dispersées, Et du Dieu d'lsraël les fêtes sont cessées (RAC. Esth. I, 1)

Quand verrai-je, ô Sion, relever tes remparts Et de tes tours les magnifiques faîtes ? Quand verrai-je de toutes parts Tes peuples en chantant accourir à tes fêtes ? (RAC. ib. I, 2)

Vivez, solennisez vos fêtes sans ombrage (RAC. Athal. III, 4)

Il se célébrait, dans les différentes villes de la Grèce, et surtout à Athènes, un nombre infini de fêtes : je n'en rapporterai ici que trois, qui sont les plus célèbres, savoir les Panathénées, les fêtes de Bacchus, et les fêtes Éleusiennes (ROLLIN Hist. anc. Oeuv. t. v, p. 7, dans POUGENS)

On recherche l'origine des fêtes ; la plus ancienne et la plus belle est celle des empereurs de la Chine, qui labourent et qui sèment avec les premiers mandarins (VOLT. Dict. phil. Antiquité.)

Chez les anciens païens, la fête de la Jeunesse, la fête des Marchands, la fête des Esclaves, etc. le jour où l'on faisait des cérémonies religieuses à l'intention de la jeunesse, des marchands, des esclaves, etc.

2. Dans la religion catholique, célébration du service divin en commémoration de quelque mystère ou en l'honneur de quelque saint. Une grande fête. Une petite fête. Les dimanches et fêtes. Fêtes mobiles. Fêtes annuelles. Garder les jours de fête. Il est fête.

À chaque grande fête augmente et renouvelle Et le bon exercice et ta prière aux saints, Et tiens, en l'attendant, ton âme entre tes mains, Comme prête à passer à la fête éternelle (CORN. Imit. I, 19)

Toutes ces pieuses observances avaient dans la reine l'effet bienheureux que l'Église même demande : elle se renouvelait dans toutes les fêtes (BOSSUET Mar.-Thér.)

Jour de fête, jour férié.

Par extension.

Le jour où l'on s'égare est un vrai jour de fête [il s'agit d'un voyageur égaré qui trouve bon gîte] (COLLIN D'HARLEV. Chât. en Esp. I, 9)

La fête des Morts, le 2 novembre, jour que l'Église consacre à la commémoration des morts.

Fête double, celle où l'on double les antiennes.

Fête-Dieu ou Fête du saint sacrement, la fête que l'on célèbre en l'honneur du saint sacrement (on met une majuscule à Fête).

Nos maréchaux de France, nos ducs et autres personnes considérables qui demeurent sur une paroisse, n'assistent pas personnellement à la procession de la Fête-Dieu, mais y envoient leurs laquais en livrée et avec un flambeau où est attaché l'écusson de leurs armoiries (SAINT-FOIX Ess. Paris, Oeuv. t. IV, 376, dans POUGENS)

Fêtes fêtées, ou, plus souvent, fêtes chômées, celles où le travail est défendu et qui sont d'obligation, à la différence de celles qui se célèbrent seulement dans l'église et en quelques lieux particuliers, ou par quelques communautés.

Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône (LA FONT. Fabl. VIII, 2)

Familièrement. Fêtes carillonnées, les plus grandes fêtes.

Populairement. Cela ne m'arrive qu'aux fêtes carillonnées, c'est-à-dire rarement.

Fête de palais, les jours où les tribunaux sont fermés, quoiqu'il ne soit point fête chômée.

Fig. Deviner les fêtes quand elles sont venues, dire des choses que tout le monde sait.

Souhaiter les bonnes fêtes, se disait par compliment à l'approche des grandes fêtes de l'Église.

Je vais donc vous souhaiter les bonnes fêtes [à Noël] (SÉV. 240)

Présentez les bonnes fêtes de ma part au cardinal (BOSSUET Lett quiét. 455)

Fête des Fous, fête des ânes, fêtes burlesques qui se célébraient durant le moyen âge.

Les danses dans les églises, les festins sur l'autel, les dissolutions, les farces obscènes étaient les cérémonies de ces fêtes, dont l'usage extravagant dura environ sept siècles dans plusieurs diocèses (VOLT. Moeurs, 45)

3. Fête d'une personne, le jour de la fête du saint dont cette personne porte le nom comme nom de baptême.

Je vous souhaite une bonne fête, formule de compliment pour souhaiter une fête.

Payer sa fête, faire un festin à ses amis le jour de sa fête.

La fête d'une compagnie, d'un corps de métier, le jour de la fête du saint, patron de cette compagnie, de ce corps de métier.

Fête patronale, ou fête d'un lieu, d'un village, le jour de la fête du saint sous l'invocation duquel est placé ce lieu, ce village.

4. Commémoration d'un anniversaire. Fête de naissance.

5. Réjouissances publiques faites à des époques mémorables, à l'occasion de quelque événement, et aussi réjouissances données par un roi, un prince, un grand seigneur. Les fêtes données à l'occasion de la paix.

Quoique j'aie été voir depuis peu l'Escurial et l'Aranjuez, et que je me sois trouvé à des fêtes de taureaux (VOIT. Lett. 30)

Balthasar fait une fête solennelle (BOSSUET Hist. II, 4)

Quel fut ce triomphe, lorsqu'environnée de la gloire de son époux et de la sienne propre, elle nous parut par sa modestie comme un ange de Dieu parmi les acclamations et les fêtes de cette ville royale ! (FLÉCH. Marie-Thér.)

D'un triomphe si beau je préparais la fête (RAC. Iphig. IV, 4)

Les fêtes que l'on célèbre en mon honneur (FÉN. Tél. IX.)

Nicolas Fouquet, dernier surintendant des finances, engagea Molière à composer cette comédie [les Fâcheux] pour la fameuse fête qu'il donna au roi et à la reine mère dans sa maison de Vaux, aujourd'hui appelée Villars (VOLT. Vie de Molière.)

Comme les grandes fêtes se terminent, disait-il, et comme elles laissent un vide étonnant dans l'âme, quand le fracas est passé ! (VOLT. Princesse Babyl. 4)

Tout le monde avouait que les dieux n'avaient établi les rois que pour donner tous les jours des fêtes, pourvu qu'elles soient diversifiées (VOLT. ib. 1)

Fig.

La plus brillante des fêtes, le génie de l'homme décoré par la magnificence de la nature (STAËL Corinne, IV, 3)

6. Réjouissances qui se font dans des assemblées de famille ou d'amis.

Elle qui ne m'a vu qu'en mes habits de fête (RÉGNIER Sat. XI)

M. Martel vous donna une fête dans son vaisseau (SÉV. 447)

Si vous voulez apporter un habit de fête pour le temps de votre convalescence, nous mettrons aussi les nôtres pour la célébrer (VOLT. Lett. Mlle Clairon, 15 mars 1763)

Par extension.

Avant qu'être à la fête De si pénible conquête (MALH. II, 2)

Par antiphrase.

Revêtons-nous d'habillements Conformes à l'horrible fête [le massacre] Que l'impie Aman nous apprête (RAC. Esth. I, 5)

.... Qu'à la mort condamné, Lalli soit en spectacle à l'échafaud traîné, Elle ira la première à cette horrible fête Acheter le plaisir de voir tomber sa tête (GILBERT 18e siècle.)

Les garçons de la fête, se dit, parmi le peuple, des jeunes garçons, parents ou amis des mariés, qui se parent pour faire les honneurs de la fête.

Triste comme un lendemain de fête, très triste ; locution tirée du vide qui suit le fracas et l'éclat d'une fête.

Fig. Se donner une fête, se divertir aux dépens de quelqu'un.

Elle forma le dessein de se donner une petite fête aux dépens de cette folle (HAMILT. Gramm. 7)

Fig. et familièrement. Telle fête, pareille fête, se dit de circonstances qui ne sont pas habituelles en bien ou en mal.

La demoiselle ne s'était jamais trouvée à telle fête (SÉV. 37)

Jamais chapeau ne s'est trouvé à une pareille fête (SÉV. 134)

Allez donc, et cessez de nous rompre la tête ; Que de fous ! je ne fus jamais à telle fête (RAC. Plaid. II, 12)

Faire fête, célébrer une fête.

Était-ce un vin à faire fête ? (MOL. Amph. III, 3)

Faire fête à quelqu'un, lui faire un accueil empressé, le bien traiter.

Nous vîmes un grand chien qui vint à la portière du carrosse me faire fête (VOITURE Lett. X.)

Par antiphrase.

Quand j'en rencontre [des serpents] sur mes pas, Je leur fais de pareilles fêtes [je les écrase] (LA FONT. Petit chien.)

Faire fête à quelque chose, témoigner un grand désir de l'avoir ou beaucoup de plaisir à en jouir.

....Comme un chien qui fait fête Aux os qu'il voit n'être pas trop chétifs (LA FONT. Jument.)

Il le [un oiseau] croit en son pot, et déjà lui fait fête (LA FONT. Fabl. II, 12)

Faire fête d'une chose à quelqu'un, la lui faire espérer.

Faire fête de quelqu'un, l'annoncer comme homme capable de payer son écot par son esprit.

Elle l'avait invité à souper comme bel esprit, et jamais il ne parut si sot, parmi une demi-douzaine de gens à qui elle avait fait fête de lui (MOL. Critique, 2)

Se faire une fête de quelque chose, s'en promettre beaucoup de plaisir.

Et de vous marier vous osez faire fête ? (MOL. Femm. sav. I, 1)

Je me faisais une fête de ce petit voyage (J. J. ROUSS. Hél. VI, 1)

Se faire de fête, faire comme si on était d'une fête, s'entremettre de quelque affaire sans y avoir été appelé.

Dans l'auteur espagnol, Rodrigue va combattre les Maures sur la frontière ; il les va chercher au contraire de ce qui arrive ici, où ils semblent se venir faire de fête exprès pour en être battus (CORN. Ex. du Cid.)

Il donna d'un grand estramaçon sur les oreilles de son valet, qui me pressait plus que les autres pour se faire de fête (SCARRON Rom. com. I, 15)

Les armées ne manquent pas de gens qui aiment à se faire de fête et à s'empresser (SAINT-SIMON 313, 95)

Sérieusement, mon cher ange, je n'ai aucune envie de me faire de fête (VOLT. Lett. d'Argental, 30 nov. 1759)

Se faire de fête, se dit aussi pour se faire honneur.

....Elle [Mme de Coligny, fille de Bussy Rabutin] ne se presse jamais de faire voir qu'elle a plus d'esprit que les autres ; elle sait bien des choses dont elle ne se fait point de fête.... (SÉV. Lett. à Bussy Rabutin, 19 mai 1677)

Troubler la fête, troubler la joie, les plaisirs d'une réunion publique ou particulière.

Un trouble-fête, voy.

TROUBLE-FÊTE

.

Il est à la fête, se dit de celui qui fait ou voit faire quelque chose qui lui est agréable.

7. Divertissement de danse et de chant que l'on introduit dans un opéra ou un drame.

PROVERBES

Tout saint a sa fête ; toute femme a sa tête.

Aux bonnes fêtes les bons coups, les méchants prennent souvent les occasions des réjouissances pour exécuter leurs mauvais desseins.

Il ne faut point chômer les fêtes avant qu'elles soient venues, il ne faut ni se réjouir, ni s'affliger d'un événement avant qu'il soit arrivé.Laissons venir la fête avant que la chômer (MOL. Dép. am. I, 1)

Il n'y a pas de bonne fête sans lendemain, c'est-à-dire quand on se met en fête un jour, le lendemain on s'amuse encore.

Ce n'est pas tous les jours fête, c'est-à-dire l'occasion de se réjouir ne se présente pas tous les jours.

REMARQUE

La Fête-Dieu signifie la fête de Dieu ; c'est un archaïsme et un reste du temps où la langue, ayant deux cas, le nominatif et le régime, marquait le complément par le cas du régime sans préposition.

HISTORIQUE

XIe s.Dedens la feste Saint Michiel et la Saint Martin (Lois de Guill. 32)À Saint Michel [il] tiendra mout haute feste (Ch. de Rol. IV)

XIIIe s.Et furent receu à [avec] moult grant joie et à moult grant feste (VILLEH. XXXIII)À Paris [ils] ont huit jours la feste maintenue (Berte, CXXXVIII)Et vinrent à Londres et trouverent le roi Henri qui à mervelles fist grant fieste de la damoisielle (Chr. de Rains, p. 13)Que se nus ne nulle ouvre à jour de feste gardée ou celebrée, qu'il soit encheuz envers le roi en l'amende de cinq sols par.... (Liv. des mét. 154)De sa queue se vet jouant, Et entor soi feste fesant (Ren. 1934)Savez comment je me demain [me comporte] : L'esperance de lendemain, Ce sont mes festes (RUTEB. 10)Et aus riches font feste et joie, Et prometent à un mot cort Saint paradiz (RUTEB. 248)Toute cele semaine fumes en festes et en caroles [danses] (JOINV. 208)

XVe s.Et en chevauchant parmi les rues, toutes gens et mesmement enfans faisoient au roi feste (FROISS. II, III, 21)Après grant feste grant pleur, et après grant joie grant douleur (LEROUX DE LINCY Prov. t. II, p. 240)Là [en tournois] se doit bouter, Soy maintenir et fors jouster, Tant qu'il ait le prix de la feste (EUST. DESCH. Poésies mss. f° 503, dans LACURNE)Il est aujourd'hui la feste des bons amis [la fête des morts] (DU CANGE festum)À bonne feste [foire] avez esté, car bien avez vendu (Perceforest, t. I, f° 155)Mener orde feste [faire grand tapage] (ib. t. IV, f° 102)De mal jour faire feste [faire de nécessité vertu] (ib. t. IV, f° 29)D'ung tel homme fault faire feste, Autant que d'ung million d'or (VILLON Archer de Bagnolet.)

XVIe s.Les vainqueurs faisants grand' feste de cet accident (MONT. I, 248)Il le tesmoigna par l'alaigresse et feste de son visage (MONT. I, 271)Il donna congé aux medecins en leur disant : Ne me faites plus de festes de vostre Hippocrates et Gallien, puis qu'ilz ne m'ont sceu guarir (AMYOT Préf. XV, 43)C'est une vieille feste que l'on ne feste plus (OUDIN Curiosités fr.)Il est feste au palais, c'est jour de jeûne [par jeu de mot avec le palais de la bouche] (OUDIN ib.)Il est feste en la paroisse, on y carillonne [on lui donne le fouet] (OUDIN ib.)Après la feste et le jeu, les pois au feu (LEROUX DE LINCY Prov. t. II, p. 240)Il est tousjours feste pour celui qui bien fait (COTGRAVE p. 309)Il est toujours feste après besogne faite (COTGRAVE ib.)

ÉTYMOLOGIE

Bourguign. féte ; wall. fièse ; provenç. festa ; espagn. fiesta ; portug. et ital. festa ; du lat. festum, fête. On rapproche festum de fesiae, forme primitive de feriae, féries.

SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

FÊTE.

6. Ajoutez :

Faire fête à quelqu'un de quelque chose, l'en régaler.

Il y a une belle dame à qui on a fait fête de l'aigre de cèdre (MALH. Lexique, éd. L. Lalanne)

FÊTÉ, ÉE (part. passé.)[fê-té, tée]

1. Chômé. Une fête fêtée.

2. Bien reçu, accueilli avec empressement.

Est toujours bien fêté celui chez qui l'on mange (LAMOTTE Fabl. v, 11)

Celui-ci furieux de me voir fêté dans mon infortune, et lui délaissé, tout ambassadeur qu'il était (J. J. ROUSS. Conf. VII)

Il se dit aussi des choses.

Vous savez que tout ce qui devient commun est peu fêté (VOLT. Jeannot.)

Mon commerce est mieux fêté à la porte de la Gaîté (BÉRANG. Bouquet.)

FÊTER (v. a.)[fê-té]

1. Chômer, célébrer une fête. Fêter la Saint-Jean. Fêter le jour des Rois. Fêter les saints.

Fig. C'est un saint qu'on ne fête point, qu'on ne fête plus, se dit d'un homme qui n'a point de crédit, ou qui a perdu tout son crédit.

Par plaisanterie.

Ainsi qu'un possédé que le prêtre exorcise, Fêter dans ses serments tous les saints de l'Église (BOILEAU Sat. IV)

Par analogie. Je veux fêter le jour qui nous rassemble.

2. Familièrement. Fêter quelqu'un, célébrer sa fête.

Il m'embrasse au jour de l'an, Il me fête à la Saint-Jean (BÉRANG. Sénateur.)

Fig. Fêter quelqu'un, le bien traiter, l'accueillir avec empressement.

Fêter la bouteille, aimer à boire, boire souvent.

HISTORIQUE

XIIIe s.Que tout adès en l'uovre [oeuvre] estoit, Nule fois ele ne festoit [se reposait] (DU CANGE festare.)

XVIe s.Les Romains festent encore ce jour-là, et l'appellent la feste de la nativité de leur pays (AMYOT Rom. 17)

ÉTYMOLOGIE

Fête ; wallon, fiesti.

Wikipedia - ver también

Wikipedia

Fête

                   
Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Fête (homonymie).
  "Le centenaire de l'indépendance", la représentation d'une fête populaire en France par le douanier Rousseau(1892)

Une fête est un évènement organisé pour célébrer quelque chose ou quelqu'un.

étymologie : du latin festa dies, jour de fête Famille du mot : festif, festin, festoyer, fêtard...

La plupart des fêtes occidentales sont d'origine chrétienne, voire des fêtes plus anciennes que le christianisme mais que l'Église a assimilées. Dans les pays où ces fêtes sont pratiquées, on nomme souvent fêtes païennes les fêtes non chrétiennes.

L'acception laïque a introduit le terme de jour férié.

Sommaire

  Anthropologie

La fête est ce moment privilégié, toujours attendu avec impatience, qui se trouve moins à l'intérieur du temps social qu'à ses marges. Soustraite au temps de la production, elle aura lieu la nuit ou bien à ces dates du calendrier qui, marquant la jonction de deux périodes bien déterminées, n'appartiennent en propre à aucune. Aussi est-elle propice à la mise en relation de ce qu'il faut ordinairement séparer : les classes sociales, les sexes, les âges, voire les vivants et les morts, l'humain et le divin, le social et la nature.

Seulement, il y a finalement là moins confrontation, rencontre, dialogue, que dissolution provisoire. L'individu lui-même, libéré de son rôle social, est davantage sommé de s'étourdir et de se fondre dans l'indivis que de s'exprimer. Au verbe se substitue la frénésie, la jouissance, le vertige.

Oscillant entre le rituel et l'anarchie, la fête n'annonce pas un ordre nouveau, elle n'est pas la révolution. Elle est plutôt une parenthèse à l'intérieur de l'existence sociale et du règne de la nécessité. Elle est aussi ce qui peut conférer une raison d'être à la quotidienneté, d'où la tentation de multiplier les occasions de fêtes, au point, note Jean Duvignaud, que « certaines nations, certaines cultures se sont englouties dans la fête[1] ».

  La fête : un moment seulement joyeux ?

Temps libéré des conventions, mais aussi des nécessités de la production et du travail, la fête se doit d'être foisonnement créateur, exploration de tous les possibles, au moins symboliquement.

Elle a partie liée avec l'art, la danse, le jeu. Elle est encore ce temps où la spontanéité est non seulement permise, mais obligatoire. Seulement, le caractère parodique de la fête joue le rôle d'un garde-fou à l'égard des pulsions ; et sa tonalité bon enfant indique qu'elle n'abolit l'ordre social que pour mieux permettre au groupe de se retrouver, indépendamment des rôles constitués. La proximité physique va de pair avec une certaine ambiance fusionnelle. Si la fête proscrit les attitudes réellement agressives, elle n'est pas non plus l'occasion de nouer des liens profonds d'amitié par le dialogue.

Elle est plutôt de l'ordre de ce que Sartre appelait l' "adhérence". Tous sont censés participer d'un même élan, être emportés. La fête est un tourbillon qui semble abolir provisoirement les personnalités, mais donne pourtant à chacun l'occasion d'exprimer des désirs habituellement réprimés, serait-ce sur le mode de la farce. Ce paradoxe se comprend assez bien si l'on admet que la fête est sous le signe, non du Moi, mais du Ça. Il va généralement de soi que ce que l'on fait pendant la fête demeurera sans conséquences, précisément parce que l'on n'est pas censé être alors entièrement soi-même, il arrive que l'ivresse soit manifeste.

Néanmoins, selon Roger Caillois, c'est parce que sous nos climats l'ivresse et le masque ne vont guère de pair que nos fêtes ne prennent pas un tour plus violent. Personne ne peut alors prétendre incarner la violence légitime d'un dieu dont il porterait le masque. Au contraire nos fêtes sont égalitaires, elles dénudent et démasquent par la dérision. Ailleurs, plus ritualisée, la fête n'est pas étrangère au tremendum, à l'épouvante caractéristique de la confrontation au Sacré que l'homme moderne ne connaît plus guère qu'au travers de certains films d'horreur.

Roger Caillois, Les Jeux et les hommes : le masque et le vertige (1958)

  La fête, le temps et l'économie

La fête est encore frénésie parce qu'elle est inscrite dans un temps limité, qu'il faut donc se hâter. Le temps de la fête est le présent: pure dépense, la fête injurie l'avenir et l'économie. En effet le plaisir n'est pas rapport à l'avenir, il n'est pas utile, mais il est sa propre justification. Il ne renvoie donc pas à un horizon temporel. À lire Lévinas, la jouissance est déjà engloutissement du temps et de la signification, étourdissement. Si l'on consomme beaucoup pendant une fête, et gratuitement, ce n'est pas par avarice, mais tout au contraire parce que la peur de manquer plus tard est abolie, et que l'insouciance est de rigueur. De même, si la fête a été préparée de longue date et a pu coûter fort cher, cette dimension économique est suspendue pendant la fête. Elle est tout le contraire d'un investissement, puisque tout ce temps et toutes ces richesses s'y engloutissent d'un coup.

Le présent pur caractéristique de la fête ne signifie pas seulement qu'elle est évasion du quotidien, intense exploration d'autres possibles, ou impossibles, que la réalité quotidienne. Selon Jean Duvignaud, il s'agit de «s'engloutir dans le présent», ce qui impose de renoncer à «la durée où s'accumulent le savoir et les actions concertées humaines». La fête est donc une sorte d'anéantissement périodique de la société, une chute dans le «puits sans fond du présent». On objectera cependant que la dépense festive peut avoir une valeur ostentatoire : elle permet d'afficher son rang, de constituer en obligés tous ceux qui en ont profité. Elle n'est alors gaspillage gratuit qu'au sens économique, pas au sens politique.

  La fête et le Néant

Aussi bien la division du travail que son contraire, les activités indifférenciées d'une communauté agricole, semblent conférer à la fête une utilité politique derrière son apparence gratuité. La fête est l'occasion de multiplier les rencontres avec ceux à qui l'on n'a jamais à faire.

Elle est alors la condition du sentiment d'appartenance à une même communauté. Mais elle permet aussi de changer la tonalité de nos relations, souvent très formelles, avec ceux-là mêmes que nous fréquentons quotidiennement: ils y perdent leur apparente unidimensionnalité. Peu importe d'ailleurs que l'on ne retrouve jamais les inconnus rencontrés lors de la fête ; l'on a du moins fait partie d'une foule, l'on s'est approché du cœur vivant de la communauté. Duvignaud oppose cependant à la conception contemporaine de la fête, policée, fraternelle, les ravages et les destructions du carnaval. La fête serait originairement confrontation au néant, au désordre pur, en l'homme et dans la nature.

Elle serait moins refondation du lien social, comme l'a cru la sociologie française, qu'épreuve de ce qui est radicalement l'autre de la société, ivresse du néant. En deçà des règles, il y aurait non seulement la promesse d'une intensité renouvelée de la vie collective, mais encore le spectre de l'auto-destruction. L'instant de la fête serait négation du temps de la société, non son fondement. Il est vrai que si Freud distinguait et opposait la pulsion de mort et Eros, à l'origine de la civilisation, Heidegger, lui, voyait dans le Néant, audacieusement assimilé à l'Etre, à la fois la source et la réfutation de toute réalité définie, de tout Étant.

Pourtant, la fête, si ambiguë et destructrice qu'elle soit potentiellement, est surtout très conservatrice. Elle ne convoque tout ce qui conteste l'ordre social que pour mieux l'intégrer, et mettre en scène l'éternel retour de l'ordre immuable (Mircea Eliade). Elle est aussi ré-jouissance, appropriation charnelle d'entités aussi diffuses qu'une victoire, une nation, ou un nouveau millénaire !

Mircea Eliade, 1969, Le mythe de l'éternel retour, Paris, Gallimard, coll. "Idées".

  Fêtes internationales

  Fêtes nationales

Article détaillé : Fête nationale.

  Afrique

  • Maroc
  • Égypte

  Amérique

  Asie

  Europe

  Océanie

  Fêtes religieuses

Articles détaillés : Fête religieuse et Fête païenne.

  Fêtes chrétiennes

Article détaillé : Fête chrétienne.

  Fêtes juives

Article détaillé : Célébrations dans le judaïsme.

  Fêtes musulmanes

Article détaillé : Fêtes islamiques.

  Fêtes locales

Il existe de très nombreuses fêtes locales, certaines traditionnelles (carnavals), d'autres inventées à une période récente afin de commémorer un évènement (par exemple la libération de la commune en 1944), relancer le lien social, l'attrait touristique ou l'activité économique d'un lieu. Ces fêtes sont souvent organisées autour d'un thème particulier ou d'un produit local, et généralement par les municipalités.

Ces fêtes sont appelées au Japon matsuri, et souvent liées à une célébration religieuse, shintoïste ou bouddhiste.

  Fêtes privées

  Fêtes familiales

  Janur, tressage de feuilles de palmier qui sert de décoration pour les fêtes en Indonésie

Au-delà des fêtes religieuses, il existe des fêtes familiales fixes (« des partys de famille » au Québec), certaines propres à chaque famille, d'autres de caractère universel : anniversaires, anniversaires de mariage, ou fêtes des saints dans les familles chrétiennes.

Certaines fêtes sont à caractère unique destinée à célébrer un évènement de la vie : pendaison de crémaillère, succès à un examen, mariage, naissance (souvent de facto célébrée de façon religieuse), etc.

  Les fêtes d'anniversaire

Les fêtes d'anniversaires revêtent un caractère particulier: elles célèbrent les membres d'une famille ou d'une communauté. Elles sont l'occasion de rassemblements donnant lieu à toutes sortes de décorations. Les fêtes pour enfants sont particulièrement colorées et joyeuses avec toutes sortes d'accessoires et de décorations spécifiques. Sobres de par le passé, la tendance est de donner des fêtes toujours plus colorées, plus accessoirisées.

  Autres fêtes privées

Des fêtes privées sont également mises en place dans les institutions : entreprises (inaugurations, lancements de produits, fête de l'entreprise, anniversaire de l'entreprise, départs à la retraite, etc.), associations, etc.

Des fêtes privées sont également organisées, sans la recherche de prétexte, pour le seul but de « faire la fête ». C'est dans cette catégorie que se rangent par exemple, la rave party et la free party.

  Notes et références

  1. Jean Duvignaud, Le don du rien. Essai d’anthropologie de la fête, Stock, 1977.[réf. incomplète]

  Bibliographie

  • Roger Caillois, Les Jeux et les hommes : le masque et le vertige (1958)
  • Jean Duvignaud, Le don du rien : Essai d'anthropologie de la fête, Stock, 1977.

Réédition au Tétraèdre, de Jean Duvignaud (Auteur), David Le Breton (Avant-propos), Alain Caillé (Préface) - 215 pages - 2007. (ISBN 978-2-912868-43-5) ou (ISBN 2-912868-43-2)

  • Mircea Eliade, Le mythe de l'éternel retour Editions Gallimard / Idées - 1969

  Voir aussi

  Articles connexes

  Lien externe

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