definición y significado de mademoiselle | sensagent.com


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Definición y significado de mademoiselle

Definición

mademoiselle (n.f.)

1.titre donné aux femmes célibataires, aux jeunes filles.

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Definición (más)

definición de mademoiselle (Littré)

definición de mademoiselle (Wikipedia)

Sinónimos

Mademoiselle (n.)

princesse

mademoiselle (TitPerson)

mam'zelle, miss, mam'selle  (populaire), Mlle  (abréviation)

mademoiselle (n.f.)

demoiselle, fille, madame, princesse

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Frases

Hôtel de mademoiselle Guimard • La Mystérieuse mademoiselle C. • Le Mariage de Mademoiselle Beulemans • Le Père de Mademoiselle • Mademoiselle (feuilleton télévisé) • Mademoiselle (film, 1966) • Mademoiselle (film, 2001) • Mademoiselle (magazine) • Mademoiselle (pièce de théâtre) • Mademoiselle (série, 2008) • Mademoiselle Agency • Mademoiselle Agnès • Mademoiselle Ambroisine • Mademoiselle Ange • Mademoiselle Archambault • Mademoiselle Balbien • Mademoiselle Bambù • Mademoiselle Bellerose • Mademoiselle Bressant • Mademoiselle Cartilly • Mademoiselle Chambon (film) • Mademoiselle Chignon • Mademoiselle Clairon • Mademoiselle Desmarest • Mademoiselle Du Croisy • Mademoiselle Du Parc • Mademoiselle Dumesnil • Mademoiselle Else • Mademoiselle Fifi (nouvelle) • Mademoiselle Fifi (recueil) • Mademoiselle Fleury • Mademoiselle Gagne-Tout • Mademoiselle Gaussin • Mademoiselle George • Mademoiselle Gigi • Mademoiselle Général • Mademoiselle H. S. Brès • Mademoiselle Hicks • Mademoiselle Hus • Mademoiselle Joubert • Mademoiselle Julie • Mademoiselle Julie (film, 1951) • Mademoiselle K • Mademoiselle Kat • Mademoiselle La Grange • Mademoiselle Lange • Mademoiselle Liberté • Mademoiselle Lyonnois • Mademoiselle Malaga • Mademoiselle Mars • Mademoiselle Marseille • Mademoiselle Mei • Mademoiselle Montansier • Mademoiselle Mozart • Mademoiselle Navarro • Mademoiselle Polly • Mademoiselle Raucourt • Mademoiselle Scampolo • Mademoiselle Strip-tease • Mademoiselle Théodore • Mademoiselle Ysoline • Mademoiselle chante... • Mademoiselle de Bois-Dauphin • Mademoiselle de Brie • Mademoiselle de La Ferté • Mademoiselle de La Seiglière • Mademoiselle de Maupin • Mademoiselle de Maupin (actrice) • Mademoiselle de Maupin (roman) • Mademoiselle de Paris • Mademoiselle du Vissard • Mademoiselle et son bébé • Mademoiselle et son gang • Mademoiselle ma femme • Mademoiselle ma mère • Mademoiselle météo • Mademoiselle s'amuse • Mademoiselle volcan • Rue Mademoiselle

Diccionario analógico

mademoiselle

jeune femme[Classe]

titre de femme[Classe...]

titre[Hyper.]


mademoiselle (n.)


Le Littré (1880)

MADEMOISELLE (s. f.)[ma-de-moi-zè-l']

1. Autrefois, titre qu'on donnait à toute femme mariée qui n'était pas noble, ou qui, étant noble, n'était pas titrée (voy.

MADAME

1. ).

Mademoiselle de la Rappinière vint la dernière, et fut bien étonnée, aussi bien que les autres, de trouver son mari tout furieux, luttant contre une chèvre (SCARR. Rom. com. I, 4)

Monsieur, je vous assure que vous m'obligerez beaucoup de me tenir quelquefois compagnie ; mon mari est trop mal bâti.... - Mademoiselle, vous me faites trop d'honneur de me vouloir souffrir (MOL. Jal. du Barbouillé, 3)

2. Aujourd'hui, titre qu'on donne ordinairement aux filles. J'ai vu hier mademoiselle votre soeur.

On va voir, comme l'opéra, les habits de mademoiselle de Louvois (SÉV. 385)

Frère Thiriot doit être fort aise de la fortune de mademoiselle Corneille ; elle la mérite ; savez-vous bien que cette enfant a nourri longtemps son père et sa mère du travail de ses petites mains ? (VOLT. Lett. Damilaville, 24 janv. 1763)

Au plur. Mesdemoiselles.

Mesdemoiselles de Grignan ont eu grande raison de trouver le château de leurs pères très beau (SÉV. 379)

Je voudrais à présent marier mesdemoiselles Calas à deux conseillers au parlement de Toulouse (VOLT. Lett. Damilaville, 24 janv. 1763)

3. Mademoiselle s'emploie par politesse en parlant à une demoiselle. Mademoiselle veut-elle danser le prochain quadrille ?

4. Un domestique, en parlant des filles de la maison, dit mademoiselle. Je cherche mademoiselle ; sa mère la demande.

Il dit aussi mademoiselle en s'adressant à elle. Mademoiselle veut-elle que je porte sa lettre à la poste ?

5. Bien que mademoiselle ne comporte pas d'article, puisqu'il est composé de demoiselle et de l'adjectif possessif ma, néanmoins, comme madame, il peut prendre quelquefois un article.

Il y avait [à Rennes] une mademoiselle Descartes, propre nièce de votre père [Descartes], qui a de l'esprit comme lui ; elle fait très bien des vers (SÉV. 383)

6. Mademoiselle, nom donné à la fille de Monsieur, frère du roi.

Il [M. de Lauzun] épouse dimanche au Louvre, avec la permission du roi, mademoiselle de.... mademoiselle devinez le nom, il épouse Mademoiselle.... la grande Mademoiselle, Mademoiselle fille de feu Monsieur, Mademoiselle petit-fille de Henri IV, Mademoiselle d'Eu, Mademoiselle de Dombes, Mademoiselle de Montpensier, Mademoiselle d'Orléans, Mademoiselle cousine germaine du roi, Mademoiselle destinée au trône, Mademoiselle le seul parti de France qui fût digne de Monsieur (SÉV. 9)

7. Mademoiselle, employé absolument, désignait aussi la première princesse du sang, tant qu'elle était fille.

REMARQUE

1. Mademoiselle s'écrit, avec une majuscule, en abrégé Mlle.

2. Populairement, mademoiselle se contracte en mam'zelle.

3. Le titre de mademoiselle a été longtemps donné aux femmes mariées qui n'étaient pas nobles. Mais ce qui est singulier, c'est que, dans les Lettres inédites de Jean Racine, publiées en 1862 par son descendant, l'abbé de Laroque, le grand poëte, écrivant à sa soeur, donne pour suscription aux lettres qu'il lui adresse avant qu'elle soit mariée : à madame, madame Marie Racine ; et après son mariage : à mademoiselle, mademoiselle Marie Rivière, p. 259-274, et 275-308.

HISTORIQUE

XVIe s.Ma demoiselle ma femme et moy [dit un gentilhomme] (DESPERIERS Contes, t. II, p. 77, dans LACURNE)Mademoiselle vostre mere (PASQUIER Lett. t. II, p. 154)À mademoiselle de Montaigne, ma femme (MONT. Lett. 3)

ÉTYMOLOGIE

Ma, et demoiselle.

Wikipedia

Mademoiselle

                   
Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Mademoiselle (homonymie).

Le terme français mademoiselle est comme le terme madame un signe de politesse pour s'adresser à une femme au même titre que monsieur pour un homme. Les termes mademoiselle et madame sont connotés, et le choix de l'un ou bien de l'autre peut dépendre de critères subjectifs comme il a pu varier au fil du temps.

L'usage de ce titre de civilité est aujourd'hui contesté en France.

Sommaire

  En France

Selon l'usage courant, la connotation du terme mademoiselle fait qu'il est plutôt employé pour désigner une jeune fille ou une femme (présumée) non-mariée ou pour s'adresser à elle[1], en fonction du contexte.

Les organismes juridiques (administrations, sociétés commerciales) laissent généralement aux femmes le choix sur le libellé avec lequel leur courrier leur est adressé.

Dans la vie, l'existence de deux termes, madame et mademoiselle, impose un choix, au point que Proust écrit: « L'incertitude où j'étais s'il fallait lui dire madame ou mademoiselle me fit rougir »[2]. En pratique, le fait de se désigner par le prénom a conduit à une raréfaction de l'usage du terme.

  Remise en question de la distinction Madame / Mademoiselle

Comme pour toutes les règles de savoir-vivre, de politesse ou de protocole, la distinction entre l'usage des titres de civilité Madame et Mademoiselle n'est régie par aucun texte législatif ou réglementaire. En France la réponse ministérielle no 5128 du 3 mars 1983 (in J.O. Sénat du 14 avril 1983, page 572) arguant du caractère discriminatoire qu'une telle disposition aurait vis-à-vis des hommes à qui l'on s'adresse par Monsieur, indépendamment de l'âge ou de l'état civil incite les administrations à se conformer au choix des intéressées, Madame semblant employé par défaut s'il n'est pas connu.

Une campagne « Madame ou Madame » a été lancée pour demander la suppression de la case « Mademoiselle » sur les formulaires administratifs afin de ne conserver que la civilité « Madame » pour les femmes[3].

En janvier 2012, la ville de Cesson-Sévigné, dans l'Ouest de la France, a décidé d'abandonner l'appellation de « mademoiselle » dans tous les documents administratifs, estimant que comme de coutume avec les hommes, le titre de civilité des femmes ne devrait pas être fonction de leur situation matrimoniale[4].

Le 21 février 2012, le Premier Ministre François Fillon dans la circulaire n° 5575 supprime l'utilisation des termes Mademoiselle, nom de jeune fille, nom patronymique, nom d'épouse et nom d'époux des formulaires et correspondances des administrations[5].

  Au Québec

Au Québec, le terme mademoiselle est réservé à la toute jeune fille[6].

  Histoire

  Étymologie

Mademoiselle : composé de ma (adjectif possessif) et de demoiselle.

Demoiselle vient du latin vulgaire domnicella, diminutif et féminin de dominus : le seigneur[7].

  Moyen-Âge

Au Moyen-Âge, ce terme est utilisé pour désigner, dans la haute société, "une personne non noble ou noble mais non titrée", et ce, indépendamment de son statut marital[8]. Il existait pour les jeunes gens la forme masculine réciproque damoiseau. Jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, les appellations "Mon-sieur" (abréviation de seigneur), "Ma-dame", "Damoiseau" et "Ma-demoiselle" étaient des formules respectueuses, indicatives d'une condition sociale noble ou dominante, par opposition aux appellations courantes homologues: Mon-homme ou Bonhomme, Ma-femme ou Bonnefemme, Mon-garçon, Ma-fille.

  Évolution en France

  • Mademoiselle, sans plus de précision, était un titre porté par la fille du frère aîné du roi, qui portait le titre de Monsieur. Il est notamment utilisé pour désigner Anne Marie Louise d'Orléans, dite la Grande Mademoiselle. L'appellation Madame était normalement d'usage pour les membres de la famille royales non titrées ou non mariées. Les exemples les plus connus sont les sœurs de Louis XVI, ou encore Henriette d'Angleterre (la mère de la Grande Mademoiselle). La rue Mademoiselle à Paris doit son nom à Louise Marie Thérèse d'Artois, fille du duc de Berry.
  • Depuis, plusieurs Mademoiselles sont restées célèbres en lien avec:
  • Au début du XXe siècle, les remises en cause ont commencé: les mouvements féministes ont manifesté leur opposition à la généralisation depuis la fin du XIXe siècle de la ségrégation des femmes en deux modes distincts d'adresse ou de référence.

Cette question a été considérée notamment par les circulaires FP 900 de 1967, FP 1172 de 1974, circulaire CNAF n° 1028 - 410 de 1978. En 1972, une décision du garde des sceaux autorise explicitement toute femme de plus de vingt et un ans, mariée ou non, à être appelée « madame ».

Les questions/réponses ont abordé la problématique de la civilité en 1983 et en 2005 au sénat français, avec les questions/réponses écrites, n°5128 du 3 mars 1983 établissant le statut des appellations des femmes, et questions écrites du 3 novembre 2005 demande réitérée de retirer la mention à la distinction Madame, Mademoiselle, Monsieur dans les documents et formulaires officiels dans la mesure où la mention du sexe apparaît suffisante et que ces civilités ne relèvent pas de l’état civil.

L'année 1974 est l'année de la circulaire FP n° 1172 du 3 décembre 1974 relative à la suppression des mentions telles que Veuve X, Épouse divorcée Y, Mademoiselle A, pour les lettres adressées à des femmes par les services administratifs.

  Évolutions récentes

Mademoiselle a été et est encore une des trois formules les plus courantes de protocole (appelées civilités) que l'on utilisait en français, soit pour s'adresser à un être humain de sexe féminin dans la conversation ou dans la correspondance, soit que l'on place avant le prénom et le nom pour rédiger une adresse postale, documenter un formulaire administratif ou parler de quelqu'un. Spécifique au sexe féminin, ce mode d'adresse et de référence signalait la condition de célibataire, par opposition à celle de femme mariée. Mademoiselle peut s'écrire en abrégé en Mlle et Mesdemoiselles en Mlles, mais uniquement dans les adresses de la correspondance commerciale ou dans certains textes imprimés. Dans ce cas, l'abréviation de Mademoiselle n'est pas Melle[9].

Dans les coutumes, il fut d'usage d'adresser ou de référencer par « Madame » les femmes célibataires occupant une position d'autorité ou d'indépendance (commerçantes, directrices, …). « Madame » entre dans les normes dans les années 1980 pour les femmes ayant eu des enfants, qu'elles soient mariées ou non, et pour les femmes ayant atteint l'âge adulte.

Par contre, il était d'usage d'appeler mademoiselle certaines employées comme les vendeuses, les employées de maison ou les préceptrices, même lorsqu'elles étaient mariées. Les actrices continuaient souvent à se faire appeler Mademoiselle, même lorsqu'elles étaient mariées ou avaient atteint un âge mûr. Il s'agit d'une tradition qui remonte au XVIIe siècle, et qui s'est conservée chez les sociétaires de la Comédie-française. Certaines actrices continuent à se faire appeler « Mademoiselle » aux génériques des films auxquels elles ont participé[10].

En 2003, la question écrite n° 06340 [11] interroge le ministre de la jeunesse, de l'éducation nationale et de la recherche, sur le fait que la civilité madame serait imposée dans des courriers adressés à des étudiantes, sans leur laisser le choix de la civilité mademoiselle. La réponse [12] indique que la majorité des établissements d'enseignement supérieur imprime les diplômes des étudiants au moyen de produit logiciel dénommé apogée (application pour l'organisation et la gestion des étudiants). Ce logiciel serait conforme avec les modèles joints en annexe des dispositions de l'arrêté du 19 octobre 1994 conformément à une règle soutenue à l'époque par le secrétariat d'Etat aux droits des femmes. A cette date, aucune demande pour réintroduire Mademoiselle n'avait été formulée.

En 2006, dans une réponse à une question écrite, le garde des sceaux affirme que les appellations madame et mademoiselle ne peuvent être imposées aux intéressées sans leur consentement, en réponse à la question écrite au Sénat, n°24509, sur la persistance dans les documents et logiciels administratifs d’une appellation différenciée pour les femmes.

  Variations selon les langues et les civilisations

La distinction telle que nous la connaissons actuellement, entre Madame et Mademoiselle n'a généralement pas d'équivalent, ou bien est tombée en désuétude dans certaines langues ou dans certains pays.

L'allemand, par exemple, n'utilise presque plus « Fräulein », considéré comme discriminatoire. Ce terme est progressivement tombé en désuétude totale en Allemagne, mais est encore d'usage en Autriche. À noter que -lein est un diminutif comme -chen, qui se trouve dans Mäd-chen (petite fille, jeune fille se disant plutôt Madel), qu'il faut rapprocher de la Maid anglaise. Toutes les femmes sont donc appelées "Frau" (Madame) dès l'âge du lycée. Tout comme à Fräulein qui équivalait à Mademoiselle et se disait jusque dans les années 1970, Frau est maintenant utilisé pour toutes femmes qui ne sont plus des jeunes filles ("Mädchen"). En langue allemande, la distinction ancienne entre la femme ("Weib") et la Ma-/Dame ("Frau") n'existe plus, ce qui n'est pas le cas du côté des hommes ("Männer"), qui sont également tous adressés comme Messieurs ("Herren"), mais qui restent des hommes au niveau de la dénomination générique. Traduit littéralement, en Allemand on dit Mesdames, Messieurs ("Meine Damen und Herren") pour s'adresser à une groupe des hommes et dames ("Männer und Frauen"). Au moins, ça veut dire que, dans la région Germanophone, tous hommes se marient remarquablement bien.

Les Anglais ont conservé de nombreuses nuances dans l'emploi des civilités, par exemple la distinction entre « Sir » et « Mister », et ils ont même adopté « Mademoiselle » à côté de « Miss », de « Mistress » et de « Misses ».

Aux États-Unis, sous l'influence des quakers, touts les titres distinctifs ont été combattus, et l'usage de parler des gens, ou de s'adresser à eux, sans faire précéder leur nom d'aucun titre, est bien établi, sans que ce soit considéré comme une impolitesse ou un manque de considération.

Dans le monde anglophone en général, l'utilisation du terme de « Miss » (équivalent de « Mademoiselle ») est en déclin - et dans les situations où un titre de civilité est requis, le terme « Ms » offre une alternative convenable pour éviter de classer les femmes en fonction de leur statut matrimonial.

  Adresse publique

Une adresse publique dans un discours s'adressant à un large public peut commencer par Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs[13]. L'adresse peut également être plus simplement Mesdames, Messieurs. La formule condensée consacrée à l'entrée d'un commerce étant Messieurs-dames.

  Autres usages

Le terme demoiselle était également utilisé dans les expressions demoiselle d'honneur et demoiselle de compagnie.

  Notes et références

  1. le TLFI (Trésor de la langue française informatisé)
  2. (PROUST, Swann, 1913), d'après le TLFI
  3. http://madameoumadame.fr/
  4. « Appelez-moi madame »
  5. Circulaire du Premier Ministre Légifrance
  6. Office Québécois de la langue française http://66.46.185.79/bdl/gabarit_bdl.asp?id=3634
  7. http://www.cnrtl.fr/etymologie/demoiselle
  8. Article du Trésor de la langue française informatisé
  9. Code typographique à l'usage de la Presse du Centre de Formation et de Perfectionnement des Journalistes[Quand ?]
  10. En 2008, est créé un Gérard du cinéma intitulé Gérard de l’actrice que les journalistes s’obstinent à appeler « mademoiselle » alors qu’elle a plutôt une tête à ce qu’on l’appelle « mémé » .
  11. publiée dans le JO Sénat du 20/03/2003 - page 928
  12. publiée dans le JO Sénat du 17/07/2003 - page 2311
    • Discours d’Alain Juppé à l’Institut d’études politiques de Paris (1er février 2012)
    http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/le-ministere/le-ministre-d-etat-et-les/alain-juppe/discours-20655/article/discours-d-alain-juppe-a-l-98228
    • Discours de M. François Sauvadet, ministre de la Fonction publique Strasbourg - 7 novembre 2011

  Bibliographie

  Voir aussi

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